Flash News : je rêve beaucoup la nuit. Ça a toujours été le cas et souvent, quand j’en parle, la personne en face me regarde avec des grands yeux parce qu’elle ne se souvient pas de la plupart de ses rêves… donc, après, c’est à mon tour de la regarder avec des grands yeux. Je me souviens même de rêves que j’ai fait il y a très longtemps et le truc c’est que, parfois, ils se suivent. Il y a quelques années, ce n’étaient même pas des rêves : c’étaient des cauchemars encore, et encore, et encore. Bref, vous avez l’idée.
Alors je ne sais pas si vous allez me suivre, mais allons-y quand même.
Je fais trois sortes de rêves différents (je le sais parce que Fanny m’a dit de tout noter) : le rêve réaliste, le rêve totalement bizarre et la quête suprême.
Le rêve réaliste, facile, c’est celui où je me retrouve dans un contexte quotidien. Par exemple, ma mère m’envoie chercher un drive, ma grand-mère me fait mon plat préféré ou mon colis arrive mais ce n’est pas du tout ce que j’ai commandé. En général, rien de fou ne se produit et je reconnais tout et tout le monde (même si parfois un camarade de primaire oublié pointe le bout de son nez). Le rêve réaliste tourne parfois au totalement bizarre et là, ça devient un peu malaisant. Je passe alors de sauter 50 centimètres à cheval à 1,70 mètre comme si de rien n’était et les repas de famille se transforment en siège anti-zombies.
Le rêve totalement bizarre est parfois super cool et d’autres fois très gênant ou flippant. Ceux que je préfère de ce type sont ceux où j’ai des pouvoirs comme voler, sauter super haut, me battre comme dans les films ou faire apparaître des choses. Mais c’est parfois totalement déjanté comme si mon cerveau faisait un mélange des Bisounours, Westworld et le Seigneur des Anneaux (ou autre selon ma dernière lecture ou la série devant laquelle je me suis endormie). Ce sont ceux dont je me souviens très facilement (et après je me pose des questions toute la journée du pourquoi j’ai inventé un truc pareil).
Par exemple, il n’y a pas longtemps, j’ai rêvé que j’étais avec des amies (identité inconnue) et qu’on allait chez l’une d’elles. Le quartier par lequel on passait était presque en ruines, il faisait gris et je devais regarder où j’allais. Mes amies passaient comme si de rien n’était mais je ne comprenais pas comment elles faisaient parce qu’au sol il y avait d’énormes trous. Pas les trous qui bousillent les roues de nos voitures, non, non, des trous dans lesquels on peut tomber, avec de l’eau qui coulait à environ trois mètres sous nos pieds. Parfois pour passer, les trous étaient tellement grands qu’on devait marcher sur des armatures métalliques toutes rouillées (dans mon rêve c’était ce qu’il y avait en dessous du béton de la route). Le pire du pire c’est quand je sentais sous mes pieds que ça bougeait. Bref, trop bizarre. Si vous trouvez la signification, envoyez-moi un message sur Instagram.
Et pour finir, il y a la quête suprême. Je vais avoir du mal à l’expliquer parce que je ne sais tout simplement pas ce que c’est, mais le schéma est le même à chaque fois. Dans ces rêves, je suis à la recherche de quelque chose de très important qui va absolument tout changer et je dois suivre des étapes. Ce ne sont pas toujours les mêmes mais le point commun c’est que juste avant d’apprendre ce que je dois absolument savoir, je passe par une bibliothèque où je dois trouver la solution pour ouvrir une porte. Evidemment, je ne me souviens jamais de ce qu’il se passe quand je trouve enfin ce que je cherchais. Ces rêves là sont particulièrement enivrants et donc frustrants car au réveil, j’ai toujours cette sensation qu’il se passe quelque chose d’important sans savoir de quoi il s’agit. GRRRR.
Voilà, ce serait long de tout raconter et je vous épargne la partie cauchemars, on les connaît et personne ne les aime. Je ne sais pas si ce que j’ai dit parlera à quelqu’un mais en tout cas, je vais continuer de noter mes rêves et qui sait, peut-être qu’un jour, j’aurai de quoi écrire un roman !
À bientôt !