Les grands principes du développement personnel: 
s’aligner, pourquoi et comment?

“Le secret du bonheur, c’est l’alignement entre ce que vous pensez, ce que vous dites et ce que vous faites.” Gandhi

 

L’alignement, c’est ce qui va vous permettre de vous assumer, d’aller au bout de vos projets, et de vous retrouver.

Lorsque les valeurs, les pensées et les actions sont en accord, on peut parler d’alignement.

Véritable clé de l’harmonie avec soi-même, l’alignement est un des principaux grands principes du développement personnel, tout comme l’ancrage que vous pouvez retrouver ICI. Découvrez à quel moment on peut perdre son alignement, et comment travailler afin d’être aligné·e à nouveau.

 

Qu’est-ce qu’être aligné·e, concrètement ?

 

Être aligné·e, c’est, tout d’abord, avoir une parfaite connaissance de ses valeurs, de sa mission de vie, de ses qualités, de ses besoins, de ses talents, ou encore de ses passions… C’est découvrir son identité, et agir en fonction afin de créer une vie qui ressemble et qui corresponde à ses envies.

Faire coïncider son couple, ses loisirs, son travail, ses relations et son mode de vie avec ses valeurs et ses besoins, c’est trouver l’alignement de sa vie, une cohérence au quotidien.

Lorsque vous êtes aligné·e, vous n’avez pas peur de vous exprimer, de dire ce que vous pensez, quand vous le pensez, et de passer à l’action pour transformer vos envies en réalité. Les peurs sont amoindries, car toutes les actions que vous entreprenez vous sont bénéfiques et les décisions que vous prenez sont clairement liées à la vie que vous désirez construire.

Évidemment, il n’est pas facile de vivre une vie parfaitement alignée, mais on peut s’en approcher au maximum grâce à des méthodes de développement personnel reconnues.

 

Je ne suis pas aligné·e, pourquoi ?

 

De nombreux obstacles peuvent survenir dans la vie, qui nous désalignent et qui nous éloignent de nos véritables objectifs.

Parmi les blocages qui surviennent fréquemment, on peut observer :

  • une méconnaissance de soi-même
  • des croyances limitantes
  • des peurs plus ou moins conscientes
  • un manque de clarté sur nos objectifs
  • un oubli de soi-même
  • une sur-adaptation aux contraintes (travail, entourage…)
  • une fatigue générale qui nous empêche de nous concentrer sur l’essentiel

 

Voici quelques signes qui montrent que vous n’êtes peut-être pas aligné·e :

  • vous avez des doutes et des peurs qui subsistent
  • vous combattez sans cesse pour prouver votre valeur
  • vous êtes souvent indécise et confus·e
  • vous ressentez souvent de la frustration
  • vous avez parfois l’impression d’un vide intérieur
  • vous faites passer les autres avant vous
  • vous attirez à vous des relations toxiques ou inappropriées

 

Heureusement, il existe de nombreuses techniques afin de vous permettre de vous réaligner avec vous-même.

 

Comment être plus aligné·e ?

 

Afin de retrouver son alignement et être plus serein·e chaque jour, il est essentiel de lever ses blocages et de réaliser d’importants changements afin de mener ce processus à bien. Effectuer une transformation pour une vie alignée est le meilleur moyen de s’épanouir pleinement.

 

Trouver sa mission de vie

Clarifier vos valeurs, savoir ce qui est important pour vous, et comprendre ce qui vous fait vibrer est essentiel pour retrouver un alignement complet. En trouvant votre mission de vie, il sera plus facile de prendre des décisions, car vous aurez fixé vos limites et retrouvé ce qui compte réellement à vos propres yeux.

 

Être en référence interne

Lorsque vous êtes en référence interne, vous stoppez le brouhaha constant de l’extérieur et vous vous concentrez sur vos propres envies. Ainsi, vous savez saisir les bonnes opportunités et refuser celles qui ne sont pas alignées avec votre mission de vie.

 

S’autoriser à être différent et à prendre sa place

Vous êtes-vous déjà rendu compte que votre vie serait différente si vous aviez le courage de vous assumer ? Souvent, nous n’osons pas passer à l’action par peur d’aller à contre-courant ou de subir le regard des autres. Être aligné·e, c’est aussi laisser ses peurs derrière soi et incarner sa propre identité.

 

Un accompagnement pour une vie alignée

Pour un quotidien accordé avec vos valeurs et être réellement aligné·e chaque jour, Fanny Huleux propose le programme « Stable&Ancré·e » (une nouvelle session commence ! Inscriptions à partir du lundi 23 mai 2021).

Reprenez confiance en vous et en la vie, en travaillant sur vos blocages, vos insécurités, et en libérant votre futur. Cette thérapie psycho-énergétique de 6 mois vous permet de stabiliser votre quotidien. Cliquez sur la bannière pour commencer le programme dès aujourd’hui (prochaine rentée dans six mois).

Programme par Fanny Huleux

 

 

7. Petit-déjeuner: 8:00 a.m

Il fut un temps, je me réveillais vers 11h ou midi et me lever plus tôt était un supplice, une épreuve insurmontable, une vraie bataille. Ça, c’était avant. Est-ce que j’ai testé une technique de réveil révolutionnaire ? Une application totalement magique ? Non, non. J’ai adopté un chiot ! Encore mieux, j’ai adopté un chiot qui maîtrise déjà la propreté ! Cela signifie que la première semaine, je me levais la nuit et tôt le matin, que la deuxième semaine c’était seulement tôt le matin et que maintenant, objectif atteint, je me lève à 8h ! Et le meilleur dans tout ça, c’est que je me lève à 8h et de bonne humeur ! Je ne sais pas si c’est ce à quoi Fanny pensait lorsqu’elle m’a dit de trouver de l’aide pour me réveiller… mais ça fonctionne.

On peut dire que ça a totalement changé mon quotidien et que les bénéfices seront visibles sur la durée. Déjà, c’est plus facile de travailler le matin que le soir. Même si j’adore dessiner pendant la nuit, je suis tout de même plus efficace sur les autres tâches en me levant plus tôt. Je ne sais pas pourquoi mais me pencher sur ma communication Redbubble me semble plus agréable le matin que l’après-midi… mais dessiner le matin ne me donne toujours pas envie. Il y a des choses qui ne s’expliquent pas. Et le truc rigolo, c’est que la première semaine je n’ai pratiquement pas réussi à travailler donc depuis je suis très contente de me remettre au travail !

Ce n’est pas tout, en quelques semaines, mon petit loup m’a déjà appris beaucoup de choses. Par exemple, le sommeil est très important pour le moral, il faut parfois avoir une patience à toute épreuve (oui, même quand mon chien mange le fil électrique de ma guirlande lumineuse préférée) et qu’on peut avoir envie de rire et de pleurer en même temps (parce qu’il fait des bêtises désespérément mignonnes).

Je le voulais, je l’ai eu : Sun, petit soleil de ma vie et meilleur allié de mon entreprise !

 

9. Côté obscur

« Oh, la, la! Pas déjà… »

« J’ai pas envie. »

« J’ai le droit de dormir aujourd’hui, je l’ai bien mérité ! »

 

Je pense que vous serez d’accord avec moi, des journées qui commencent comme ça, on en a tous vécues. Elles sont plus ou moins nombreuses, et arrivent plus ou moins souvent.

 

De mon côté, cette dernière semaine, c’est devenu la norme.

Tous les matins, c’était dur.

Tous les matins, je négociais avec moi-même.

Tous les matins, me lever me demandait un effort surhumain.

 

Chez moi, sachant qu’un réveil comme ça entraîne une journée souvent morne, placée sous le signe de la basse énergie et pleine de procrastinations, je vous laisse imaginer à quoi a ressemblé ma semaine !

 

Mais voilà, c’est aussi ça la vie.

Même si j’ai mis en place plein de nouvelles habitudes, une nouvelle dynamique de vie, des nouvelles façons de penser, il y a des journées où voir la lumière est plus difficile (surtout quand le soleil n’est littéralement pas au rendez-vous !)

 

Lorsque ça devient pénible pour moi d’écouter mon podcast favori, de parler avec mon mec que j’aime très fort ou d’assister aux visios de Fanny qui, pourtant, me changent la vie, je comprends que je ne suis pas dans mon état le plus merveilleux.

 

Et dans ces moments-là, j’essaye de me lâcher la grappe.

Je fais en sorte de prendre soin de moi, de respecter mon rythme, de lever le pied quand c’est possible.

 

Cet état désagréable que je voyais avant comme un échec, m’apparaît aujourd’hui comme une opportunité, comme une merveilleuse occasion de travailler sur l’acceptation de mon « côté obscur » !

Ayant grandit avec l’injonction de « sois forte, sois parfaite », accepter ma part d’ombre me demande beaucoup d’efforts. Lâcher prise face à un comportement que je juge « imparfait » nécessite du courage.

 

Le travail sur l’ennéagramme que nous avons fait avec Fanny m’a aidé à me comprendre.

Cette rigueur que je m’impose, cette intolérance face aux erreurs, à la négligence, et à la paresse, cette rigidité dont je peux faire preuve…

Tout ça fait partie de moi.

Au même titre que cette ouverture au monde, ce sens de l’éthique et de la justice et cette grande humanité en moi.

 

Oui, je suis perfectionniste.

Oui, j’aimerais être au top tous les jours.

Mais non, ça n’est pas possible.

 

Et c’est ok.

 

Ce texte sera peut-être un peu moins abouti que les autres.

J’y ai passé 2 heures au lieu de 4 (et pour certains ça restera énorme… ha, ha!)

Je ne l’ai pas relu 1000 fois.

Mais il vient quand même de moi.

 

Juste d’une part un peu moins rigide de moi 😊

Exercice pour s’ancrer : la méditation de l’arbre

Nous avons expliqué ICI l’importance d’être ancré·e, connecté·e à la Terre, à l’Univers et à nos besoins physiques et matériels, pour pouvoir s’épanouir dans sa vie terrestre, réaliser ses rêves, prendre soin de soi.

La méditation de l’arbre, qui permet de visualiser cet ancrage peut vous aider à vous connecter à la Terre, pour créer, dans la matière, vos envies profondes.

 

  1. Créez les conditions idéales : votre méditation sera facilitée par le calme et la solitude (tenter de méditer lorsque les enfants jouent avec le chien ou lorsque la télé fonctionne est une gageure). Vous pouvez la pratiquer chez vous mais aussi en pleine nature, près d’un arbre.

 

  1. Asseyez-vous le dos bien droit et les pieds à plat sur le sol. Fermez les yeux et écoutez les bruits qui vous entourent : chant des oiseaux, bruits lointains, bruissements… Concentrez-vous sur votre respiration, les inspirations, les expirations et détendez chaque partie de votre corps.

 

  1. Lorsque vous êtes complètement détendu·e, dans un état méditatif, imaginez des racines qui partent de vos pieds et qui s’enfoncent dans la terre, de plus en plus profondément… Visualisez-les, regardez-les s’étendre de plus en plus pour parvenir jusqu’au centre de la Terre.

 

  1. Ressentez l’énergie de la Terre, sentez-la monter le long des racines vers vos pieds et se répandre dans tout votre corps.

 

  1. Sentez l’énergie du ciel, de chaque être vivant, des plantes… et sentez l’harmonie profonde qui existe entre toutes les choses. Sentez-vous pleinement présent·e ici et maintenant.

 

  1. Profitez de cet état de bien-être aussi longtemps que vous le souhaitez puis, lorsque vous êtes prêt.e, ouvrez doucement les yeux.

 

Pour vous ancrer solidement et construire, dans la matière, la vie dont vous rêvez, nous vous conseillons le programme « Stable&Ancré·e », par Fanny Huleux. Cliquez sur la bannière: inscriptions en cours pour commencer le programme dès aujourd’hui! (prochaine rentrée dans six mois).

Programme par Fanny Huleux

 

 

Grands principes du développement personnel :
pourquoi et comment s’ancrer ?

Pourquoi et comment s'ancrer?

Le développement personnel permet de mieux vivre, d’atteindre ses objectifs et ses rêves, de se sentir en harmonie avec soi-même, d’avoir des relations plus épanouissantes… Vous avez compris le but mais certains principes vous échappent ? Être aligné·e, ancré·e, utiliser la loi d’attraction… Vous ne savez pas à quoi correspondent ces notions ?

Les comprendre est essentiel pour donner une direction au travail entrepris sur vous-même : nous abordons ici un principe en lien avec le rapport entre le corps et l’esprit qui fait suite aux articles que vous pouvez lire ICI et ICI.

 

Être ancré·e, c’est quoi ?

 

Être ancré·e, c’est être relié·e, connecté·e à la Terre, à l’Univers, à nos besoins physiques et matériels, à notre vie dans la matière, au moment présent. C’est être pleinement là, dans le monde physique et parvenir à concrétiser ses idées, ses projets.

C’est un aspect essentiel, parfois occulté dans le milieu spirituel. Or, sans ancrage profond, on néglige une partie de nous-même, de notre vie : notre esprit est alimenté par la pensée, par la spiritualité mais aussi par nos réussites terrestres, nos relations avec les autres, notre confort physique et notre sécurité matérielle.

L’ancrage correspond à tout ce qui est matériel : les besoins de notre corps, l’argent, notre maison, notre sécurité… autant de points qui contribuent à notre bien-être et à notre bonheur. Fanny Huleux travaille, dans ses programmes, de façon holistique (sur tous les aspects de notre vie) : elle pratique un développement personnel fortement ancré dans la réalité et dans la matière.

 

Comment s’ancrer ?

 

Nous sommes sur cette Terre pour expérimenter dans la matière. Notre vie matérielle est essentielle à notre équilibre : comprendre ce principe est un premier pas.

Toutes les activités liées au corps permettent de s’ancrer : le sport, la danse, les massages, les soins quotidiens apportés au corps (hygiène, alimentation, etc)… tout comme les activités en lien avec la nature : marcher pieds nus, se balader au bord de l’eau, écouter le chant des oiseaux.

Tout ce qui permet d’être dans le moment présent contribue également à un bon ancrage : rire avec des amis, jouer avec des enfants, jardiner, cuisiner, écouter de la musique, etc.

Méditer et visualiser sont des axes essentiels, qui permettent de s’ancrer : visualiser son corps qui s’enracine de plus en plus profondément dans le sol permet de retrouver cette connexion avec la Terre.

 

Quelles conséquences concrètes ?

 

Lorsque l’on est ancré.e, les rêves et les objectifs se concrétisent et se réalisent dans la matière. Loin du doux rêveur, l’individu ancré s’applique à réaliser et à construire sa vision : il a « les pieds sur terre » et non uniquement « la tête dans les nuages ». Il avance vers des buts concrets et vers sa propre réalisation. Il a une bonne connaissance de lui-même, prend ses responsabilités et accède à la paix intérieure.

Au-delà des buts, cela apporte une harmonie pour l’Être dans toutes ses dimensions. Nous sommes des êtres spirituels incarnés dans la matière. Vivre cette dualité et accepter ces deux dimensions permet d’accéder à cette harmonie.

À l’opposé de l’observateur passif de sa propre vie, l’individu ancré avance, construit, matérialise.

Se sentir en sécurité, avoir des pensées plus positives, lâcher prise plus facilement, avoir plus d’énergie, faire des choix conscients, sont d’autres conséquences d’un bon ancrage.

 

Quelques signes indiquant que vous n’êtes probablement pas ancré.e :

  • Vous vous sentez déconnecté.e de votre vie.
  • Vous vous perdez souvent dans vos pensées et vous vous déconcentrez facilement.
  • Vous oubliez des rendez-vous essentiels ou oubliez d’accomplir des tâches importantes.
  • Vous ne savez pas toujours la date ou l’heure qu’il est.
  • Vous avez peu d’intérêt pour les choses matérielles ou pour vos conditions de vie.
  • Vous n’avez pas conscience de votre corps (vous ignorez, par exemple, ses besoins ou les signaux qu’il vous envoie).
  • Vous ne parvenez pas à identifier vos émotions.

 

Pour vous permettre de vous ancrer, d’être stable, de matérialiser vos envies profondes, vos rêves, de vivre en harmonie avec vos valeurs, Fanny Huleux a créé le programme « Stable&Ancrée ». C’est un programme qui change profondément la vie de ceux qui le suivent ; vous pouvez consulter des témoignages ICI et vous inscrire en cliquant sur la bannière: les inscriptions sont en cours pour commencer dès aujourd’hui! (Prochaine rentrée dans six mois).

 

Comment faire du sport à la maison?

Sport chez soi

Vous avez essayé de faire du sport chez vous mais chaque séance vous semble être une épreuve douloureuse, presque insurmontable ? Vous n’arrivez pas à tenir votre routine sportive ?

 

De quoi avez-vous besoin pour faire votre sport depuis votre salon ?

 

Pour faire du sport à la maison, il n’est pas nécessaire d’avoir autant de machines que la salle du sport du quartier et ce n’est d’ailleurs pas l’objectif. Dans l’idéal, il vous faut tout de même un tapis de fitness ou de yoga pour ne pas glisser en faisant certains exercices (et pour votre confort). Cependant, il est tout à fait possible de faire votre séance sans tapis en choisissant les bons exercices. Pour ajouter un peu plus de difficultés, essayez les poids de chevilles, les bandes de résistances ou les petits haltères.

 

Quels exercices ?

 

Si vous n’avez pas beaucoup de place, pas de panique et pas d’excuses, vous pouvez trouver des exercices tout à fait adaptés, en faisant, par exemple, du yoga, des exercices de renforcement musculaire ou du step (avec un step ou une marche). Et si les exercices classiques ne vous motivent pas, pourquoi ne pas en profiter pour apprendre un nouveau style de danse ?

Vous vous posez peut-être encore des questions… Combien de temps par séance ? Combien de temps devez-vous tenir chaque posture ? Et surtout, comment faire les exercices correctement ?

De nombreuses vidéos sont disponibles sur YouTube, les réseaux sociaux ou sur des applications, comme par exemple Trainsweateat de Sissy Mua et Fitwini, où vous trouverez toutes les informations nécessaires pour le bon déroulement de vos séances.

N’oubliez pas de vous échauffer !

 

Help, je n’arrive pas à faire du sport de manière régulière!

 

Il n’est pas évident de faire du sport chez soi, les distractions sont nombreuses et vous vous dites peut-être qu’il y a toujours mieux à faire. Envisagez votre sport comme une routine à tenir, planifiez-la et utilisez un tracker comme celui de « Ma Routine Miraculeuse », de Fanny Huleux. Faites en sorte de ne jamais annuler votre séance plus d’une fois et évidemment, dans l’idéal, ne la ratez jamais.

Si vous sentez que les exercices sont trop difficiles et que vous n’arrivez pas à tenir sur la durée, aménagez vos séances selon votre niveau et vos envies. Si l’ennui se fait sentir, variez un peu !

Déterminez pourquoi vous voulez faire du sport. Selon votre motivation ou vos objectifs, vous pourrez déterminer quels exercices sont faits pour vous et vous tiendrez votre objectif plus facilement dans la durée.

 

À vos tapis !

 

Pour soutenir votre motivation, suivez le lien ci-dessous et si vous vous posez des questions sur les bienfaits du sport, c’est ICI!

L’influence de l’esprit sur le corps…
Mythe ou réalité?

L'influence de l'esprit sur le corps

Le corps et l’esprit sont-ils connectés ? C’est une question très ancienne, sur laquelle nombre de sages, de philosophes, de médecins se sont penchés depuis les débuts de l’humanité. La médecine chinoise, par exemple, repose sur le fondement d’une connexion corps, pensées et émotions.

Les scientifiques ont, aujourd’hui, établi l’existence de cette connexion, sans toutefois en comprendre totalement, pour le moment, le fonctionnement.

Notre corps, nos pensées, nos émotions sont donc indissociables. Dans un article, que vous pouvez lire ICI, nous avons évoqué les répercussions positives de la pratique sportive sur nos capacités cognitives : il ne s’agit que de l’un des aspects de la connexion esprit/corps. Le corps agit sur l’esprit, certes, mais l’esprit a également la capacité d’agir sur le corps, pour le guérir notamment.

 

Les pensées influent sur le corps

 

La gestion des pensées et des émotions, un des piliers du développement personnel, permet, entre autres bienfaits (s’épanouir, etc), de rester en bonne santé, d’après de nombreuses études scientifiques. Les effets du stress et des émotions comme la colère ou la tristesse sont néfastes pour le corps et augmentent les risques de maladies. A contrario, les émotions positives, comme la joie ou la gratitude, augmentent la longévité.

Ces émotions positives peuvent être catégorisées en deux groupes : elles résultent de plaisirs immédiats comme les bons moments, le fait de se régaler, ou d’un plaisir plus durable comme la sensation d’avoir donné un sens à sa vie. Les effets des émotions positives induites par le plaisir durable sont plus prononcés sur la santé physique et mentale.

Norman Bradburn a démontré, en 1969, que les émotions positives et négatives résultent de mécanismes différents : la suppression d’une douleur ne conduit pas nécessairement au plaisir. Il est donc nécessaire de travailler à la fois sur la gestion des émotions négatives mais aussi de développer les émotions positives et la sérénité.

 

Les pratiques psychocorporelles

 

Si longtemps, la médecine ne s’est concentrée que sur le corps, de nouvelles façons d’envisager les soins émergent. L’influence de l’esprit dans le processus de guérison est désormais reconnue par de nombreux praticiens, qui l’intègrent désormais et la recommandent aux patients.

L’impact de la méditation a notamment été étudié et s’est avéré efficace pour atténuer la douleur, agir sur l’épilepsie, etc. De plus en plus de centres médicaux proposent de travailler sur le corps pour soigner l’esprit et de travailler sur l’esprit pour agir sur le corps. Cette médecine, dite « intégrative », se développe. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) s’est d’ailleurs penchée sur le sujet pour évaluer l’efficacité de ces pratiques.

En reconnectant le corps et l’esprit, la médecine intégrative trouve sa source dans d’autres médecines traditionnelles, comme la médecine chinoise.

 

 

Le développement personnel, en transformant les schémas de pensée, en travaillant sur les croyances limitantes, sur la gestion des émotions, sur la pleine conscience et sur la définition de son chemin de vie pour donner du sens à nos existences, s’intègre pleinement dans cette évolution des mentalités. L’harmonie du corps et de l’esprit, la joie, la sérénité, participent à la reconnexion et à la réconciliation de ces deux parties de nous-mêmes.

Pour travailler sur ces différents points, nous vous conseillons les programmes de Fanny Huleux, que vous retrouvez ICI et notamment le programme « Stable & Ancrée » (inscriptions en cours pour commencer dès aujourd’hui! Prochaine rentrée dans six mois).

Le sport est-il bon pour la santé… mentale ?

Le sport est-il bon pour la santé mentale?

Vous faites une allergie (sévère) au sport ? Votre vision des sportifs est proche de stéréotypes dissociant muscles et intelligence ? Vous pensez qu’il est réservé à ceux qui veulent sculpter leur corps avant l’été ?

Cet article va changer votre conception et vos a priori ! Car, si nous connaissons bien les bienfaits de l’activité sportive sur le corps et sur la santé physique (elle renforce l’immunité, augmente la durée de vie, fait diminuer le risque de développer certaines maladies : cancers, maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, etc), son effet sur notre santé mentale et sur nos capacités cognitives est également prouvé scientifiquement. Autant de raisons de délaisser le canapé et de ranger ses pantoufles !

On intègre donc une séance de sport dans sa routine matinale et on reconnecte l’esprit et le corps…

 

Sport et capacités cognitives

 

On pensait autrefois qu’avec l’âge les neurones diminuaient, n’étaient pas remplacés, et qu’il s’agissait d’un processus inévitable lié au vieillissement. On sait aujourd’hui que la pratique du sport favorise leur entretien et stimule la production de nouveaux neurones, et ce, même chez les seniors (avec cet argument, si vous faites une pause dans la lecture de notre article pour enfiler des baskets, sachez que nous ne vous en tiendrons pas rigueur !). Elle réduit les risques de maladie neuro-dégénératives et de la maladie d’Alzheimer en augmentant la mémoire grâce à la formation de nouvelles cellules nerveuses et à l’augmentation d’une protéine favorisant la croissance et la survie des neurones. Ces travaux, menés sur des souris par une équipe de chercheurs dirigés par Fred Gage et Henriette von Praag ont inspiré d’autres études.

Plusieurs recherches scientifiques ultérieures ont démontré le même effet chez l’Homme. Ces effets seraient plus importants lorsque l’exercice stimule la réflexion (par exemple : vélo d’appartement versus vélo en extérieur, où l’on doit choisir son chemin, éviter les obstacles, adapter sa vitesse au terrain, etc).

Une équipe de chercheurs réunis autour de Johannes W de Greef a prouvé que l’exercice sportif intensif chez les enfants augmentait de façon significative leur attention et que l’exercice régulier favorisait non seulement l’attention mais aussi les capacités exécutives et les performances scolaires.

La pratique sportive augmente également la mémoire, favorise le sommeil (grâce à la production de dopamine et d’endorphines), une attitude positive et l’estime de soi.

 

 

Sport et moral

 

Si l’activité est adaptée au niveau sportif du participant, elle impacte favorablement l’estime de soi. Elle permet de retrouver conscience de soi et confiance en soi, deux des composantes de l’estime de soi. Au travers de la progression et des réussites, le sentiment de compétence se développe et permet d’aider à construire une identité positive. Connaissance de soi, des autres et sentiment d’appartenance à un groupe permettent de renforcer cette identité.

Les transformations physiques influent également positivement sur l’estime de soi.

Le psychologue James Blumenthal, de l’université Duke, en Caroline du Nord, explique que pour certains patients dépressifs (dépression légère à modérée), l’activité physique est considérée comme tout autant, voire plus efficace que les traitements.

 

 

Pour conclure, l’activité physique est une alliée indispensable de votre bien-être et de votre épanouissement. Fanny Huleux intègre dans sa routine matinale méditation et activité physique. Dans votre carnet de routine « Ma routine miraculeuse » vous retrouverez une partie dédiée à vos (nouvelles) habitudes sous forme de trackers. Les activités que vous pouvez pratiquer sont nombreuses, nous vous conseillons simplement de les adapter à votre forme physique et à vos goûts, ainsi que de faire preuve de régularité.

 

 

Mon journal intime
Déclaration d’estime de soi

Ma déclaration d'estime de soi

Fanny, c’est dur parfois de te comprendre.

Tu es souvent oubliée.

Tu t’es souvent perdue.

Et tu t’es souvent prise pour un petit caméléon par peur d’être vue.

 

Tu as eu peur de ne pas être aimée.

Tu as eu peur d’être aimée.

Tu as eu peur d’être toi.

Tu as eu peur d’être quelqu’un d’autre.

 

Toutes ces couches, tu les as enlevées une par une.

Tu as appris à te courber face aux vents en attendant qu’ils passent.

Tu as appris à aimer la lumière et la chaleur du soleil.

Tu as aussi appris à supporter le froid de certains cœurs.

Tu as appris à nourrir ta terre et à cultiver l’amour que tu recherchais désespérément ailleurs.

 

Désormais, ton cœur reste doux et chaud.

Aujourd’hui, parce que tu as appris à t’aimer, tu t’acceptes comme tu es.

Tu t’acceptes avec tes bosses, tes cicatrices et tes espoirs futurs.

 

Quel drôle de personnage tu es – pleine de nuances, de couleurs et de rythmes.

 

Tu es touchante, Fanny. Tu n’es jamais aussi touchante que lorsque tu es pleinement toi.

 

À travers ses mots, je souhaite que tu te rappelles, ma tendre Fanny, jusqu’à la fin de ta vie, que je t’aime et que je fais la promesse de t’aimer jusqu’à notre dernier souffle.

 

Je suis fière de toi.

Tu es, jusqu’à ce jour, ma plus belle fierté.

 

Je t’aime.

 

De Fanny à Fanny.