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1. Dépendante, moi?

Écrit par Lily

« Lily, est-ce que tu veux participer au programme « dépendance et co-dépendance » que je démarre bientôt ? » : quand Fanny m’a envoyé ce message vocal sur Instagram, ma première réaction, l’instinctive, celle qu’on ne contrôle pas, fut…

 

« Bah non.

Je ne suis plus dépendante, moi ! »

 

Dépendante affective, je l’ai été, j’en suis pleinement consciente. Fanny le sait, nous en avons parlé lors d’un Live sur sa chaîne en août 2020. J’y avais évoqué mon histoire de vie : un parcours « sans faute » d’élève modèle, perturbé par une rupture douloureuse à l’âge de 25 ans après seulement 3 mois de mariage. Une tromperie et un divorce éclair qui avaient mis en lumière cette dépendance affective que j’ignorais auparavant.

 

J’avais identifié cette dépendance affective quand il m’avait fallu mettre des mots sur la vague insoutenable de douleur et d’obsession qui m’avaient envahie lors de la rupture. Je savais que c’était censé faire mal… Mais SI mal ?! Il y avait forcément quelque chose.

 

Le livre « les 5 blessures de l’âme » et « ces femmes qui aiment trop » m’ont permis d’identifier et accepter mes comportements de dépendance affective. J’ai vu combien ils avaient affecté ma relation : fusion totale, demande incessante d’affection, besoin d’être sur-sécurisée…

 

Mais après 5 ans de travail personnel, de lectures et de thérapies, tout allait bien maintenant ? J’avais travaillé tout ça, c’était passé, réglé ! Non ?

 

Voilà les pensées qui se sont bousculées quand Fanny m’a contactée et que mon ego a envisagé de travailler sérieusement, profondément, la dépendance affective.

 

Fierté, déni, peur.

 

Mais j’ai refermé la porte au nez de mon ego, j’ai soufflé un bon coup et je suis entrée dans un espace d’honnêteté avec moi-même.

 

C’est là que je me suis entendue dire « oui ».

 

Oui bien sûr Fanny, je veux participer.

J’ai peur, j’ai envie, ça va piquer… Et je suis prête.

 

Car je veux faire de la place.

 

Je veux me débarrasser, une bonne fois pour toutes, de la lourdeur qui apparaît quand mon compagnon ferme la porte et part vers un endroit où je ne serai pas, même pour quelques heures.

 

Je veux me délester du poids de mes angoisses, ces tortionnaires, qui diffusent en continu devant mes yeux impuissants des scénarios catastrophes.

 

Je veux savoir qu’avec ou sans homme à mes bras, la vie est belle, la vie est légère, la vie est simple.

 

Je veux sentir au plus profond de moi, pas avec ma tête, mais aussi avec mon cœur, avec mon corps, que je suis ASSEZ. Que je n’ai pas à passer ma vie à chasser de vieux démons et à résoudre mes émotions d’enfant dans des relations d’adulte.

 

J’ai donc dit oui : oui, je veux m’engager dans un programme de transformation, faire des exercices, sortir de ma zone de confort, aller toucher ce qui fait mal et en ressortir définitivement changée.

 

C’est ainsi que je suis entrée dans le programme « Dépendance & co-dépendance ». Je suis Lily, j’aurai bientôt 30 ans et je vais partager avec vous mes évolutions au fil des 6 mois de ce programme. Vous en apprendrez petit à petit plus sur moi et mon histoire, car je compte partager avec authenticité et transparence. Je crois que c’est ainsi qu’on avance.

 

À très vite,

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