Grands principes du développement personnel :
pourquoi et comment s’ancrer ?

Pourquoi et comment s'ancrer?

Le développement personnel permet de mieux vivre, d’atteindre ses objectifs et ses rêves, de se sentir en harmonie avec soi-même, d’avoir des relations plus épanouissantes… Vous avez compris le but mais certains principes vous échappent ? Être aligné·e, ancré·e, utiliser la loi d’attraction… Vous ne savez pas à quoi correspondent ces notions ?

Les comprendre est essentiel pour donner une direction au travail entrepris sur vous-même : nous abordons ici un principe en lien avec le rapport entre le corps et l’esprit qui fait suite aux articles que vous pouvez lire ICI et ICI.

 

Être ancré·e, c’est quoi ?

 

Être ancré·e, c’est être relié·e, connecté·e à la Terre, à l’Univers, à nos besoins physiques et matériels, à notre vie dans la matière, au moment présent. C’est être pleinement là, dans le monde physique et parvenir à concrétiser ses idées, ses projets.

C’est un aspect essentiel, parfois occulté dans le milieu spirituel. Or, sans ancrage profond, on néglige une partie de nous-même, de notre vie : notre esprit est alimenté par la pensée, par la spiritualité mais aussi par nos réussites terrestres, nos relations avec les autres, notre confort physique et notre sécurité matérielle.

L’ancrage correspond à tout ce qui est matériel : les besoins de notre corps, l’argent, notre maison, notre sécurité… autant de points qui contribuent à notre bien-être et à notre bonheur. Fanny Huleux travaille, dans ses programmes, de façon holistique (sur tous les aspects de notre vie) : elle pratique un développement personnel fortement ancré dans la réalité et dans la matière.

 

Comment s’ancrer ?

 

Nous sommes sur cette Terre pour expérimenter dans la matière. Notre vie matérielle est essentielle à notre équilibre : comprendre ce principe est un premier pas.

Toutes les activités liées au corps permettent de s’ancrer : le sport, la danse, les massages, les soins quotidiens apportés au corps (hygiène, alimentation, etc)… tout comme les activités en lien avec la nature : marcher pieds nus, se balader au bord de l’eau, écouter le chant des oiseaux.

Tout ce qui permet d’être dans le moment présent contribue également à un bon ancrage : rire avec des amis, jouer avec des enfants, jardiner, cuisiner, écouter de la musique, etc.

Méditer et visualiser sont des axes essentiels, qui permettent de s’ancrer : visualiser son corps qui s’enracine de plus en plus profondément dans le sol permet de retrouver cette connexion avec la Terre.

 

Quelles conséquences concrètes ?

 

Lorsque l’on est ancré.e, les rêves et les objectifs se concrétisent et se réalisent dans la matière. Loin du doux rêveur, l’individu ancré s’applique à réaliser et à construire sa vision : il a « les pieds sur terre » et non uniquement « la tête dans les nuages ». Il avance vers des buts concrets et vers sa propre réalisation. Il a une bonne connaissance de lui-même, prend ses responsabilités et accède à la paix intérieure.

Au-delà des buts, cela apporte une harmonie pour l’Être dans toutes ses dimensions. Nous sommes des êtres spirituels incarnés dans la matière. Vivre cette dualité et accepter ces deux dimensions permet d’accéder à cette harmonie.

À l’opposé de l’observateur passif de sa propre vie, l’individu ancré avance, construit, matérialise.

Se sentir en sécurité, avoir des pensées plus positives, lâcher prise plus facilement, avoir plus d’énergie, faire des choix conscients, sont d’autres conséquences d’un bon ancrage.

 

Quelques signes indiquant que vous n’êtes probablement pas ancré.e :

  • Vous vous sentez déconnecté.e de votre vie.
  • Vous vous perdez souvent dans vos pensées et vous vous déconcentrez facilement.
  • Vous oubliez des rendez-vous essentiels ou oubliez d’accomplir des tâches importantes.
  • Vous ne savez pas toujours la date ou l’heure qu’il est.
  • Vous avez peu d’intérêt pour les choses matérielles ou pour vos conditions de vie.
  • Vous n’avez pas conscience de votre corps (vous ignorez, par exemple, ses besoins ou les signaux qu’il vous envoie).
  • Vous ne parvenez pas à identifier vos émotions.

 

Pour vous permettre de vous ancrer, d’être stable, de matérialiser vos envies profondes, vos rêves, de vivre en harmonie avec vos valeurs, Fanny Huleux propose des accompagnements. Retrouvez le Boost EFT et le bilan offert ICI.

 

L’influence de l’esprit sur le corps…
Mythe ou réalité?

L'influence de l'esprit sur le corps

Le corps et l’esprit sont-ils connectés ? C’est une question très ancienne, sur laquelle nombre de sages, de philosophes, de médecins se sont penchés depuis les débuts de l’humanité. La médecine chinoise, par exemple, repose sur le fondement d’une connexion corps, pensées et émotions.

Les scientifiques ont, aujourd’hui, établi l’existence de cette connexion, sans toutefois en comprendre totalement, pour le moment, le fonctionnement.

Notre corps, nos pensées, nos émotions sont donc indissociables. Dans un article, que vous pouvez lire ICI, nous avons évoqué les répercussions positives de la pratique sportive sur nos capacités cognitives : il ne s’agit que de l’un des aspects de la connexion esprit/corps. Le corps agit sur l’esprit, certes, mais l’esprit a également la capacité d’agir sur le corps, pour le guérir notamment.

 

Les pensées influent sur le corps

 

La gestion des pensées et des émotions, un des piliers du développement personnel, permet, entre autres bienfaits (s’épanouir, etc), de rester en bonne santé, d’après de nombreuses études scientifiques. Les effets du stress et des émotions comme la colère ou la tristesse sont néfastes pour le corps et augmentent les risques de maladies. A contrario, les émotions positives, comme la joie ou la gratitude, augmentent la longévité.

Ces émotions positives peuvent être catégorisées en deux groupes : elles résultent de plaisirs immédiats comme les bons moments, le fait de se régaler, ou d’un plaisir plus durable comme la sensation d’avoir donné un sens à sa vie. Les effets des émotions positives induites par le plaisir durable sont plus prononcés sur la santé physique et mentale.

Norman Bradburn a démontré, en 1969, que les émotions positives et négatives résultent de mécanismes différents : la suppression d’une douleur ne conduit pas nécessairement au plaisir. Il est donc nécessaire de travailler à la fois sur la gestion des émotions négatives mais aussi de développer les émotions positives et la sérénité.

 

Les pratiques psychocorporelles

 

Si longtemps, la médecine ne s’est concentrée que sur le corps, de nouvelles façons d’envisager les soins émergent. L’influence de l’esprit dans le processus de guérison est désormais reconnue par de nombreux praticiens, qui l’intègrent désormais et la recommandent aux patients.

L’impact de la méditation a notamment été étudié et s’est avéré efficace pour atténuer la douleur, agir sur l’épilepsie, etc. De plus en plus de centres médicaux proposent de travailler sur le corps pour soigner l’esprit et de travailler sur l’esprit pour agir sur le corps. Cette médecine, dite « intégrative », se développe. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) s’est d’ailleurs penchée sur le sujet pour évaluer l’efficacité de ces pratiques.

En reconnectant le corps et l’esprit, la médecine intégrative trouve sa source dans d’autres médecines traditionnelles, comme la médecine chinoise.

 

 

Le développement personnel, en transformant les schémas de pensée, en travaillant sur les croyances limitantes, sur la gestion des émotions, sur la pleine conscience et sur la définition de son chemin de vie pour donner du sens à nos existences, s’intègre pleinement dans cette évolution des mentalités. L’harmonie du corps et de l’esprit, la joie, la sérénité, participent à la reconnexion et à la réconciliation de ces deux parties de nous-mêmes.

Pour booster votre développement personnel, retrouvez les propositions de Fanny Huleux ICI.

Le sport est-il bon pour la santé… mentale ?

Le sport est-il bon pour la santé mentale?

Vous faites une allergie (sévère) au sport ? Votre vision des sportifs est proche de stéréotypes dissociant muscles et intelligence ? Vous pensez qu’il est réservé à ceux qui veulent sculpter leur corps avant l’été ?

Cet article va changer votre conception et vos a priori ! Car, si nous connaissons bien les bienfaits de l’activité sportive sur le corps et sur la santé physique (elle renforce l’immunité, augmente la durée de vie, fait diminuer le risque de développer certaines maladies : cancers, maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, etc), son effet sur notre santé mentale et sur nos capacités cognitives est également prouvé scientifiquement. Autant de raisons de délaisser le canapé et de ranger ses pantoufles !

On intègre donc une séance de sport dans sa routine matinale et on reconnecte l’esprit et le corps…

 

Sport et capacités cognitives

 

On pensait autrefois qu’avec l’âge les neurones diminuaient, n’étaient pas remplacés, et qu’il s’agissait d’un processus inévitable lié au vieillissement. On sait aujourd’hui que la pratique du sport favorise leur entretien et stimule la production de nouveaux neurones, et ce, même chez les seniors (avec cet argument, si vous faites une pause dans la lecture de notre article pour enfiler des baskets, sachez que nous ne vous en tiendrons pas rigueur !). Elle réduit les risques de maladie neuro-dégénératives et de la maladie d’Alzheimer en augmentant la mémoire grâce à la formation de nouvelles cellules nerveuses et à l’augmentation d’une protéine favorisant la croissance et la survie des neurones. Ces travaux, menés sur des souris par une équipe de chercheurs dirigés par Fred Gage et Henriette von Praag ont inspiré d’autres études.

Plusieurs recherches scientifiques ultérieures ont démontré le même effet chez l’Homme. Ces effets seraient plus importants lorsque l’exercice stimule la réflexion (par exemple : vélo d’appartement versus vélo en extérieur, où l’on doit choisir son chemin, éviter les obstacles, adapter sa vitesse au terrain, etc).

Une équipe de chercheurs réunis autour de Johannes W de Greef a prouvé que l’exercice sportif intensif chez les enfants augmentait de façon significative leur attention et que l’exercice régulier favorisait non seulement l’attention mais aussi les capacités exécutives et les performances scolaires.

La pratique sportive augmente également la mémoire, favorise le sommeil (grâce à la production de dopamine et d’endorphines), une attitude positive et l’estime de soi.

 

 

Sport et moral

 

Si l’activité est adaptée au niveau sportif du participant, elle impacte favorablement l’estime de soi. Elle permet de retrouver conscience de soi et confiance en soi, deux des composantes de l’estime de soi. Au travers de la progression et des réussites, le sentiment de compétence se développe et permet d’aider à construire une identité positive. Connaissance de soi, des autres et sentiment d’appartenance à un groupe permettent de renforcer cette identité.

Les transformations physiques influent également positivement sur l’estime de soi.

Le psychologue James Blumenthal, de l’université Duke, en Caroline du Nord, explique que pour certains patients dépressifs (dépression légère à modérée), l’activité physique est considérée comme tout autant, voire plus efficace que les traitements.

 

 

Pour conclure, l’activité physique est une alliée indispensable de votre bien-être et de votre épanouissement. Fanny Huleux intègre dans sa routine matinale méditation et activité physique. Dans votre carnet de routine « Ma routine miraculeuse » vous retrouverez une partie dédiée à vos (nouvelles) habitudes sous forme de trackers. Les activités que vous pouvez pratiquer sont nombreuses, nous vous conseillons simplement de les adapter à votre forme physique et à vos goûts, ainsi que de faire preuve de régularité.

 

 

Pourquoi et comment écrire une déclaration d’estime de soi ?

Pourquoi et comment écrire une déclaration d'estime de soi?

On en a parlé ICI, l’estime de soi est essentielle à la construction d’une vie épanouie. Prendre conscience de sa valeur donne la force de refuser les situations qui ne nous correspondent pas, de s’accorder le droit de s’épanouir, de réussir, de s’aimer et d’aimer.

Se comprendre soi-même, se pardonner ses erreurs, s’engager envers soi sont des étapes importantes du développement personnel. Écrire votre déclaration d’estime de soi va vous permettre de prendre conscience de votre valeur, de votre singularité… de prendre conscience également de tout ce qui vous appartient (vos pensées, vos interprétations, vos actes, etc) et du fait que vous avez tout ce qui vous est nécessaire pour faire d’autres choix si vous le souhaitez, de vous épanouir pleinement, de donner le meilleur de vous-même.

 

Créer l’ambiance idéale pour écrire votre déclaration d’estime de soi

 

Écrire votre déclaration est un acte symbolique très fort : faites de ce moment un beau souvenir qui viendra alimenter votre estime de soi quand vous en aurez besoin.

  1. Libérez-vous du temps… seul·e.
  2. Choisissez le cadre dans lequel vous souhaitez écrire votre lettre : chez vous ? Au bord de la mer ? Dans un endroit que vous affectionnez particulièrement ? Veillez à ce que cet endroit soit apaisant.
  3. Munissez-vous d’un beau papier à lettres, d’un joli crayon… Allumez quelques bougies si vous le souhaitez.
  4. Méditez quelques minutes avant de commencer l’écriture : fermez les yeux, concentrez-vous sur votre respiration, les petits bruits environnants, etc.

 

Que mettre dans votre lettre ?

 

Nous vous donnons ici des pistes mais il s’agit de votre lettre ; écrivez tout ce que vous souhaitez vous dire à vous-même avec amour et bienveillance. Vous pouvez même dessiner si vous le souhaitez.

  1. Prenez conscience de votre singularité et détaillez ce qui fait de vous un être unique.
  2. Prenez conscience que vous êtes responsable de votre vie, de vos pensées et de vos actes. En prenant cette responsabilité, vous vous permettrez enfin de changer ce qui ne vous convient pas.
  3. « Je peux choisir de… ». Indiquez quelles sont les possibilités que vous avez et quels sont vos choix (manifester le meilleur de vous-même, vivre selon vos convictions profondes, etc).
  4. Prenez conscience que vous êtes digne d’être accepté·e et aimé·e tel·le que vous êtes et écrivez-le.
  5. « Je suis moi, je m’aime et je m’accepte ». Terminez par cette déclaration forte, à la base de toute votre vie.

 

Lorsque votre lettre est écrite, conservez-la précieusement et relisez-la régulièrement, notamment lorsque vous doutez : elle vous donnera force et confiance et vous rappellera que vous avez de la valeur : vous êtes unique et digne d’être aimé·e !

Votre estime de soi est basse? Optez pour le Boost EFT ou le bilan individuel offert avec Fanny Huleux, à retrouver ICI.

Sélection de livres sur l’estime de soi
et la gestion des émotions

Sélection de livres de développement personnel

Les sujets de l’estime de soi et de la gestion des émotions vous intéressent ? Sachez qu’ils sont des piliers essentiels du développement personnel et deux des axes majeurs du travail et des programmes de Fanny Huleux.

Pour lire quelques articles sur ces sujets, c’est ICI et ICI pour la gestion des émotions et ICI et ICI pour l’estime de soi.

La rédaction a sélectionné pour vous des livres théoriques ou pratiques, retrouvez-les ci-dessous !

 Ils vous donneront un apport théorique et des pistes pour améliorer votre estime de soi et votre gestion des émotions. Et si vous souhaitez entreprendre un travail plus profond sur vous-même, améliorer rapidement votre estime de soi et apprendre à gérer vos émotions, nous détaillons les points travaillés dans les programmes « Estime de soi » et « Ma routine miracles » de Fanny Huleux en fin de page.

 

Estime de soi : les livres de Christophe André et de François Lelord

 

Lors de l’élaboration de ce dossier, nous nous sommes (re)plongés dans les écrits du psychiatre Christophe André : nous vous conseillons donc deux de ses livres : « Estime de soi », écrit en collaboration avec François Lelord, et « Imparfaits, libres et heureux ».

 

« Estime de soi. S’aimer pour mieux vivre avec les autres » de Christophe André et François Lelord, paru en 2008, aux éditions Odile Jacob.

Comment l’estime de soi se construit-elle ? Quel est votre niveau d’estime de soi ?  Comment aider ses enfants à construire une bonne estime de soi ?

Ce livre apporte des réponses à ces questions, propose un diagnostic et répertorie les différents troubles liés à un manque d’estime de soi. Un livre qui vous permettra d’améliorer votre rapport à vous-même et aux autres !

 

« Imparfaits, libres et heureux. Pratiques de l’estime de soi » de Christophe André, paru en 2006, aux éditions Odile Jacob.

Ce livre complet aborde les aspects théoriques mais aussi des pistes pour retrouver une bonne estime de soi. Il s’appuie sur des témoignages et des recherches scientifiques et définit le concept d’estime de soi, tout en l’élargissant à une réflexion sur les conséquences et l’impact d’une basse ou d’une haute estime de soi.

S’accepter, accepter son imperfection mais aussi construire son estime de soi et trouver une paix intérieure, c’est la promesse d’un livre que vous aurez plaisir à lire.

 

Entrepreneuriat et estime de soi : un livre de Will Schutz

 

Améliorer son estime de soi pour améliorer la qualité de toutes ses relations et améliorer ses performances professionnelles, c’est ce que propose ce livre de William Schutz, paru en 2006, aux éditions InterÉditions : « L’élément humain. Comprendre le lien entre estime de soi, confiance et performance ».

L’auteur est l’un des plus grands consultants psychologues des organisations aux États-Unis, il a étudié les besoins relationnels des êtres humains et leurs comportements et estime que ces besoins (inclusion, contrôle et affection) sont presque aussi essentiels à la vie que l’alimentation. Il démontre que la connaissance de soi et la confiance sont primordiales au travail et que le facteur humain l’est également dans la réussite des entreprises. Il s’adresse à chacun d’entre nous mais aussi aux leaders et aux dirigeants.

 

Réussite et gestion des émotions : un livre de Tony Robbins

 

À vingt ans, Tony Robbins vivait dans un minuscule studio, dont le lavabo était le seul point d’eau et faisait office à la fois de lave-vaisselle et de lave-linge ; il était seul, en surpoids et pauvre. Aujourd’hui, il vit dans une immense villa, il est marié, père de quatre enfants et possède plusieurs entreprises ; il est de surcroît un coach mondialement connu.

Que s’est-il passé entre les deux ? Il a décidé de réaliser ses rêves et c’est vers cet objectif que ce livre, « L’éveil de votre puissance intérieure », paru en français en 2013, aux éditions J’ai lu, vous emmène.

Quête de soi-même, clés et principes à appliquer, ce livre très riche vous emmènera à comprendre des principes essentiels à la réussite.

 

 

Les programmes de Fanny Huleux

 

Vous souhaitez retrouver rapidement une estime de soi haute et une bonne gestion des émotions et vous n’avez pas envie de passer plusieurs années à lire tout ce qui concerne le sujet ?

Fanny Huleux vous propose dans ses programmes une démarche rapide, adaptée à chacun, inspirée de ces grands concepts psychologiques et leviers de réussite personnels et professionnels.

Formée par différents coachs renommés, dont Tony Robbins, grande lectrice, coach et thérapeute elle-même, Fanny Huleux a créé sa propre méthode et met à votre portée un condensé de savoirs théoriques et empiriques et des exercices concrets, qui vous permettront de réaliser vos rêves. Elle a déjà formé des centaines de personnes et a changé leur vie en leur permettant de s’épanouir et d’accéder à leurs rêves.

Nous vous conseillons de faire un bilan individuel offert avec elle.

 

20 affirmations positives pour booster son estime de soi

Affirmations positives

Vous souhaitez booster votre estime de soi ? Utilisez les affirmations positives ! Répéter ou écouter ces affirmations au cours de la journée va vous permettre de changer votre perception de vous-même en indiquant à votre inconscient les nouvelles croyances à adopter.

Vous souhaitez utiliser la loi d’attraction? Vibrer haut va attirer à vous tout ce que vous désirez obtenir.

 

Comment faire ?

 

Utilisez les affirmations qui vous parlent le plus, qui provoquent une émotion, et répétez-les le plus souvent possible. Vous pouvez aussi écouter les affirmations (suivez le lien en fin d’article pour accéder à une vidéo YouTube de 4h45 d’affirmations de Fanny Huleux) : vous n’êtes pas obligé·e d’y prêter attention et pouvez donc les écouter en cuisinant, en travaillant, en conduisant… Votre inconscient, lui, les captera.

Les afficher à des endroits visibles vous permettra de les avoir sous les yeux à tout moment : écrivez-les, créez de jolies mises en page, mettez des Post It dans toute la maison !

 

Les affirmations

 

Je suis bien tel·le que je suis

Je suis digne d’être aimé·e et apprécié·e

Je suis un être unique et merveilleux

Je suis capable de tout faire

J’aime ce que je vois en moi

Je me donne à moi-même l’amour, l’estime et la reconnaissance dont j’ai besoin

Je me pardonne mes erreurs passées

Je suis de plus en plus conscient·e des trésors que j’ai en moi

Je m’aime de plus en plus chaque jour

Plus je m’aime, plus la vie me sourit

Je suis fier·e de moi

J’aime qui je suis et ce que je fais

J’exprime de plus en plus d’amour et de gratitude envers moi chaque jour

Je suis une personne magnifique

Je suis en harmonie avec moi-même

J’aime mon corps et tout ce qu’il fait pour moi

Mon discours intérieur s’améliore de jour en jour

À ce moment précis, je réalise que je suis une belle personne

Je suis une personne formidable

De jour en jour, je deviens la meilleure version de moi-même

Auto-sabotage: êtes-vous votre pire ennemi·e?

Se juger sévèrement

Vous est-il déjà arrivé de rencontrer quelqu’un qui vous plaît et de vous montrer sous votre plus mauvais jour ? D’avoir un projet qui vous tient à cœur mais de vous consacrer à des choses sans intérêt jusqu’au moment où il est trop tard pour le réaliser ? D’entamer plusieurs tâches sans en terminer aucune ? De vous dévaloriser en public ? De chercher des excuses à vos échecs en refusant d’en porter la responsabilité ?

Toutes ces situations peuvent être des signes d’auto-sabotage. Mais comment se manifeste-t-il et comment en sortir ?

 

Auto-sabotage et estime de soi

 

Estime de soi, croyances limitantes et auto-sabotage sont intimement liés. Lorsqu’une personne manque d’estime de soi, elle n’a pas conscience de sa valeur et pense qu’elle n’a pas les capacités de réussir sa vie et de réussir à être heureuse ; elle pense même ne pas le mériter (Lire notre article ICI). Ces schémas, ancrés fermement dans son inconscient poussent à l’auto-sabotage : cette personne détruit ainsi toute chance d’obtenir ce qu’elle souhaite de peur que la vie ne lui prouve qu’il est impossible de l’obtenir. La personne qui manque d’estime de soi devient ainsi son pire ennemi en détruisant inconsciemment tout ce à quoi elle aspire… Une façon de « réussir à échouer », qui vient ainsi conforter les schémas préexistants : un cercle vicieux sans fin si une prise de conscience n’a pas lieu.

Nous usons tous, de temps en temps, d’auto-sabotage : on reporte au lendemain l’envoi d’un courrier important, on arrive en retard à une réunion importante ou on fait une plaisanterie grivoise dans un contexte inadapté. Ces petits moments d’auto-sabotage n’ont pas d’impact important sur nos vies… s’ils restent occasionnels. Le problème se pose lorsque cette attitude est constante et l’auto-sabotage systématique.

Les différents types d’auto-sabotage sont la procrastination (« Je le ferai demain »), la négation de ses propres besoins (« Ca me convient comme ça, je n’ai pas besoin de plus, d’autre chose, etc »), l’évitement de la prise de décision (« je ne sais pas quoi faire »), l’abandon dès les premières difficultés (« C’est trop difficile, je n’y arriverai jamais »), le perfectionnisme (« Ce n’est pas encore comme je le souhaite »), qui pousse à ne jamais voir aboutir ses projets.

Les personnes qui manquent d’estime de soi attirent également comme des aimants les persécuteurs de toutes sortes et pensent mériter les mauvais traitements qu’on leur inflige… parce qu’elles se les infligent à elles-mêmes également.

 

Comment sortir de l’auto-sabotage ?

 

La toute première chose à faire, après la prise de conscience, est de se responsabiliser : l’auto-sabotage, comme son nom l’indique, n’est le fait que d’une seule personne, celle qui s’auto-sabote. Nous sommes tous responsables de notre bonheur comme de notre malheur, ce sont nos pensées conscientes ou inconscientes et nos croyances qui dirigent nos actions : nous devons donc en prendre la responsabilité. Quand le dialogue interne est négatif (« Je suis bête », « Je vais échouer », etc) et tourne en boucle, notre attention est tout entière tournée vers ces pensées. Il faut alors apprendre à les discipliner (et ne pas commencer par se reprocher de s’être auto-saboté·e par le passé). Tolérer ses propres erreurs, se pardonner à soi-même mais agir de façon positive est essentiel.

Restaurer son estime de soi permet de sortir de l’auto-sabotage : penser que l’on a de la valeur, que l’on mérite bonheur, bien-être et réussite permet d’agir pour obtenir ce que l’on souhaite et de ne pas se saboter avant de l’obtenir.

 

Pour faire un point sur votre situation, nous vous conseillons le bilan individuel offert avec Fanny Huleux.

Quelles sont les conséquences d’une estime de soi basse ?

Femme qui se cache

Nous ne disposons que d’une seule vie et nous avons la responsabilité de ce que nous en faisons, de l’échec ou de la construction d’une vie épanouissante et heureuse. Or certaines attitudes et certaines pensées favorisent la réussite en ce domaine quand d’autres la rendent inaccessible ; c’est le cas notamment d’une estime de soi basse.

Quelles sont les caractéristiques des personnes qui ont une estime de soi basse ? Si vous avez fait le test ICI, vous avez une estimation de votre niveau d’estime de soi et, si vous reconnaissez dans la description qui suit certains aspects de votre vie, sachez que l’estime de soi se travaille et que vous pouvez augmenter son niveau de façon significative, afin de faire d’autres choix de vie, plus judicieux.

 

Caractéristiques d’une basse estime de soi

 

Le psychiatre Christophe André, dans « Imparfaits, libres et heureux. Pratiques de l’estime de soi » (Éd. Odile Jacob, 2006), nous explique que lorsque l’estime de soi est basse, l’esprit est presque entièrement occupé par des pensées négatives, pauvres, qui « tournent en boucle » et dont seules les distractions permettent de s’échapper : télé, lecture, etc.

Les pensées sont floues, les « projets » sont inconsistants et tiennent plus de vagues intentions que de véritables projets : autant dire qu’ils ont peu de chance d’aboutir.

L’adaptation au contexte est difficile car les personnes dont l’estime de soi est basse pensent ne pas pouvoir compter sur elles-mêmes, elles ressentent donc les changements comme menaçants et ont du mal à prendre des décisions. Elles envisagent les choix à faire comme divisés entre une « bonne » solution et une « mauvaise » solution, qu’il faudrait savoir discerner car ce choix serait irrévocable (en réalité, chaque solution a souvent des avantages et des inconvénients et nous pouvons changer la direction que nous donnons à notre vie à tout moment). Les hésitations, les tergiversations et les moments de procrastination sont nombreux : les conseils des proches sont alors décisifs dans la prise de décision. Ces personnes finissent par ne plus avoir de prise sur leur propre vie, ce qui renforce la basse estime de soi qu’elles ont d’elles-mêmes.

Le plus simple pour éviter ces questionnements et la peur de l’échec est donc d’agir le moins possible, une stratégie inefficace, qui renforce le manque d’estime de soi.

Selon Christophe André, les symptômes liés à une basse estime de soi seraient le caractère excessif des émotions négatives, le sentiment d’imposture, les comportements inadéquats par rapport à ses propres intérêts, les choix de vie contraires aux envies profondes, la tension intérieure, etc.

 

Quelques conséquences concrètes du manque d’estime de soi sur le parcours de vie

 

Les personnes dont l’estime de soi est basse ont tendance à suivre leurs choix premiers (ou ceux imposés par la norme ou qui leur ont été conseillés) sans les remettre en question, puisque cela impliquerait une nouvelle prise de décision. Ainsi, si elles sont malheureuses en couple ou au travail, elles tentent de vivre avec leur mal-être et leurs angoisses, sans essayer de changer de situation. Le manque d’estime de soi peut même conduire à avoir et à accepter des relations amoureuses destructrices, où le respect est inexistant. Ces relations sont dévalorisantes et, comme dans toutes les autres situations où l’on accepte l’inacceptable, font encore plus baisser l’estime de soi.

 

Lorsqu’elles ont un choix de vie à faire, elles s’en remettent souvent aux autres pour prendre les décisions à leur place : « Qu’en penses-tu ? Qu’est-ce que je devrais faire ? ». Elles vivent donc la vie des autres, dépendent des projections de ceux qui les conseillent et sont dépendantes du regard et du jugement d’autrui.

Elles ne réalisent pas leurs projets ou ne les mènent pas à bien : « Je ne vais pas y arriver, cela ne sert à rien ! »

Laisser passer les opportunités en est une autre conséquence : comme l’issue lui semble toujours défavorable, la personne qui manque d’estime de soi ne parvient pas à se lancer.

Les pensées sont négatives et la vie semble difficile, ce qui conduit à fuir les situations en s’absorbant dans des distractions ou en s’enfermant dans des addictions diverses, ainsi que dans des troubles alimentaires. Les personnes à faible estime de soi peuvent également avoir des difficultés à prendre soin d’elles, de leur apparence ou de leur santé.

 

 

On le constate, quand l’estime de soi est basse, la vie peut être particulièrement difficile ; elle est une succession de déceptions, de renoncements, de mauvais choix et le bonheur semble inaccessible. Elle dépend essentiellement des événements et des avis extérieurs et la personne peut avoir l’impression d’être submergée par sa propre vie, de n’avoir aucune prise sur elle.

Fort heureusement, regagner en estime de soi est possible et les changements sur le bien-être, sur les choix faits, sont nombreux et rapides à se manifester. Une nouvelle vie commence alors…

 

Pour retrouver ou acquérir une bonne estime de soi et aller plus loin dans votre développement personnel, nous vous conseillons d’opter pour le Boost EFT ou un bilan individuel offert avec Fanny Huleux, à retrouver ICI.

 

Estime de soi, comparaison sociale,
réseaux sociaux et médias

Vies de rêve, physiques parfaits, réussites incroyables… Les influenceurs, sur les réseaux sociaux, nous présentent une réalité (à laquelle nous aspirons tous) améliorée, voire qui s’en éloigne tellement que l’on se rapproche de la fiction… La publicité, les médias font de même. Mais comment maintenir notre estime de soi face à des modèles toujours plus parfaits ?

 

Pour commencer, faisons un test !

 

Regardez la photo ci-dessous (la première si vous êtes une femme, la deuxième si vous êtes un homme), puis notez votre estime de soi sur une échelle de 1 à 10 (ce petit test amusant est destiné à illustrer cet article et n’a pas de valeur scientifique).

Femme âgée triste

Homme âgé triste

Regardez maintenant la photo ci-dessous et notez de nouveau votre estime de soi sur une échelle de 1 à 10.

Jolie femme

Bel homme

Comparez vos résultats… Sont-ils identiques ? La note a-t-elle augmenté ? A-t-elle baissé ?

 

La comparaison sociale

 

Ce test s’inspire d’une expérience, réalisée par Stan Morse et Kenneth Gergen en 1970 sur les effets de la comparaison sociale (expérience « Mister Clean & Mister Dirty »). Des étudiants, qui postulaient pour un job d’été, remplissaient un questionnaire de recrutement, dans lequel étaient insérées des questions sur l’estime de soi. On faisait ensuite entrer dans la salle, un pseudo-étudiant négligé, aux vêtements froissés, mal rasé, tenant un roman pornographique. Les réponses au questionnaire montraient alors une nette augmentation du niveau d’estime de soi. Au contraire, lorsque l’étudiant parfait, l’air très compétent, apparaissait, les réponses montraient une baisse de l’estime de soi.

Vous pouvez voir ICI une vidéo, qui date un peu, mais qui illustre parfaitement cette expérience.

 

Les comparaisons sociales influent sur l’estime de soi : des recherches ont démontré, qu’en présence de photos retouchées, l’estime de soi baissait ainsi que le niveau de satisfaction lié à son propre physique. Le psychosociologue américain Leon Festinger, a développé, dès 1954, une théorie selon laquelle les personnes qui se comparent le plus souvent avec les autres sont moins satisfaites de leur vie.

Prenons quelques exemples : si vous habitez la plus petite maison d’un quartier chic, votre satisfaction sera moins importante que si vous habitiez la même maison, qui serait la plus grande d’un quartier plus modeste. Il en va de même pour toutes les autres situations : vous serez moins satisfait de votre salaire si vous êtes le moins riche de votre groupe d’amis plutôt que si vous étiez le plus aisé… tout en gagnant moins.

 

Les réseaux sociaux

 

Les réseaux sociaux permettent, même lorsque l’on est seul·e chez soi, de se comparer inconsciemment aux autres : les photos parfaites de gens parfaits, prises dans un cadre idyllique, présentées comme un reflet exact de la réalité, peuvent ainsi amener à penser que notre réalité ne correspond pas à ce qu’elle devrait être et donnent des objectifs irréalistes, que nous ne parvenons pas à atteindre.

Les recherches menées par Adilson Borges, de la Neoma Business School, ont démontré que les photos retouchées de mannequins, dans les publicités, augmentaient de façon significative les intentions d’achat mais avaient également un effet néfaste sur l’estime de soi des jeunes filles. Ces photos présentent des standards de beauté et de minceur qui sont inaccessibles puisque créés sur ordinateur et non réels. Après avoir vu ces clichés, les jeunes filles avaient plus envie de changer leur apparence, moins d’estime de soi et moins d’assurance dans leurs relations sociales.

Les différents filtres utilisés, les retouches photos des influenceuses auraient, a priori, sensiblement le même effet. Ajoutons à cela une réalité biaisée, qui donne l’image d’un quotidien incroyable et qui renforce cet effet.

 

Comment donc se détacher de ces modèles ?

 

Mettre les photos, que nous voyons, en perspective, en réfléchissant à ce que nous postons, peut permettre de relativiser : qui, en effet, n’a jamais utilisé Photoshop pour retoucher un bouton, ajouté une lumière artificielle ou rangé un coin du salon et déplacé des plantes ou des bibelots pour prendre une photo idéale ? Ou pris 300 clichés pendant les trente minutes passées sur le voilier de tonton Marcel, pour ne poster que les meilleures une à une pendant deux semaines ? Tout comme les influenceuses qui font, souvent, en une journée, les photos de plusieurs jours : elles n’offrent donc pas une vision du quotidien mais sont des mises en scène.

Suivre des instagrammeurs.ses qui prennent le parti de montrer également la réalité comme @rianne.meijer, par exemple, ou  jeter un coup d’œil au #instagramvsreality permet de relativiser.

On peut également garder en tête que les réseaux sociaux et les médias n’ont pas vocation à améliorer notre estime de soi et que l’on est libre de suivre des personnes dont les comptes montrent des images non déformées de la réalité… ou de faire une détox digitale… ou encore d’utiliser les réseaux sociaux pour son développement personnel (nous vous conseillons les différents comptes de Fanny Huleux dont l’accès se trouve en bas de page, ainsi que ceux de sa communauté, que vous retrouverez ICI) ou pour se cultiver, se faire plaisir (vous retrouverez les artistes de la communauté en cliquant sur le lien précédent).

 

Notre niveau d’estime de soi fait la différence

 

Les modèles proposés n’ont pas le même impact sur tous : il dépend en effet de notre niveau d’estime de soi. Une personne avec un haut niveau d’estime de soi ne sera que peu impactée, en revanche, une personne avec une faible estime de soi, en se comparant à des modèles inaccessibles, obtiendra invariablement des résultats en sa défaveur.

 

La bonne nouvelle ? En travaillant sur son estime de soi, on peut l’améliorer… Optez pour un travail sur vous en profondeur avec les accompagnements de Fanny Huleux, à retrouver ICI.