2. Abracadabra!

Aujourd’hui, je voulais vous écrire un bilan de mes deux premiers mois dans la formation. Mais je me suis rendu compte qu’un bilan ne rendait pas exactement justice à ce qui s’est réellement passé. Eh oui, contrairement à une formation classique, Fanny ne nous fait pas de bulletins et ne nous donne pas de bons points. Le but de Fanny, c’est de changer notre vie. 

Pour moi, ça a été assez rapide et inconscient. Changer de vie, en fait, c’est assez facile. On n’a pas besoin d’avaler dix encyclopédies pour comprendre tout à tout, de révolutionner son quotidien en faisant 6h de sport par semaine et en mangeant super healthy* alors que tout ce qu’on veut, c’est du chocolat. 

*Sain.

Non, non et non, ce n’est pas nécessairement difficile. Une petite pensée par-ci, une petite action par-là, un soupçon de théorie, un chouïa d’introspection et abracadabra : nouvelle moi ! Et c’est en réfléchissant à ce que j’allais écrire que je m’en suis rendu compte.

 

Par exemple, je suis allée au centre équestre hier et j’ai une marge de progrès à faire sur certains points. « La moi d’avant » se serait torturé les méninges toute la soirée en se disant qu’elle devrait arrêter, qu’elle est nulle et BLA-BLA-BLA (ne l’écoutons plus !). « La moi de maintenant » est allée faire un débriefing avec la monitrice pour savoir sur quels points travailler pour s’améliorer. 

Autre exemple (je sais que vous adorez ça), j’ose poster sur Instagram sans me sentir ridicule. Les premières fois, j’ai eu envie de me cacher sous la couette, de peur que quelqu’un me tape sur la tête en me disant que ce que je faisais c’était n’importe quoi (mais quelle idée ?). 

 

Ce que je voulais dire, c’est qu’en y réfléchissant, je suis émerveillée par ce qu’il se passe en moi depuis deux mois. J’ai vraiment hâte de voir où cela va me mener avec mon entreprise, mais je suis certaine que ce sera forcément vers une meilleure version de moi. 

Bon, maintenant que c’est dit, je vous laisse, je dois continuer de progresser. 

 

Shana

 

Ps : Lisez le livre Influence et manipulation de Robert Cialdini, c’était ma lecture de la semaine (conseillée par Fanny) et c’était trop bien ! (Pour tout savoir sur le livre, c’est ICI!)

2. Engagement

Le programme « Libre & Heureuse » a commencé il y a quelques semaines. Je me suis inscrite sans trop réfléchir, un peu sur un coup de tête, beaucoup car Fanny a trouvé les mots pour me faire sentir que si je ne faisais pas cette formation, j’allais louper un truc unique et exceptionnel voire même la chance de ma vie d’accéder à une nouvelle vie. Je suis bonne cliente, j’ai besoin d’un coup de pied aux fesses, ma curiosité est aiguisée. Bon ce n’est quand même pas donné, je ne m’attendais pas à ça… Allez, j’y vais !!!

Le 1er exercice consiste à faire une courte présentation de soi et à s’engager. Il y a déjà des vidéos en ligne, c’est bien, ça donne le ton, c’est dans mes cordes… Je m’y reprends à une ou deux fois (seulement 😊), j’arrive à faire quelque chose de spontané et je suis contente de cela. Au fur et à mesure des jours, je vais prendre le temps aussi de regarder les vidéos de mes camarades. Ça prend du temps, mais j’ai à cœur de les découvrir. Je me rends compte que je suis un peu dans le jugement. Grrrr, c’est un truc qui m’énerve chez moi et que je veux changer. Je découvre un groupe de filles (et un homme) assez différentes les unes des autres mais qui ont le point commun d’être quasiment toutes dans le développement personnel/coaching/énergétique. Elles ont quasiment toutes une activité établie même si naissante et ont l’air d’être très au point sur toutes les techniques de « connexion à soi » (méditation, EFT, etc…). Je ne savais pas ce qu’était l’EFT, il y a six mois… Je me sens un peu larguée par moments. Je ne comprends pas tous les exercices de Fanny. Mais comme la plupart des filles parlent la même langue qu’elle et que certaines sont super réactives, je suis le mouvement.  

Ça va vite, trop vite pour moi. Trop d’activités sur Facebook, trop d’exercices à faire d’une semaine à l’autre. Je n’ose pas trop parler pendant les lives. J’ai peur de raser les autres avec mes questions ou introspections. Parfois, j’ai envie d’arrêter, je trouve que ce n’est pas pour moi, que les exercices ne sont pas adaptés pour mon activité qui n’est pas une activité d’accompagnement. Mais je reste car je trouve cela intéressant, je sens que ça me fait du bien, ça me pousse aux fesses, je prends conscience de certaines choses… J’y reviendrai… Cette « vie en communauté » me fait du bien aussi car je vis seule avec mes deux fils absents une semaine sur deux, et que le confinement/couvre-feu n’arrange pas le sentiment de solitude que je peux encore éprouver parfois même si de ce côté-là, j’ai énormément progressé. 

Et puis elles sont chouettes ces filles, j’apprends à les connaître et je m’attache à elles…

 

Petite leçon de minimalisme
(et de développement personnel)

Si le terme « accumulation » vous fait penser à une œuvre de César et non à votre chambre d’amis, transformée, au fil du temps, en quincaillerie des années 80, en souk marocain ou en zone sinistrée, vous procédez probablement de temps en temps à un tri. Cela vous permet de vous délester des objets n’ayant plus aucune utilité, des souvenirs ramenés par votre tante Adèle de ses voyages lointains, des vêtements attendant un hypothétique raccommodage, de vos BD d’ado, du sombrero tellement mignon au Mexique il y a dix ans (vous avez gardé toutes les photos qui le prouvent) mais beaucoup moins tendance en France… 

Bravo ! Vous n’êtes pas un accumulateur ou une accumulatrice compulsifs ! Mais de là à dire que vous êtes minimaliste, il n’y a qu’un pas il y a quelques kilomètres.

 

Le minimalisme, c’est quoi ?

 

Le minimalisme, tendance qui nous vient du Japon mais qui trouverait ses origines dans la Grèce antique ou le bouddhisme, selon les sources, propose de limiter les objets au minimum vital en procédant en premier lieu à un grand tri puis en limitant ses achats à l’essentiel.

Ne resteront alors que quelques meubles, peu de vêtements, des objets utiles au quotidien, un téléphone portable, une liseuse et un ordinateur, permettant de stocker en ligne photos et documents administratifs… 

 

L’objectif :

Passer d’un intérieur encombré à un intérieur dépouillé et (facilement) rangé et  d’habitudes de vie liées à la société de consommation à des habitudes de vie centrées sur l’essentiel.

 

La méthode :

On jette, on donne ou on revend les livres qu’on ne lit pas, les ustensiles qui ne servent pas (ce saucier jamais utilisé, oust !), les vêtements non portés, etc.

 

Les chiffres :

Le foyer américain moyen contient environ 300 000 objets, les minimalistes se limitent à environ 500 objets, 200 même pour certains puristes. Le chiffre qui fait peur : au cours de notre vie, nous consacrons environ un total de 3 680 heures (153 jours) à chercher des objets égarés. Nous perdons jusqu’à neuf objets par jour (198 743 pendant notre vie). En tête de liste : le téléphone et les clés.

 

Les avantages :

En plus d’un gain financier évident, le mode de vie minimaliste permet un gain de temps conséquent au quotidien (entretien facilité et moins d’objets égarés). Les minimalistes évoquent également une vie plus heureuse, centrée sur l’essentiel, un environnement zen, du temps consacré aux voyages, à la lecture et aux loisirs plutôt qu’aux tâches ménagères.

 

Les dérives :

Devenir addict au désencombrement, s’éloigner de ceux qui n’ont pas choisi ce mode de vie, rester prisonnier de la surconsommation (en achetant toujours beaucoup mais en limitant la durée de vie des objets achetés)… 

 

Le minimalisme du point de vue du développement personnel…

 

Si l’accumulation compulsive d’objets est révélatrice d’une peur de manquer et d’une incapacité à lâcher le passé, le minimalisme, poussé à l’extrême, peut être révélateur d’une peur d’être envahi·e et d’une volonté de garder le contrôle. 

Si vous souhaitez adopter un mode de vie minimaliste ou vous en approcher, il est donc essentiel de vous interroger sur vos motivations et de ne pas vous enfermer dans un mode de vie qui s’éloignerait du concept de base en oubliant son objectif : vivre mieux. 

 

Tout est question d’équilibre.

Sans tomber dans un extrême (objectif : vivre avec 50 objets), trier et se délester d’objets dont on ne se sert plus est une excellente idée… 

 

Trois principes à retenir : 

  1. Ranger son extérieur, c’est ranger son intérieur : mettre de l’ordre dans votre lieu de vie va vous permettre de mettre de l’ordre dans vos pensées. L’extérieur et l’intérieur s’harmonisent… Vous ne souhaiteriez pas que votre esprit ressemble au grand capharnaüm d’une chambre d’adolescent désordonné, n’est-ce pas ? 
  2. Trier, c’est s’alléger du passé : est-il vraiment nécessaire de garder les chaussettes oubliées par votre ex, le poème écrit par votre premier amour (vous aviez cinq ans), les mouchoirs à carreaux de votre grand-père et le vase cassé hérité de votre grand-tante ?
  3. Les objets que vous gardez doivent provoquer une émotion positive quand vous les regardez (ou être utilitaires) : cette lampe qui vous rappelle la cousine que vous détestez parce qu’elle vous a humilié·e au mariage de son frère, pourquoi la garder ? En effet, les ancrages, associations inconscientes entre un objet, une situation, une odeur, etc, et une émotion, influent sur notre état d’esprit de façon positive ou négative. Mieux vaut alors s’assurer d’avoir un environnement exempt d’ancrages négatifs.

 

Trois choses à éviter :

  1. Se débarrasser à contre-coeur du mannequin de couture d’une grand-mère que vous aimiez beaucoup pour adhérer à un concept n’est sans doute pas une bonne idée.
  2. Comptabiliser tout ce qui se trouve dans votre logement (vous n’avez pas mieux à faire ?) et vous fixer un nombre d’objets à ne pas dépasser (vous risquez de devoir choisir entre garder un mixeur ou garder une cocotte-minute).
  3. Aller contre ses envies profondes en adhérant à un concept qui ne vous convient pas : il faut réfléchir à ses valeurs et à sa vie, telle qu’on la souhaiterait, pour aller vers ce qui est bon pour soi.

 

Jouons un peu !

Se faire une idée du nombre d’objets contenus dans une maison n’est pas chose facile… Commencez par compter le nombre d’objets posés sur votre bureau, par exemple, ou par évaluer sans les compter le nombre d’objets visibles dans cette cuisine (Réponse ci-dessous).

  1. Entre 0 et 10 (Euh… vous êtes sûr·e ?)
  2. Entre 10 et 30.
  3. Entre 30 et 50.
  4. Entre 50 et 80.
  5. Entre 80 et 100.
  6. Plus de 100.
  7. Plus de 1000 (Vraiment ?)

 

Le bon programme pour ranger son intérieur (l’extérieur, c’est vous !): 

 

La bonne idée pour définir ses objectifs et être en accord avec ses valeurs : « Ma routine miraculeuse » de Fanny Huleux, en vente sur Amazon.

 

Réponse au jeu : Réponse 6… ce qui vous donne une petite idée du nombre d’objets contenus dans votre propre cuisine. Quels objets garderiez-vous parmi ceux qui sont présentés sur cette photo ? Aucun, quelques-uns, la plupart ou tous ?

Rangement ou bazar (dés)organisé?
Steve Jobs VS Marie Kondo. 

Avant de lire cet article, regardez autour de vous… Votre intérieur ressemble-t-il à un champ de bataille ou à une photo vue dans un magazine de décoration ?

Votre maison révèle qui vous êtes bien plus que vous ne le pensez. 

 

Répondez aux questions suivantes, on vous explique tout ensuite…

 

Sur la table du salon…

  • Quelques beaux livres sont soigneusement alignés, à côté d’un très joli bouquet et d’une bougie parfumée.
  • Canettes de soda, plateau repas qui traîne depuis la veille, courrier attendant une hypothétique ouverture… Mince !
  • Il n’y a rien… Rien du tout !

 

La salle de bain…

  • Elle ressemble à une salle de bain de chambre d’hôtel… propreté clinique, serviettes blanches et plan vasque où absolument rien ne traîne.
  • Pinceaux, crèmes, huiles, disques démaquillants, brosse à cheveux, lisseur, le tout dans un joyeux désordre.
  • Vos pinceaux sont rangés dans un pot, vos crèmes sont sagement alignées, une orchidée anime l’ensemble.

 

Le bureau…

  • Lampe de bureau, ordinateur, crayon et carnet… c’est tout.
  • Trois mugs sales, papiers divers, tas de dossiers, agenda, crayons, jolis carnets en vrac et tâches de café… Un écureuil n’y retrouverait pas ses petits mais vous vous y retrouvez parfaitement.
  • Trois mugs sales, papiers divers, tas de dossiers, agenda, crayons, jolis carnets en vrac et tâches de café… Un écureuil n’y retrouverait pas ses petits et vous ne retrouvez rien non plus.

 

Vous avez fait le point ? Plusieurs possibilités :

 

  • Vous êtes maniaque et rien que l’idée de recevoir vous donne des boutons : les invités, ça salit une maison ! Beurk !
  • Vous entretenez parfaitement votre maison et vous en êtes très fier·e.
  • Ni maniaque ni bordélique, votre intérieur est très bien rangé la plupart du temps… et un peu moins à d’autres.
  • Vous êtes submergé·e et vos affaires traînent partout : qu’à cela ne tienne, ça vous est égal.
  • C’est vraiment très mal rangé… mais ça vous dérange vraiment.

 

Quoi qu’il en soit, votre environnement (maison, intérieur des placards, voiture…) est un reflet de ce que vous êtes et si ce que vous voyez ne vous convient pas, il est temps de réagir.

 

Solutions de rangement : la méthode de Marie Kondo

 

Elle est l’une des femmes les plus influentes du monde dans le classement Forbes et sa méthode de rangement fait de plus en plus d’adeptes. Son nom évoque sérénité et feng shui.

 

Sa méthode consiste en trois points : 

  1. La décision
  2. Le tri, qui respecte l’ordre suivant : les vêtements, les livres, les papiers, les objets divers (les « komono ») et les souvenirs.
  3. Le rangement

Marie Kondo conseille de plier les vêtements selon sa méthode puis de les ranger verticalement dans des boîtes pour qu’ils soient tous visibles et qu’ils ne prennent que peu de place. Elle conseille également de ne garder que des objets qui font sourire.

 

Le contre-exemple :

Alors que le rangement et un environnement ordonné sont considérés comme des facteurs importants pour notre bien-être, selon plusieurs études, travailler dans le désordre serait plus productif et serait caractéristique de la créativité et de l’innovation. Ainsi, les artistes, les journalistes, les écrivains, les professeurs de français auraient plus tendance à être désordonnés alors que les gens plus cartésiens seraient, eux, beaucoup plus aptes à garder un environnement bien rangé. 

Certains grands créatifs sont connus pour la pagaille dans laquelle ils travaillent : Steve Jobs ou Albert Einstein, par exemple.

 

Du point de vue du développement personnel…

 

Si un joyeux bazar* libère la créativité, ranger son environnement permet d’ordonner ses pensées : un numéro d’équilibriste pour certains… Et si la maison évoque un nid de souris ou une décharge publique, il est (vraiment !) temps de ranger !

Il est nécessaire de respecter votre jauge personnelle (bazar VS ordre) mais aussi de faire en sorte que vos colocataires (enfants, époux·se, amis…) puissent vivre dans un environnement qui leur convienne : chacun gère donc son espace personnel et fait en sorte que l’espace commun soit agréable pour tous.

Si vous ne supportez pas le désordre mais que vous semez le chaos sur votre passage ou que vous êtes maniaque et que cela vous dérange, posez-vous les questions suivantes :

  • Quelle est la valeur que je me donne ? 
  • Est-ce que mon environnement correspond à mes standards ?
  • Suis-je un peu trop attaché·e au passé ?
  • Ai-je besoin de tout contrôler ?

 

En effet, les personnes qui vivent dans le passé ont tendance à l’accumulation et donc finissent par se retrouver submergées. Celles qui sont maniaques, en revanche, ont un besoin de tout contrôler et ont peur d’être envahies.

Pour vivre bien, il est nécessaire de comprendre que le rangement est important pour vivre en harmonie, sans tomber dans les deux extrêmes décrits ci-dessus. Sortir toutes ses affaires une fois par an des armoires, des placards et des tiroirs et se débarrasser de toutes celles qui n’ont pas été utilisées dans l’année va vous permettre de faire de la place et de permettre le renouveau : jetez ce qui est abîmé et donnez le reste… 

 

*Quand il est naturel : créer consciemment du désordre en espérant devenir plus créatif·ve ne fonctionne pas.

1. Ma légende personnelle

Yeeeeeeeppppppppaaaaaaaa !

 

Je suis ravie et honorée de partager avec vous mon parcours, mon aventure entrepreneuriale et mon évolution dans le programme « Libre & Heureuse » de Fanny. 

 

Ma légende personnelle

 

“Je veux aider les gens ! Je veux aider les gens !” 

J’avais cette phrase à la bouche que je répétais sans cesse. Depuis mon adolescence, j’ai cette envie au fond de moi, dans mes tripes, de vouloir apporter de la joie et un mieux-être aux autres. J’ai travaillé dans plusieurs associations et fait un voyage humanitaire au Burkina Faso qui a transformé ma vie et ma vision du monde. Pourtant, j’ai fait comme tout le monde : BAC + 5, études en Communication et Ressources Humaines. Le but était de trouver un travail avant tout. 

 

Un événement transforme ma vie et ma vision des hommes 

J’étais une adolescente timide et naïve qui avait peur de tout, même d’acheter du pain à la boulangerie. Un événement est venu bouleverser la jeune fille que j’étais : un viol. 15 ans de secret, de honte et de culpabilité pour quelque chose qui ne m’appartenait pas. Cet événement et des blessures d’abandon et de trahison ont déterminé toutes mes relations avec les hommes : tromperies, violences, menaces, cris, disputes et drames. Ma confiance en moi et mon estime étaient à zéro. 

 

J’avais “tout pour être heureuse” et pourtant…

Puis un beau jour, après 10 ans de relation, mon partenaire me quitte. J’avais pourtant “tout pour être heureuse” : j’étais en couple et je gagnais bien ma vie. Ce n’est pas ce qui est censé nous rendre heureux ? C’est ma croyance. 

 

C’est la goutte d’eau. Ça a déclenché un séisme à l’intérieur de moi. Ça m’a réveillée. Je ne pouvais plus me traiter comme ça. J’ai dit un grand STOP. J’ai commencé un travail de reconstruction et vu plusieurs professionnels mais je ne me suis jamais sentie comprise, vue, entendue ou reconnue. Puis un jour, un thérapeute m’a dit « c’est grave, c’est important ». On a validé ma souffrance. Ma vie a commencé à se transformer. J’étais libérée d’un poids.

 

Mon secret s’effondre et je découvre la danse thérapie

Un 11 septembre, mon secret que je gardais depuis 15 ans, s’est effondré comme les tours jumelles. J’en parle à mes proches. Personne ne savait. Ma vie prend un autre tournant. 

 

Je croise sur ma route le rapport au corps. Je découvre et me forme à la danse thérapie.  Ce corps de femme qui ne s’était pas exprimé depuis des années, libère enfin toute la tristesse, la peur et la colère accumulées. Un phoenix qui renaît de ses cendres. Je m’affirme, je dis non quand je veux dire non et oui quand je veux dire oui. Je passe d’une adolescente peureuse à une femme qui s’assume et qui se réconcilie avec sa féminité, sa sexualité, son corps, ses formes et les hommes.

 

Je m’engage : oui mais pour moi avant tout !


Je m’engage dans le programme d’un an “Ma Routine Miracle” de Fanny. Moi ? M’engager une année entière ? Ouh la la ! mais je n’ai jamais fait ça moi ! Je passais mon temps à lui dire “Je veux être en couple”. Elle m’a répondu “Tu ne veux pas commencer à t’engager avec toi avant de t’engager avec un homme ?”. BOOOOUUUUMMMMM ! 

 

Et c’est là que tout a commencé à changer. J’ai commencé à voir d’autres types d’hommes. Et un beau jour, je tombe sur un Roi. Complètement différent des autres. Je découvre des choses que je ne connaissais pas : la communication à deux, la simplicité, le temps de qualité à deux, les rires et la joie. Une relation saine, respectueuse et aimante. Je découvre ce que c’est d’être heureuse et épanouie en couple. 

 

Mon intention pour le programme Libre & Heureuse

 

C’est très simple, je rêve d’être indépendante et de faire un métier qui me porte. Un métier dans lequel je prends du plaisir à me lever chaque matin. 

 

Mon intention était claire : développer mon activité en tant que thérapeute. Être libre, épanouie et heureuse dans un an. Je l’avais décidé et cela ne pouvait plus en être autrement. 

 

J’ai hâte de vous partager mes prises de consciences, mes avancées, mes doutes et mes peurs pendant ce programme et de pouvoir échanger avec vous 🙂

 

Ce qui m’anime ?

Je m’appelle Pauline, je suis thérapeute. J’accompagne les femmes à se reconstruire après des violences, grâce à la danse thérapie, pour qu’elles soient heureuses et épanouies en couple. 

 

1. Je m’appelle Sandrine…

Je m’appelle Sandrine, j’ai 52 ans et suis maman de deux jeunes hommes de 20 et 22 ans qui vivent avec moi une semaine sur deux (cela vous donne un indice sur ma situation maritale…).  

J’ai découvert Fanny sur Instagram lors du 1er confinement. Je me suis pas mal « réfugiée » sur Instagram à ce moment-là (je l’utilisais avec parcimonie jusqu’alors) et j’ai essayé de cadencer mes journées confinées entre mon boulot, des cours de yoga, de cuisine, de naturopathie et autres en ligne. Un peu boulimique du truc au début, je me suis assez vite calmée mais dans mes découvertes, il y a eu Fanny. Cette femme, belle, libre, vibrante qui me fascinait aussi bien qu’elle m’agaçait par moment. Elle avait l’air d’avoir une chouette qualité de vie et tout bêtement j’aimais bien l’esthétique de son compte. Donc, je me suis mise à la suivre et j’ai vu qu’elle était très présente, j’ai eu ma dose quotidienne de son univers et de ses messages qui ont fait du chemin dans ma tête. 

Il faut que je précise que je suis à un tournant de ma vie et que je suis ouverte à tout ce qui peut me faire grandir, changer, évoluer, devenir une meilleure version de moi-même. Je suis en effet à la croisée des chemins : mon mari m’a quittée, il y a six ans environ, ce qui m’a apporté énormément de chagrin et m’a laissée seule face à moi-même après vingt ans de vie commune. On avait déjà eu un orage en 2007 – 2008, il avait fait une sorte de burn-out, quitté un job en or et choisi de tomber follement amoureux d’une fille canon de dix ans de moins que moi qu’il connaissait depuis longtemps… Contre toute attente, on a réussi à traverser la tempête, il a eu le choix de revenir ou pas, il est revenu après six mois et je pensais qu’on avait fait le plus dur… Dix ans plus tard, je sens un nouvel orage arriver, il éclate en avril 2017. On se sépare. 

A partir de là, il a fallu commencer à se réinventer en quelque sorte. Je me suis un peu perdue dans les rencontres Tinder et cie, besoin de faire un peu de bien à son ego, de combler le vide affectif, l’absence de cet homme que j’ai tant aimé/admiré et de mes enfants que je ne voyais plus qu’une semaine sur deux. Et puis, faire le deuil de ma vie de famille… Le plus dur sans doute. J’ai beaucoup souffert de solitude émotionnelle, j’ai beaucoup comparé ma vie à celles des autres et c’était rarement à mon avantage. Ceci étant, je n’ai jamais été au fond du trou, des coups de blues, des moments de désespoir mais pas de prédisposition à la dépression chez moi. J’ai découvert que j’avais des ressources. J’ai compris que je n’allais devoir compter que sur moi-même à présent, qu’une page se fermait douloureusement mais qu’une autre s’ouvrait et qu’il fallait que j’en fasse quelque chose.

Alors j’ai pris deux décisions : 

  • Trouver un projet qui allait m’occuper, me faire vibrer, me nourrir pour les prochaines années de ma vie indépendamment de mon activité professionnelle (j’ai un job à plein temps dans le monde de la santé) ; quelque chose que je ne devrais qu’à moi-même qui s’apparenterait plus à une passion qu’à un job ou un hobby. Je précise que j’ai cherché longtemps, bien avant que mon mari ne me quitte mais que je ne trouvais pas…
  • Me sortir à tout prix de ce bordel émotionnel dans lequel je m’enlisais.

 

La recherche du projet a abouti, tellement bien que je suis fraîchement diplômée en praticienne de massages de bien-être. Une des plus belles révélations de ma vie !

Le bordel émotionnel ? Je commence à en sortir, grâce au travail que je fais sur moi et aux deux programmes de Fanny auxquels je me suis inscrite en septembre 2020 puis janvier 2021. Le programme « Libre & Heureuse » pour accompagner les entrepreneuses (je suis diplômée et je souhaite lancer mon activité à présent, pas facile de passer le cap, quand on a été salariée toute sa vie…). Et le programme « Stable & Ancrée », pour apprendre à mieux me connaître, m’aligner, me connecter à mon moi intérieur ; m’aider à construire une vie florissante et pleinement épanouie dans tous les domaines de ma vie ; me donner les clés pour avoir une plus grande foi en l’avenir, m’aimer inconditionnellement et accéder à plus d’authenticité dans ma vie…

L’aventure ne fait que commencer et j’ai hâte de me voir évoluer…

 

1. Mise au point  

Lorsque Fanny m’a proposé d’écrire, je ne pensais pas que ça serait si difficile.

Pourtant j’ai toujours aimé ça. C’est un exercice que j’ai pratiqué de nombreuses fois.

Mais là, j’ai dû faire face à ma vie un peu en pagaille, pour l’expliquer à des personnes inconnues.

Je me suis demandé ce que j’avais le droit de partager, est-ce que ça causerait du tort à certaines personnes de mon entourage, ou est-ce que ça intéresserait quelqu’un ? 

Alors j’ai pris cet exercice comme un cadeau pour moi-même. Une façon d’y voir aussi plus clair, de faire le point. Et de me rappeler aussi, lorsque je regarderai derrière mon épaule, de tout le chemin parcouru.

 

Mais revenons en arrière. 

Moi, c’est Léna, j’ai vingt-cinq ans et je suis une femme en construction. 

Aujourd’hui, ces mots me semblent justes. Me correspondent. 

 

Avant aujourd’hui, j’ai été lycéenne, étudiante, ouvrière, paumée, suicidaire, apprentie, maquilleuse… Je suis surtout restée coincée. Coincée dans ce rôle de petite fille parfaite. Qui doit être polie, gentille, mais qui doit savoir se défendre. Qui doit exceller dans ses études, travailler beaucoup, tout en aidant aux tâches ménagères. Qui doit avoir une très bonne condition physique et une tête bien faite. Qui doit faire attention à son argent, mais tout de même faire des cadeaux au cousin de la grand-tante. 

Qui doit plaire. Plaire à tout le monde. Faire attention à ce que les autres vont penser d’elle et agir en conséquence.

Cette petite fille, je la remercie profondément et chaleureusement. Elle m’a protégée, elle m’a permis d’arriver là où je suis. Mais aujourd’hui, elle étouffe la femme qui cherche à prendre sa place.

 

Avant aujourd’hui, j’ai fait une licence en architecture. Ces trois années ont, socialement et intellectuellement, été les plus riches de mon parcours scolaire, mais j’étais très malheureuse. Je dormais peu, je mangeais mal, je travaillais énormément. Malgré tout ça, c’est là-bas que j’ai rencontré mon copain, avec qui je suis toujours aujourd’hui.

Et puis j’ai décidé sur un coup de tête de tout arrêter. Premier changement de voie vécu comme un « échec ». Premier « retour à zéro ».

 

Faute d’avoir plus de temps pour y réfléchir (je n’avais plus beaucoup de temps pour m’inscrire dans les écoles), j’ai décidé de partir dans le graphisme, discipline qui me plaisait beaucoup.

C’était dur pour mon ego de postuler à un BTS (Bac+2) après avoir eu une licence (Bac +3). J’avais l’impression d’avoir fait tout ça pour rien. 

Surtout qu’à ce moment-là, je me suis trouvée face à un mur. N’ayant pas fait de Bac Arts Appliqués, je ne pouvais postuler à aucun BTS Design Graphique. Les inscriptions étant gérées par un robot, en ligne, aucune dérogation n’était possible et ma licence en architecture n’y changeait rien. J’ai alors démarché les lycées de France afin d’expliquer ma situation. Tous m’ont rétorqué que si « Admission Post Bac » n’acceptait pas ma candidature, ils ne pouvaient rien pour moi. Super.

J’ai alors contacté un lycée situé dans les quartiers Nord de Marseille : celui dans lequel ma sœur avait elle-même fait un BTS, cinq ans plus tôt. Ce fut le seul à accepter de me recevoir en entretien, grâce à un professeur qui avait connu ma soeur. J’ai détesté l’entretien, je me suis sentie très mal à l’aise, je ne voulais pas aller à Marseille, je ne voulais pas quitter mon copain car j’en étais très dépendante. Mais j’ai été prise. Alors j’y suis allée, faute de mieux. 

Et ce fut la descente aux enfers. J’ai fini par vouloir me tuer. 

Ma mère a répondu à mon appel à l’aide et m’a donné l’autorisation que je n’osais pas espérer : elle m’a aidée à arrêter le BTS. Ça ne faisait que trois mois que j’étais à Marseille. 

Et même s’il a fallu affronter le regard des autres et le jugement impitoyable de certains membres de ma famille, je suis rentrée, soulagée.

Second « échec », encore plus dur à encaisser que le premier.

 

 

Je me suis installée avec mon copain, toujours étudiant, et j’ai travaillé à l’usine le temps de clarifier ma situation, mes envies, mes projets.

 

Et puis une idée un peu folle m’a traversé l’esprit lors d’un brainstorming sur ce que j’aimais faire : et si je devenais maquilleuse ? J’ai mis longtemps avant de m’autoriser à y réfléchir sérieusement. J’avais peur de la réaction de mes parents, peur de ne pas avoir l’argent pour payer une telle formation, peur de ce que les gens diraient : « une architecte devenue maquilleuse-coiffeuse, de quoi aurais-je l’air ? »

 

Là encore, tout s’est fait très vite. J’ai pris la décision de me lancer dans cette voie et j’ai été prise dans une très bonne école de maquillage et coiffure, spécialisée dans les arts du spectacle. Ce que j’y ai découvert était fabuleux ! J’ai particulièrement adoré apprendre à fabriquer des perruques et à monter des coiffures historiques. J’ai eu la chance immense de faire deux stages à l’Opéra de Lyon, qui m’ont donné envie de devenir perruquière. Mais j’aurais aussi bien pu être costumière, calligraphe, brodeuse d’art, créatrice de bijoux, danseuse… Je suis une grande touche-à-tout, pleine de passions et d’envies et, déjà à ce moment-là, je sentais que quelque chose au fond de moi me disait de ne pas m’arrêter là. 

 

En 2018, j’ai créé ma micro-entreprise en tant que maquilleuse-coiffeuse et j’ai passé mon CAP coiffure en cours du soir afin de continuer à apprendre. 

Finalement, grâce aux opportunités que la vie m’a apportées, je me suis spécialisée dans la mise en beauté de la mariée. J’ai vécu de merveilleux moments auprès de mes clientes les plus chères, mais la petite voix cherchait toujours à se faire entendre. 

 

Car j’ai aussi vécu des moments de doute profond, des crises d’angoisse, des envies de tout envoyer balader, de tout arrêter, encore une fois. J’ai beaucoup pleuré, je m’arrêtais sur le seul mariage de la saison qui s’était moins bien passé alors que tous les autres avaient été une « réussite ». J’attendais constamment la validation de mes clientes afin de me sentir mieux

Je n’étais jamais satisfaite de mon travail, j’avais beau me répéter que tant que la cliente était contente, c’était le principal, je n’arrivais pas à m’en persuader.
J’étais profondément mal dans ma peau. Je me sous-estimais, me comparais sans cesse. Je me répétais que je manquais de créativité, que mon travail n’était qu’une pâle copie du travail d’autres personnes. Je prenais de moins en moins de plaisir à faire ce que je faisais. 

Sans parler de mon insécurité financière constante ! Je ne gagnais pas ma vie, je me sentais tourner en rond, sans perspective pour connaître l’abondance.

Tant de fois j’ai voulu tout plaquer !

 

Vous voyez l’histoire que je me racontais ? 

Vous voyez le schéma qui se répète ?

 

Et puis un jour, l’une de mes mentors, avec seulement une petite phrase, a bousculé ma vie.

 

 « Léna, il est urgent que tu investisses sur toi ». 

 

Je me suis d’abord sentie attaquée, blessée. J’ai longtemps ruminé, puis j’ai laissé cette idée de côté. 

Il faut dire que ça fait presque dix ans que je fais des thérapies et, si ces thérapies m’ont toutes aidée au moment où j’en ai profité, je me sentais démunie. J’avais beau déjà investir sur moi, rien ne semblait bouger. Pas assez vite du moins. 

 

En attendant, j’ai cherché à diversifier mon activité et à donner plus de sens à mon métier. Je suis passée à des produits de beauté plus naturels et éco-responsables et j’ai commencé à proposer des services d’accompagnement vers une meilleure estime de soi par le maquillage. 

Je voulais inclure une dimension thérapeutique à mon travail. 

Je voulais accompagner toutes ces femmes qui se retrouvent sur ma chaise à maquillage et qui se livrent à moi. Qui me partagent leurs complexes, leur manque d’estime, les difficultés qu’elles rencontrent dans leur vie de femme, de mère ou d’épouse.

Je voulais faire une différence, les accompagner dans l’exploration et la (re)naissance de leur féminité, afin qu’elles puissent apprendre à devenir la femme de leur vie.

Je sentais que je touchais quelque chose qui m’animait, mais je me suis laissé rattraper par mon manque de légitimité et mes défis face à ma propre féminité. 

Cette question me restait en tête : comment donner à quelqu’un ce que l’on n’a pas soi-même ?

 

Et puis un jour, à la fin d’une saison de mariages mise à mal par la pandémie, j’ai enfin eu l’occasion d’investir sur moi.

Je suis persuadée que, dans la vie, il n’y a pas de hasard. Je n’avais entendu parler de Fanny qu’à travers l’évolution de ma sœur qui suivait alors « Ma routine miracle ». Le jour où elle m’a appelée pour me dire que sa coach sortait un programme pour les entrepreneurs et qu’elle était persuadée que ça pourrait changer ma vie, je me suis précipitée sur la page du programme. 

Fanny y décrivait avec une exactitude déconcertante ma vie telle qu’elle était : chaotique, remplie de peurs et d’insécurité. Puis elle m’a laissé entrevoir à quoi cette vie pouvait ressembler. Ce que j’y ai lu m’a profondément chamboulée : et si je me débarrassais de mes peurs, de mon insécurité ? Et si je pouvais enfin vivre de manière saine et sereine ? Déménager dans la maison de mes rêves, devenir indépendante ? 

C’était ma chance, et j’ai suivi mon intuition, j’ai dépassé mes peurs et j’ai foncé. 

 

Est-ce que j’ai failli renoncer quinze fois avant de m’inscrire ?

Est-ce que je me suis dit que je n’avais pas assez d’argent ? 

Est-ce que j’ai eu peur de cet énorme engagement d’un an ?

Est-ce que je me suis demandé si j’étais prête ?

 

Bien sûr que oui…

Mais j’ai surtout vu ça comme un investissement, justement. Je me suis dit que ce que je dépensais là, la vie me le rendrait. Je me suis dit que ça valait le coup. Ma vie et mon bien-être (et donc celui de ma famille) n’ont pas de prix.

Je pense que je n’aurais jamais été plus prête qu’à ce moment-là. 

 

Aujourd’hui, je suis en transition.

Le programme de Fanny est ma transition. Je sais qu’il y aura un avant et un après. Cet après, alors que je n’y croyais presque plus, je commence à le toucher du doigt chaque jour un peu plus.

Tous ces rêves, ces perspectives, que je pensais impossibles à réaliser, je les visualise, j’y crois. 

Et parce qu’il faut y croire pour le voir, j’ai hâte de voir ce que la vie me réserve.

 

Je ne sais pas si demain je serai toujours maquilleuse, mais je sais que mon envie d’accompagner les femmes à comprendre leur féminin, à se reconnecter à elles et à la beauté de la vie est toujours très forte.

Ce travail, je le fais moi-même en ce moment. Et cette évolution professionnelle, je la vois comme ce qu’elle est : une suite, une continuité du parcours déjà effectué.

Tous les événements que j’ai vécu comme des échecs, je les vois aujourd’hui comme de belles étapes par lesquelles je devais passer pour être la femme lumineuse que j’aspire à devenir.

Ma vie n’est pas un long fleuve tranquille, mon chemin est plutôt sinueux. J’accueille cela avec beaucoup de douceur désormais. 

Je n’ai pas fini d’apprendre, de me former, d’évoluer.  

Ce programme plein de défis, de remises en question, de prises de conscience, de coups de pied aux fesses, d’entraide et de belles leçons de vie a déjà été moteur de nombreux changements en moi.

 

Aujourd’hui, j’ai hâte de voir quelle femme je vais devenir.

1. Moi, c’est Shana!

Shana, 20 ans. 

C’est peut-être un peu trop concis. Je vais donc en dire un peu plus. 

 

Hello ! Je m’appelle Shana, j’ai 20 ans (jusque là, rien de nouveau) et je suis la formation de Fanny Huleux : « Libre & Heureuse ». J’ai décidé d’arrêter mes études universitaires et de créer mon entreprise de création de contenus et d’illustration, de créer ma vie de rêve et de faire de l’Univers mon meilleur ami. Pour cela, je surfe sur la loi d’attraction (ça fonctionne merveilleusement bien, j’ai l’impression que c’est Noël tous les jours) et je fais les exercices que nous donne Fanny (quelle bonne élève je fais !). 

 

Petites anecdotes sur moi : 

  • J’ai un chat qui s’appelle Ice, des poissons qui ont des noms aussi et un demi-cheval (c’est long à expliquer)
  • Donc je fais de l’équitation (depuis que je suis toute petite)
  • Je ne parle pas avant d’avoir bu mon café le matin (ou le midi)
  • Quand j’entre dans une librairie, je ne peux pas m’empêcher d’acheter au moins un livre
  • J’adore les jeux vidéo et ils sont une source d’inspiration  
  • Je sais faire des maquillages à effets spéciaux extrêmement repoussants mais c’est tellement salissant que je n’en fais pas souvent
  • Je déteste perdre aux jeux de société
  • Ma maman, c’est la meilleure. 

 

Ma mission ici sera de vous raconter mes aventures pendant la formation (je maîtrise l’art des rebondissements, ça sera intéressant, promis). 

Sur quels exercices j’ai bloqué ? Qu’est-ce que Fanny a dit cette semaine pour me faire ouvrir des yeux ronds comme des soucoupes ? Quels sont mes exercices favoris ? Vous aurez accès à TOUT (ou presque). 

 

À bientôt, tenez-vous prêts ! 

 

Shana