Ces aliments qui rendent heureux !

Saviez-vous que certains aliments boostent notre bonheur ? De plus, ces aliments sont également bons pour la santé ! Donc on fait quoi ? On cesse de saboter sa routine* quotidienne (méditation, gratitudes, sport…), qui nous mène droit vers la réalisation de nos rêves, avec des habitudes alimentaires néfastes pour notre joie de vivre et notre motivation et on se régale avec ces concentrés de bonheur.

*Vous n’avez pas de routine ? Hop ! Par ICI !

 

Les aliments qui rendent heureux

 

Sérotonine, dopamine, tryptophane, antioxydants… Vous vous perdez dans ces appellations ? Sachez seulement que les aliments contenus dans nos assiettes peuvent augmenter notre propension à la joie, nous permettre d’éviter les périodes de déprime ou les envies irrépressibles de sucre et contribuent au tonus et à la qualité du sommeil.

Dans la catégorie « fruits », les bananes font partie des grands gagnants avec les agrumes, les cerises, les mûres et les baies, ainsi que l’avocat, plus souvent consommé comme un légume. Vous souhaitez vous faire plaisir avec un carré de chocolat ? Bonne idée ! (De préférence s’il est noir et contient plus de 70% de cacao).

Lentilles, saumon, sardines, thon, crevettes, œufs, épinards, patates douces font partie des boosters de bonheur. Pour épicer le tout, on use et on abuse du safran, du curcuma… Et on accompagne ses repas d’eau.

 

Comment intégrer ces petits morceaux de bonheur dans sa routine ?

 

Plutôt que de suivre des instructions très précises, adaptez-vous à votre appétit, à vos besoins, à votre rythme et à votre routine quotidienne. Favorisez simplement les aliments boosters de bonheur et limitez nourriture industrielle, fast food, graisses et sucres. Vous n’avez pas faim le matin ? Plutôt que de vous astreindre à prendre un petit-déjeuner copieux dont vous n’avez pas envie, grignotez quelques myrtilles ou faites une pause en milieu de matinée. Pour que votre alimentation soit adaptée à vos besoins, il faut qu’elle soit adaptée également à votre mode de vie : une jeune femme de trente ans, commençant sa journée de télétravail à 9h00, ne se nourrit pas de la même façon, en même quantité ni aux mêmes heures qu’une retraitée peu active mais réveillée à 5h30.

Le donut coloré de notre photo de couverture vous a donné envie de le croquer ? Craquez ! Un écart de temps en temps vous permettra de vous faire plaisir et de tenir sur la durée.

 

Les aliments bonheur et la santé

 

Si des études ont déterminé que ce que nous mettons dans nos assiettes a une influence sur notre moral, on sait également que bien se nourrir est essentiel pour notre santé, le sucre et les aliments gras favorisant certaines maladies, par exemple ; ce que l’on sait moins, en revanche, c’est que notre alimentation a un impact sur nos capacités cognitives et notre mémoire. Se nourrir mal impacte donc les différents domaines de notre vie.

Il est nécessaire d’apprendre à écouter son corps, notamment la sensation de satiété, ce signal envoyé lorsque nous avons assez mangé, et de changer certaines habitudes pour favoriser les aliments qui sont bons et écarter ceux qui sont trop gras, trop sucrés, pour limiter les grignotages, etc.

Pour y parvenir, on évite de manger devant la télé (parce qu’elle distrait et ne permet pas de ressentir la satiété aussi rapidement) et on prête attention à ce que l’on fait.

 

Nos émotions influencent notre façon de manger

 

Autre point à prendre en compte : nos émotions. La nourriture est, aujourd’hui, disponible facilement et abondante : manger un gâteau qui nous rappelle notre enfance, des bonbons lorsque nous sommes tristes, un repas copieux pour fêter un évènement, du chocolat pour étouffer notre stress, des chips devant la télé et faire de ces comportements des habitudes, empêche d’écouter son corps, crée une dépendance et dérègle les mécanismes de satiété : « on mange sans faim ». Les fabricants multiplient les procédés pour déclencher l’achat : couleurs alléchantes, packaging attrayant, publicités… qui font appel à nos émotions.

Comme dans tous les autres domaines de la vie, si on se laisse trop guider par les émotions, on finit par en être esclave.

Le développement personnel permet d’en reprendre le contrôle et par là même, de changer les comportements alimentaires, amoureux, professionnels, etc.

 

Vous venez de prendre conscience que vous mangez (vraiment) mal ? Pas de panique !

Pour reprendre le contrôle de vos émotions, apprendre à écouter votre corps et avoir plaisir à en prendre soin, le programme « 21 jours pour se réconcilier avec son corps » sera parfait !

Optimisme et gratitude…
le bon combo!

Les gens qui pratiquent la gratitude sont plus heureux, plus optimistes, plus confiants et performants que les autres… Vous vous en doutiez peut-être un peu. Mais pourquoi ? Et comment développer cette aptitude à apprécier la vie et à être reconnaissants de tout ce que nous avons ?

 

Pourquoi pratiquer la gratitude rend-il plus heureux ?

 

Pratiquer la gratitude, s’émerveiller du monde qui nous entoure, permet de revenir dans le moment présent, libère de l’envie, de la jalousie et de la comparaison avec les autres. Elle favorise un meilleur sommeil et élimine le stress.

Par conséquent, elle améliore la santé mentale et physique, allant même, selon des études scientifiques, jusqu’à augmenter l’espérance de vie de ceux qui la pratiquent. La gratitude améliore l’estime de Soi et, par la gentillesse dont on fait preuve envers les autres, leur estime de Soi également.

 

Pourquoi la gratitude est-elle liée à la loi d’attraction ?

 

En focalisant notre esprit sur les éléments positifs, nous les verrons naturellement de plus en plus, saisirons des opportunités que nous n’aurions pas vues avant, etc. Notre inconscient nous donne ce que l’on nourrit. Nos émotions conditionnent notre comportement ; des émotions positives modifient donc nos actions et nos réactions de façon positive. Nous vivrons une énergie différente qui attire à nous une vie différente : le principe de la loi d’attraction.

 

Comment pratiquer la gratitude ?

 

L’idée est d’énumérer chaque jour les choses qui nous rendent reconnaissants et de prendre conscience, lorsque nous vivons de beaux moments, des petits instants privilégiés, de la chance que nous avons.

On peut se remémorer, avant de s’endormir, les meilleurs moments de sa journée, écrire, chaque jour, nos gratitudes dans un carnet, l’agrémenter de photos ou de jolis souvenirs et relire ce que nous avons écrit régulièrement. Cela passe aussi par remercier les autres de leurs petites attentions.

 

C’est décidé, vous commencez un cahier de gratitude demain ? Bravo !!!!

 

Si vous souhaitez aller plus loin, « Ma routine miraculeuse » est faite pour vous !

 

4. Abracadazou

Dans Abracadaboum, je vous avais donné mon kit pour un bon zou. C’était la théorie, j’ai testé et j’ai trouvé d’autres bonnes techniques pour un bon petit zou !

  1. Avoir une perspective qui vous fait sourire à tous les coups. Alors, pour vous, c’est peut-être le pot de Nutella en rentrant à la maison (perspective courte) ou les vacances à Hawaï dont vous rêviez, mais pour moi, c’est le petit chien que je vais avoir dans deux mois. J’en rêvais depuis des années, et le voilà, il est né et il grandit. À chaque fois que je regarde sa photo, je souris toute seule et je me remplis d’amour. Et ça remotive ! J’ai commandé plein de livres pour savoir comment l’éduquer (et m’éduquer moi aussi), je me motive à me lever plus tôt, je prépare mon quotidien et je veux gagner pleiiiiin de sous pour lui acheter des jouets. Yeah !

 

  1. Avoir une réserve de biscuits sous la main. Je retourne en enfance depuis quelques jours. Ma maman m’a acheté des Nutella & GO (on en trouvait aux caisses quand j’étais petite). Mon objectif est le même qu’auparavant, finir tout le Nutella en même temps que les bâtonnets et c’est tout un art. Retrouver ce qui nous réconfortait quand on était enfants, c’est un sentiment de dingue. Testez.

 

  1. Prendre le temps de prendre soin de moi. Fanny m’a conseillé d’écrire mes rêves et d’écrire mes gratitudes. Pour l’instant, je ne me rajoute pas d’autres choses à écrire le matin ou le soir. J’ai des difficultés à tenir les routines donc je veux prendre le temps d’intégrer ces nouvelles habitudes, de ne plus louper un seul jour avant d’étendre mes temps d’écriture. Ma routine du soir du moment c’est : soin de la peau, écrire mes gratitudes, petit pschitt de brume d’oreiller et lecture avec ma playlist chant de baleines. Je dors super bien après…

 

  1. S’occuper, sortir pour des activités et penser concret. Rien de tel que le sport pour s’ancrer dans la réalité ! No problem : j’accumule les activités au centre équestre. Je suis tellement courbaturée en fin de semaine que je marche comme un cowboy ! Le point positif, c’est que ça oblige à sortir de son antre et à voir la lumière du jour (exit les après-midi télé sous la couette avec un paquet de Schoko-Bons). Autre technique : quand mon esprit dérive vers de lointaines contrées, j’écoute un live de Fanny, un audio d’affirmations ou je me plonge dans un livre sur mon activité.

 

Attention ! Un zou ne garantit pas de ne plus avoir de boum. Prenez soin de vous, ne laissez pas votre esprit vous torturer et soyez patient·e.

La prochaine fois, ce sera un abradacada…quoi ? L’avenir nous le dira !

8 bienfaits d’une routine bien construite

Routines beauté, matinale, sportive… Les routines ont la cote ! Loin de l’ancienne définition de la routine, mortellement ennuyeuse, de ceux qui vivent leur vie comme des somnambules, elles sont maintenant synonymes de réussite et d’épanouissement. Les grands sportifs, les influenceurs et les entrepreneurs à succès les utilisent et les coachs les préconisent.

La grande différence entre la routine subie et la routine construite tient à l’absence d’ambition et de réalisation de soi de l’une et à la mise en place d’actions permettant d’atteindre ses objectifs de l’autre.

Quels sont donc leurs bienfaits ? Et pourquoi instaurer une routine sans plus attendre ?

 

  1. Répéter chaque jour des actions et des comportements choisis en rapport avec ses objectifs permet de les atteindre et de réaliser ses rêves. Vous voulez devenir écrivain ? Mettez en place une routine d’écriture (rêver sans rien faire ne fonctionne pas). Vous voulez avoir de jolies fesses rebondies pour l’été ? Mettez en place une routine sportive (enfourner des paquets de biscuits dans le canapé, c’est terminé !).

 

  1. Etablir une routine permet de donner une direction claire à vos journées tout en les structurant. Les actions choisies et bénéfiques pour vous deviennent des automatismes, ce qui vous permet de vous poser moins de questions quant aux actions à faire en commençant votre journée. Vous gagnez du temps et évitez l’indécision, synonyme de stress.

 

  1. Pour établir une routine, il est nécessaire que vous ayez une réflexion préalable sur vos priorités de vie. Vous ne passerez ainsi plus à côté de ce qui est essentiel pour vous, en vous attachant à des détails ou en vous noyant dans une quantité (inutile) de tâches inutiles. À la fin de la journée, vous avez ainsi la certitude d’avoir fait quelques pas en direction de vos rêves.

 

  1. Une routine permet d’organiser son temps pour réaliser les choses essentielles et de retrouver du temps pour les loisirs. En étant plus efficace (parce que focus sur vos objectifs) et en ayant réalisé tout ce qu’il était important de faire dans votre journée, vous récupérez du temps, autrefois utilisé avec moins de discernement.

 

  1. La procrastination, c’est fini ! Plus simples à réaliser, parce que régulières et réfléchies (vous savez exactement pourquoi vous faites les choses), les actions programmées dans votre routine sont faites chaque jour avant que votre petit diable intérieur n’ait eu le temps de vous emmener là où vous ne voulez pas aller (ben, non ! Vous avez des rêves à réaliser, vous ! Qu’il aille se perdre dans des futilités tout seul !).

 

  1. Vous avez besoin de moins d’énergie pour réaliser les choses. Comme pour votre routine déjà établie (vous laver les dents, prendre une douche, petit-déjeuner…), celle-ci deviendra un automatisme (il faut trois semaines pour prendre une nouvelle habitude) et demandera moins d’attention, ce qui évitera également l’anxiété liée à un questionnement quotidien sur l’organisation de la journée.

 

  1. Vous aurez une meilleure image de vous. La procrastination, le sentiment d’avoir « gâché » sa journée en actions futiles laisseront place à un sentiment d’accomplissement et à la fierté d’être efficace et de cheminer vers vos rêves.

 

  1. En envoyant des informations claires à votre inconscient chaque jour, vous utilisez la loi d’attraction. En effet, définir précisément ce que vous souhaitez obtenir, focaliser votre inconscient sur la réalisation de vos rêves et mettre en place des actions alignées sur vos valeurs et dirigées vers vos objectifs vous permettra de voir apparaître de nombreuses opportunités dans votre vie.

 

Vous souhaitez mettre en place une routine sans savoir comment vous y prendre ? Lisez ICI le mode d’emploi de la « Routine miraculeuse » de Fanny Huleux.

 

 

 

 

 

Ma routine miraculeuse : mode d’emploi

Vous voulez générer un chiffre d’affaires plus important, commencer la plongée (dans des eaux turquoise), créer une association ou rencontrer le Prince Charmant ? Alors, les trois tomes de la routine personnelle de Fanny Huleux, sont pour vous.

Vous venez de recevoir le premier tome et vous êtes surexcité·e ? Vous avez raison ! Votre vie change à partir de maintenant.

 

On commence par quoi ?

 

On ne se jette pas sur la routine du jour 1 sans lire la présentation et sans comprendre son fonctionnement… NON ! Commencez par lire et par intégrer les grands principes qui vont changer votre vie, cela vous permettra de comprendre l’importance de chacun des points constituant la routine.

Deuxième étape ESSENTIELLE : définissez vos objectifs pas à pas en suivant la démarche proposée. Commencez par définir vos priorités et votre mission de vie, vos objectifs de l’année et à trois mois… cela vous permettra de savoir précisément la direction que vous souhaitez emprunter et de déterminer des objectifs compatibles avec elle.

 

Semaine 1. Jour 1.

 

Ouiiii !!! Vous commencez aujourd’hui !

Installez-vous confortablement et au calme et suivez les étapes proposées : gratitudes, rappel de l’objectif principal, croyance à développer pour l’atteindre, méditation, définition des tâches du jour, demande à l’univers…

Si le réveil a été tardif, pas de panique, vous trouverez bien un petit moment ce matin pour remplir votre carnet.

Ce soir, vous ferez le bilan de ce qui a été accompli et vous préparerez la journée de demain.

 

 

 

Sobriété ou fantaisie ?

 

Ce carnet vous appartient, faites-en ce que vous voulez ! Coloriez, dessinez, barrez, débordez du cadre ou restez sagement dans les espaces délimités… Appropriez-vous votre carnet et transformez-le selon vos envies : il doit vous ressembler.

De plus, pour surfer sur la loi d’attraction, il est nécessaire d’être dans un état d’esprit positif… Votre routine doit être un plaisir (Go !).

 

Les résultats attendus

 

Votre routine miraculeuse vous promet… eh, bien… des miracles ! Vos rêves, enfouis depuis des années sous les nombreuses tâches d’un quotidien surchargé vont émerger et se réaliser.

Plusieurs principes simples l’expliquent : la plupart des gens ne définissent pas précisément la direction qu’ils veulent donner à leur vie ; leurs rêves sont flous et fluctuants. Préciser cette direction donne à vos rêves une chance de se réaliser. Le carnet permet de rester focus sur ce que l’on veut et d’avancer chaque jour dans cette direction.

L’utilisation de la loi d’attraction permet de voir et de saisir de merveilleuses opportunités qui vous emmènent vers la vie dont vous rêvez.

 

Vous doutez de l’efficacité des routines ? Rendez-vous ICI.

 

 

 

 

 

3. Yeeeeepaaaaa !!!

Un live qui m’a marquée pendant cette formation, c’était celui sur le marketing. Sujet qui m’intéresse et, en même temps, qui ne me semblait pas si nécessaire que ça.

 

Pour ne pas être noyés dans la masse et qu’on soit remarquables et vus, notamment si l’on développe notre activité en ligne (ce qui est mon cas), le but est de se différencier. Fanny nous a montré comment trouver les bons mots-clés (hashtags) par rapport à notre activité.

 

Et là, bien des croyances sont tombées… ! Personnellement, j’accompagne les femmes à se reconstruire après des violences. Le but, c’est qu’elles puissent être épanouies avec un homme. J’utilise principalement comme outil la danse thérapie.

Les hastags que j’utilisais pour ma communication étaient : violence, viol, abus, résilience, colère, danse thérapie, art thérapie.

 

Sauf que lorsqu’on a regardé si ces mots-là étaient recherchés/tapés sur Google, ce n’était pas le cas ! Je suis tombée des nues. Difficile de me trouver sur Youtube et Instagram car je suis “comme tout le monde” et noyée dans l’océan bleu des professionnels du bien-être. Belle prise de conscience 🙂

 

L’exercice de la semaine a donc été de trouver ses mots-clés, ceux qui étaient régulièrement recherché par les internautes ET qui avaient une “faible concurrence”. Traduction : des mots clés tapés sur Google peu utilisés par les autres thérapeutes, coachs etc. Tout ça dans un seul but : sortir du lot et se démarquer sur le marché !

 

Exactement ce que je recherchais pour développer mon activité de thérapeute. Je n’ai pas du tout envie d’être comme tout le monde 😉

 

S’ensuit toute une recherche de mots adaptés à ma nouvelle communication sur Youtube et Instagram. Des hashtags que je pensais sur-utilisés ne l’étaient pas tant que ça. Par exemple, estime de soi, confiance en soi, relation amoureuse, célibataire, danse, art, etc.

 

J’adapte maintenant ma communication à ces nouveaux mots clés pour que les personnes parfaites l’une pour l’autre, qui ont envie de faire leur bout de chemin ensemble puissent me trouver. Merci Fanny ! 😉

 

La suite au prochain épisode !

 

 

3. Abracadaboum

Je me suis un peu cassée la figure. Il y a deux semaines, l’artiste entrepreneuse en moi était à fond, super motivée, 200.000 idées à la seconde, une organisation se mettait en place, Fanny m’avait donné des conseils pendant le live que j’avais trop hâte d’essayer, quand soudain, BOUM. 

BOUM, ça veut dire que je me suis soudain retrouvée sous ma couette et mes quatre couvertures, le cerveau à la fois totalement vide et surchargé. J’ai également excellé dans l’art de la sieste, du « je ne veux rien faire » et de l’auto-lamentation. En bref, ma productivité a soudain été réduite à zéro. Evidemment s’ensuit une certaine culpabilité, une insatisfaction et de la colère.

 

Le kit pour un BOUM parfait : 

 

  • Couette et couvertures épaisses et larges, permettant de se cacher facilement
  • De la pluie, s’il vous plaît Monsieur Météo
  • Un chat qui refuse toute tentative de câlins, ça renforce le sentiment de solitude
  • Boire un café avant de dormir pour favoriser l’insomnie
  • Un bouquin déprimant où l’héroïne s’ennuie autant que le lecteur
  • Une épidémie mondiale à la The Walking Dead

Sauf qu’à un moment, non, non et non, il y en a marre de ne rien faire du tout. Donc, je me suis remise à faire un petit pas chaque jour. J’ai eu une énorme prise de conscience lorsque Fanny m’a appelée. J’étais partie pour un sprint alors que je devais me préparer pour un marathon. Je me suis épuisée, stressée, inquiétée, surchargée et c’était intenable dans la durée. Alors Fanny m’a donné une citation : tout vient à point à qui sait être patient. Je comprends maintenant, et je n’en avais pas conscience avant, qu’il vaut mieux que je fasse une petite action chaque jour, un petit progrès plutôt que de m’épuiser sur un court laps de temps en chargeant ma to do list. J’ai donc décidé d’être gentille avec moi-même, de m’amuser et de prendre du plaisir. 

Abracadazou, allez zou, c’est reparti ! 

 

Le kit pour mon ZOU : 

 

  • Prendre le soleil et sortir de son antre
  • Un pas après l’autre, faire avancer son entreprise en prenant du plaisir
  • Avoir plein de post-it avec les conseils de Fanny et des photos inspirantes (j’adore les post-it, pas vous ?)
  • Des bouquins motivants (Harry Potter ?)
  • Un café le matin (c’est beaucoup mieux que le soir)
  • Une brume d’oreiller pour bien dormir (merci maman !) 

 

Je vous tiendrai au courant !

4. Douceur

Grâce aux thèmes et aux exercices du moment que sont l’affirmation de soi, les limites, et la vulnérabilité, j’ai réalisé que j’avais une croyance très ancrée en moi : je suis persuadée que je ne peux pas à la fois m’affirmer, dire non, poser des limites et rester bienveillante, sensible et gentille.

Une rupture s’est formée dans mon esprit entre force et douceur.

J’ai eu envie de me prêter à un jeu, celui d’écrire ma douceur.

Je crois que c’est l’exercice d’écriture le plus compliqué que j’ai eu à faire.

Ecrire ma douceur… ça ne vient pas naturellement.

Pour m’aider, j’écoute Les Nocturnes de Chopin. Niveau douceur, on peut difficilement faire mieux.

Et puis j’ai fait une recherche sur internet. Il faut bien commencer quelque part.

La douceur serait associée à la « douceur de caractère. »

C’est là que je me suis questionnée : la douceur serait-elle opposée à la force de caractère ?

Jane Austen décrit Elizabeth Bennett* comme ayant une « grande force de caractère », et même si j’ai longtemps souhaité lui ressembler, je me sens bien loin de son caractère indépendant, son intransigeance et sa personnalité téméraire.

Aujourd’hui, je pense simplement être dotée d’autres forces.

La douceur en ferait-elle partie ? Là, maintenant, je crois que oui.

La douceur est un mot que j’utilise pour me décrire, pour me vendre même. C’est un trait de caractère que j’aime chez moi. Mais jusqu’aujourd’hui, je ne m’étais jamais penchée sur le sens de MA douceur.

Ce que je sais, c’est que ma douceur est liée à ma gentillesse, ma bienveillance ou encore mon amour, valeurs que je chéris.

J’ai longtemps cru qu’être gentil était une faiblesse. Peut-être parce qu’on m’a dit un jour que je n’irai pas loin avec ma gentillesse. À ce moment-là, avec toute la douceur du monde, j’ai fermement répondu que je n’étais pas d’accord.

La gentillesse est souvent associée au mot « trop » dans la bouche des autres. Tu es trop gentille. Mais par rapport à quoi, à qui ?

Ma douceur est une force.

Elle me définit, au côté de bien d’autres traits de caractère.

Aujourd’hui, je ne veux plus en avoir honte, mais la célébrer. Être doux n’est pas être mou. Cela demande du courage de rester fidèle à soi-même, à ses convictions, tout en respectant l’autre. De s’affirmer avec fermeté sans blesser ou humilier.

Ma douceur n’est pas linéaire, bien au contraire.

Car finalement, si je sais être conciliante, à l’instar d’Elizabeth Bennett, je peux parfois faire preuve d’intransigeance. Pour répondre à ma propre question, ma douceur EST une force de caractère. Et il en faut pour accepter cette douceur qui rend parfois vulnérable dans cette société. Car ma douceur est aussi sensible et empathique.

Pour toutes ces raisons, ma douceur est puissante et je ne l’échangerai contre rien au monde. Elle fait partie de qui je suis. Si je résume, une femme forte, gentille, bienveillante, aimante, courageuse, non linéaire, parfois conciliante, parfois intransigeante, vulnérable, sensible, empathique, puissante…

Oui, je suis tout ça, et bien plus encore.

Qu’il est bon d’en prendre conscience !

Et qu’est-ce que j’aime Chopin !

 

*Personnage du roman Orgueil et préjugés.

3. Bonheur

Que voulez-vous vraiment dans la vie ?

Si vous  me posez la question, je vous répondrais certainement que je veux être heureuse.

Comme 99% des êtres humains, sûrement.

 

Alors, la question à se poser ensuite, doit être « comment ? », n’est-ce pas ? 

 

Comment être heureux ?…

Il y a encore quelques mois, je pensais que le bonheur se trouvait dans les choses à l’extérieur de moi que je n’avais pas. Que je serai plus heureuse lorsque je serai plus mince et que j’aurai une belle maison, un enfant, plus d’argent…

Je riais au nez des gens qui disaient que « l’argent ne fait pas le bonheur ». J’étais persuadée que je devais être riche pour être heureuse. Sinon comment pourrai-je manger bio, m’acheter des vêtements éthiques, avoir ma grande maison au bord de la forêt, voyager, payer l’école Montessori à l’enfant que je n’ai pas encore ?

 

Comme si mon bien-être et toutes mes émotions dépendaient de facteurs extérieurs à moi-même. 

Comme si acheter tel vêtement, telle expérience ou tel objet  m’apporterait de la joie, du plaisir ou de l’amour, me permettrait de changer la façon dont je me sens.

 

Alors que mes émotions sont créées à l’intérieur de moi, par mon esprit. J’ai un contrôle total sur elles.

Elles ne dépendent que de mes pensées.

L’assimilation de ce principe a eu l’effet d’une bombe en moi. 

Cela faisait tellement sens ! 

 

Peut-être avez-vous déjà atteint des objectifs en pensant que cela vous rendrait heureux, alors que la réalité était toute autre ? Une fois avoir obtenu le poids idéal, le chiffre d’affaires attendu, la maison rêvée… vous sentez-vous vraiment heureux ? 

Personnellement, jamais. Il y avait toujours quelque chose que je n’avais pas encore, j’avais toujours besoin de plus. 

 

J’avais un système de pensée basé sur le manque, plutôt que sur l’abondance.

 

Et puis j’ai commencé  à pratiquer la gratitude. 

J’ai toujours entendu que c’était un outil remarquablement puissant, mais je  n’avais jamais vraiment pris la peine d’essayer. Cela me paraissait trop facile pour être efficace…

Mais à force d’entendre Fanny nous répéter que le développement personnel n’a pas à être compliqué, j’ai tenté.

 

Deuxième bombe en moi.

 

Chaque jour, voir tout ce que je possède déjà, ne plus rien prendre pour acquis, briser le cercle vicieux du manque. 

Découvrir ma richesse. 

Celle d’être en bonne santé. D’avoir un toit, à boire et à manger. D’être entourée par ma famille et mes amis. Celle d’avoir accès à l’éducation, à l’électricité, à internet…

 

Chaque jour, remercier la vie pour les moments de rire, de connexion, d’accomplissement, de douceur. 

 

Chaque jour, désirer profondément ce que j’ai déjà. 

Je désire profondément avoir la liberté de construire mes journées selon mon propre rythme,

Je désire profondément posséder un espace dans lequel je me sens chez moi, en sécurité et en paix,

Je désire profondément être amoureuse de mon meilleur ami…

 

C’est puissant. 

Car finalement, ce qui détermine notre niveau de bonheur, et toute émotion que nous ressentons, c’est la façon dont nous pensons.