2. Engagement

Un si petit mot pour une action si importante. Celle de faire une promesse. A quelqu’un, pourquoi pas, mais surtout, à soi-même.

 

Je n’avais jamais vraiment pensé au sens de l’engagement pour moi. 

En y réfléchissant bien, cette promesse, je ne la fais presque jamais. On pourrait presque croire que je la fuis. 

 

Je me suis demandé pourquoi ? Pourquoi l’engagement me fait-il si peur ?

Est-ce la crainte de me sentir étouffée, prisonnière ?

Est-ce parce que je veux pouvoir rester libre ? Libre de pouvoir me tromper, revenir sur mes décisions, sans que cela n’ait trop d’importance ? 

Sans doute.

Pourtant, la liberté n’est-elle pas intimement liée à l’engagement ? Paradoxalement, afin de devenir libre, ne faut-il pas s’en faire la promesse ?

« La liberté n’est pas l’absence d’engagement mais la capacité de choisir », nous dit Paulo Coelho. 

Choisir de poursuivre ses rêves, s’engager à tout faire pour y arriver. 

 

Dans ma vie, j’ai vécu beaucoup de situations comme des échecs. Autour de ça, j’ai construit des croyances, je me suis mise dans des cases. Celles d’être une lâcheuse qui ne va jamais au bout des choses, d’être une ratée qui ne trouvera jamais sa voie. Et autant de mots durs et de pensées violentes.

Aujourd’hui, je sais que c’est la manière qu’a la vie de m’orienter dans une autre direction. Tous ces détours sont devenus des expériences qui m’ont permis d’arriver là où je suis aujourd’hui. 

Petit à petit, l’oiseau fait son nid.

 

En m’inscrivant aux programmes de Fanny, je me suis engagée à aller au bout. À terminer ce que je commençais.

Mais en faisant ce pacte avec moi-même, j’étais loin de m’imaginer à quel point ce serait dur de l’honorer.

Une fois l’excitation et l’adrénaline de la prise de décision retombées, une fois le bout de papier signé, je me suis retrouvée face à mes peurs, à mes doutes.

 

Tous les jours, je pense à rompre cet engagement en abandonnant. 

Mais, tous les jours, je mets un peu plus de conscience sur mes comportements, mes mécanismes de défense, mes résistances. 

Et tous les jours, je teste ma force de caractère, ma persévérance, ma détermination à changer le cours des choses. 

Car, tous les jours, je tiens bon. Un pas après l’autre, je trace le chemin vers ma nouvelle vie. 

 

Si j’ai hésité à m’engager avec Fanny, c’est certainement parce que je savais au fond de moi que je m’apprêtais à faire la promesse la plus importante de ma vie : celle qui me changerait à jamais. Celle qui me permettrait d’être stable, ancrée, libre et heureuse.

Plus que la peur d’échouer, et si j’avais peur de réussir ? De rencontrer cette nouvelle Léna, de découvrir cette nouvelle vie? 

 

J’ai déjà eu tellement de déclics et de prises de conscience… Un nouveau monde s’ouvre à moi : celui où tout est déjà là, à l’intérieur de moi. 

Je suis émue en écrivant ces lignes, touchée de savoir que sans cet engagement, j’aurais certainement déjà lâché. Il faut de la ténacité et du courage pour faire un travail profond sur soi.

 

Je m’en rends compte aujourd’hui, j’ai cela en moi. Nous l’avons tous.

Il suffit d’une promesse.

 

Tu vas tout déchirer… ok, sauf le bouquin!

Ce livre de Jen Sincero est un petit recueil de bonne humeur et de motivation à garder près de soi. Un coup de mou ? Hop, un chapitre et vous êtes reparti·e. A grand renfort de citations, d’anecdotes et de conseils, l’auteure nous ramène dans le droit chemin.

 

Un livre qui réveille…

 

Comme un verre d’eau en pleine figure. Jen Sincero ne mâche pas ses mots pour nous faire comprendre que chouiner en attendant qu’une pluie de bonheur et de billets nous tombe dessus n’est pas la solution. Elle nous permet aussi de relativiser notre situation en nous racontant les problèmes qu’elle-même ou ses amis ont connu. Vous connaissez quelqu’un qui se retrouve avec un camion dans sa toute nouvelle vitrine ? Nous, non. Elle, oui.

Les glaces sous la couette, c’est terminé. Place à l’action.

 

Tout est possible

 

Vous rêvez d’ouvrir un café canin en Inde ? Foncez ! Maintenant que vous avez jeté la glace et fait votre lit, l’auteure vous explique comment changer votre vie : citations inspirantes, plan d’action pour changer votre intérieur en un réel QG pour réalisation de vos rêves et routines afin d’être toujours au top. L’objectif est d’attirer l’abondance, de prendre la vie du bon côté (cessez de croire que « the floor is lava* »), et d’obtenir la vie que vous avez toujours voulue.

*Jeu enfantin devenu défi sur les réseaux sociaux. Il s’agit de trouver un lieu en hauteur lorsque quelqu’un prononce la phrase « Le sol est de la lave ».

 

Souriez, rigolez et apprenez

 

Tu vas tout déchirer vous arrachera sûrement quelques sourires, peut-être même des fous rires. Jen Sincero nous balade d’anecdote en anecdote avec humour et bonne humeur. Prenez le livre partout avec vous : les chapitres sont découpés en parties et vous permettront de vous repérer très rapidement afin de retrouver LE conseil dont vous avez besoin.

 

Foncez, apprenez et amusez-vous. Go !

Pourquoi glisser le livre
« Influence et manipulation » dans son sac ?

Robert Cialdini est un chercheur américain en psychologie sociale, spécialiste de l’étude de la persuasion et était, comme la plupart d’entre nous, la cible parfaite des solliciteurs et vendeurs. Comme il l’explique dans son introduction, c’est cette position qui l’a poussé à comprendre ce qui nous fait dire « oui », même lorsqu’on voudrait bien dire « non ».

 

Cessez de culpabiliser !

 

Tout le monde a déjà ressenti la désagréable sensation de faire un achat dont il ne veut pas vraiment. C’est grave docteur ? Apparemment, non. L’auteur nous prouve même que c’est normal.

En effet, les automatismes de notre cerveau sont utiles à la société et nous permettent de ne pas crouler sous le flot d’informations. Les vendeurs connaissent très bien ces automatismes et en jouent pour vendre. Ne regardez pas de travers tous les vendeurs, ils vous facilitent la vie la plupart du temps. Imaginez-vous, devant le rayon des ordinateurs, à analyser toutes les fiches, à hésiter pendant des heures en vous demandant quel sera le bon choix. Super vendeur à la rescousse ! Vous êtes libéré·e de ce trop plein d’informations et vous rentrez content·e chez vous.

 

Expérimentez !

 

Aujourd’hui, c’est l’entretien pour le job de vos rêves et vous voulez mettre toutes les chances de votre côté. Ni une ni deux, vous sortez Influence et manipulation parce qu’après tout, que ce soit vous ou un autre, ils ont besoin de quelqu’un.

Utiliser les techniques présentées par Robert Cialdini ne fera pas de vous un vilain escroc mais vous donnera un joli petit coup de pouce. Ce livre sera votre meilleur ami dans votre vie professionnelle mais aussi… dans votre vie personnelle. Vous avez peur d’avouer que vous avez cassé le vase préféré de mamie ? Pas de soucis, la solution s’y trouve aussi.

 

Help ! Comment se protéger des vilains escrocs ?

 

Robert Cialdini n’a pas oublié ce point essentiel. A chaque principe exposé, il explique en fin de chapitre comment s’en protéger. Il est cependant essentiel de ne pas se méfier de tout le monde, la majorité des gens sont pleins de bonnes intentions. L’idée est plutôt de savoir dire « non » quand vous sentez que vous n’êtes pas d’accord mais que vous risquez de dire « oui » quand même.

Ps : méfiez-vous des magasins de jouets en période de fêtes ! (En page 100, Robert Cialdini nous explique comment il a acheté le double des cadeaux prévus pour son fils, deux années de suite).

 

Bonne lecture !

« The Miracle Morning »
une méthode simple pour changer sa vie?

Se lever à 5h30 chaque matin, ça tente quelqu’un ? Hal Elrod, un des coachs en développement personnel les plus connus des Etats-Unis a conçu une routine matinale, permettant à chacun·e d’exploiter son plein potentiel et d’obtenir la vie de ses rêves. Entre fervents convaincus et détracteurs, on fait le point sur sa méthode.

 

L’histoire incroyable (et inspirante) d’un optimiste invétéré

 

Hal Elrod est un jeune garçon plutôt ordinaire, qui ne semble pas appelé à vivre un destin hors norme ; c’est un élève moyen, ni sportif, ni populaire.

Lorsqu’il termine le lycée, en parallèle de sa première année de faculté, il se fait embaucher dans une entreprise pour laquelle il est chargé de vendre des couteaux de cuisine et se promet de réussir à tout prix, ce qu’il parvient à faire très rapidement en battant des records de vente.

Jusque-là, rien d’extraordinaire… Si ce n’est qu’il est un excellent commercial. Mais le 3 décembre 1999, à l’âge de vingt ans, Hal, au volant d’une Ford Mustang flambant neuve, est heurté par une voiture conduite par un conducteur ivre. L’accident est violent, ses os sont brisés et son cœur s’arrête de battre pendant six minutes. S’ensuivent six jours de coma. Le diagnostic est un choc : il ne marchera plus jamais.

Non seulement il remarchera (et courra plus tard des marathons) mais il continuera son ascension au sein de la société pour laquelle il travaille. L’épreuve qu’il a traversée l’inspire et il tente d’écrire un livre avant de commencer à raconter son histoire dans les lycées et les universités.

Après plusieurs tentatives ratées, il écrit un premier livre dont il ne perçoit pas de droits d’auteur car son éditeur les lui vole ; ce qui ne le décourage pas : il devient coach en développement personnel et professionnel. Il accompagne des centaines de personnes, principalement des chefs d’entreprise, jusqu’à la crise économique de 2007, qui le laisse totalement ruiné… et dévasté.

Il se met à courir, sur les conseils d’un ami, en écoutant un enregistrement de Jim Rohn*. En prenant cette nouvelle habitude, l’idée lui vient de créer une routine matinale, qu’il teste d’abord sur lui et qui lui permet d’enchaîner les succès. Cette méthode, dont il tire un livre un best-seller le rend célèbre dans le monde entier.

*Jim Rohn est un entrepreneur américain également coach et écrivain.

 

Des méthodes simples

 

Après son accident, Hal utilise une méthode qu’il appelle « La règle des 5 minutes », inspirée par le patron de l’entreprise de couteaux. Lorsqu’il subit un évènement désagréable, il règle une alarme et s’autorise à se plaindre pendant ces quelques minutes puis passe à autre chose.

« The Miracle Morning », la méthode développée par Hal Elrod, peut se résumer en quelques mots : se lever (très) tôt et suivre un rituel qui permet de recréer « artificiellement » chaque jour l’impression d’un matin où on se lève en forme, plein d’énergie et d’idées.

Ce rituel repose sur 6 piliers appelés les S.A.V.E.R.S :

Le Silence (et notamment la méditation), les Affirmations (en rapport avec ses objectifs), la Visualisation (de la vie dont on rêve ou de son objectif), l’Exercice physique (marche, yoga ou toute autre activité), la lecture* (un livre en rapport avec ses objectifs, de développement personnel, de fiction, une biographie…), l’écriture** (les pensées qui viennent, la gratitude…).

*Reading   **Scribing

 

Des points de vue très différents

 

Certains sociologues voient avant tout dans cette méthode une conquête capitaliste permettant une plus grande efficacité des travailleurs, qui rognent leurs heures de sommeil. Cette diminution du sommeil est également pointée du doigt par les médecins et par des personnes qui l’ont testée.

Des effets positifs sont, en revanche, également constatés : un niveau d’énergie supérieur, généré par le sport, de l’enthousiasme, des pensées négatives qui ne s’accumulent plus mais se libèrent…

Une des difficultés consiste à réussir à mettre en place et à garder sa routine :

La discipline est indissociable de la méthode. Les premiers temps sont désagréables, les jours suivants sont supportables, la dernière phase est un plaisir… Et l’habitude est prise.

 

L’avis de la rédaction :

 

À la rédaction, nous sommes intimement convaincus des bienfaits des routines matinales. Fanny Huleux a bâti son entreprise en créant et en suivant sa propre routine, élaborée après de nombreuses recherches et expérimentations. Elle mène à bien tous ses projets de la même façon.

Le seul bémol que nous émettons concerne la diminution des heures de sommeil dans le cas de « The miracle morning » (se lever tôt n’admet pas d’exception). Un élément nous semble également manquer : le bilan quotidien effectué après chaque journée.

Pour lire notre article « Ma routine miraculeuse, mode d’emploi ! », la routine quotidienne par Fanny Huleux, cliquez ICI.

6 petits plaisirs de printemps…
Avant l’heure!

Nous ne sommes qu’en mars et le printemps se fait attendre mais de belles journées nous en donnent un avant-goût et nous invitent à profiter du moment présent et à pratiquer la gratitude…

 

Petit plaisir n°1 : Se laisser réveiller le matin par le chant des oiseaux et les rayons du soleil. 

 

C’est le moment de laisser les volets de la chambre ouverts pour se réveiller en douceur le matin car, même en ville, les oiseaux commencent leur sérénade dès le lever du jour. 

Alternative : On achète un réveil qui propose simulateur d’aube, chants d’oiseaux, bruit des vagues ou de cascade à la place de la traditionnelle et stridente sonnerie qui met tout le monde de mauvaise humeur pour la journée.  

 

Petit plaisir n°2 : Sortir dans la fraîcheur du matin. 

 

La fraîcheur d’un matin (presque) printanier, promesse d’une journée tiède et ensoleillée est revigorante. 

Terminée l’épreuve consistant à mettre le nez dehors à peine réveillé·e et à grelotter malgré écharpe et bonnet. On se lève plus facilement, on prend le temps de chantonner dans la salle de bain et on sort de chez soi en forme, vêtu·e d’une petite laine qu’on enlèvera dès dix heures (même si l’on SAIT qu’il ne faut pas se découvrir d’un fil avant mai, les gants et autres accessoires sont remisés au fin fond de notre dressing). 

 

Petit plaisir n°3 : Aller au marché. 

 

Flâner sur le marché, acheter des produits frais, faire le plein de fruits et de légumes, revenir avec un bouquet de tulipes et un autre d’herbes aromatiques, discuter avec les amis rencontrés sont autant de petits moments de bonheur dont il faut profiter. Et si l’on manque parfois de motivation l’hiver, dès que le soleil pointe le bout de son nez, plus d’excuses ! On sort, on s’aère et on fait le plein de cette vitamine D qui nous fait parfois cruellement défaut. 

 

Petit plaisir n°4 : Déjeuner sur la terrasse ou pique-niquer sur un banc. 

 

La météo est parfois capricieuse, alors hors de question de rester enfermé·e lorsqu’il fait beau. Si la journée est ensoleillée, on change son programme et on déjeune au soleil en famille ou seul avec un bon roman (non, non ! On ne passe pas son temps à tapoter frénétiquement sur son smartphone !). On en profite pour faire une petite promenade à pied ensuite. 

 

Petit plaisir n°5 : Ressortir sa bicyclette. 

 

Si l’hiver nous contraint à utiliser beaucoup nos polluantes voitures (sous peine d’être enrhumé·e de novembre à février), les mois à venir sont propices aux déplacements sur deux roues. On se munit donc d’un engin digne de ce nom, muni d’un panier pour les emplettes ou les jolies découvertes et d’un antivol qui permettra de s’arrêter en chemin pour une petite visite à Mamie Georgette, une course rapide en ville ou une sieste sous un arbre.  

 

Petit plaisir n°6 : Investir le jardin et profiter des jours qui rallongent. 

 

On sème, on plante, on repique ! On désherbe, on bine, on bêche… et on s’offre ce petit plaisir même en appartement où l’on dispose, sur les châssis et balcons, pots et jardinières. Après le jardinage, on profite du début de soirée en sirotant un verre, en admirant son œuvre ou en regardant l’herbe pousser…  

 

Après ces belles journées, on n’oublie pas de remercier l’Univers pour tous ces petits plaisirs accordés, on note ces jolis souvenirs dans un carnet de gratitude où l’on colle photos, fleurs séchées et petites trouvailles.

Enjoy !* 

 *Amusez-vous bien ! 

 

Comment voir la vie en rose ?
(quand la situation ne nous amuse pas)

Depuis Baudelaire et le Spleen (très chic !), on pensait que les choses s’étaient arrangées… Mais les sociologues nous le confirment : nous vivons dans une société qui s’attriste. Et la situation sanitaire n’arrange rien, elle « pèse comme un couvercle, sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis* ». Il est donc urgent de retrouver notre optimisme en posant une paire de lunettes roses sur nos jolis petits nez et de nous intéresser vivement à la question… 

Plutôt que de laisser un virus agir sur notre moral, faisons le point sur les moyens à notre disposition pour lutter contre la morosité ambiante et compensons le négatif en apportant encore plus de positif dans notre vie.

*Extrait de Spleen de Charles Baudelaire.

 

On se bouge ! (Ou pas !)

 

Les interactions sociales diminuent, ce qui a tendance à plomber notre moral (l’aspect négatif) mais qui nous libère du temps (l’aspect positif). Plutôt que de circuler du salon à la cuisine et de la cuisine au salon, avec des pieds de… plomb, profitons de ces heures libérées pour commencer une activité sportive : les applications de yoga, de danse, de fitness, permettent de les pratiquer à la maison, en poussant les meubles si nécessaire, ou dans le jardin, si le temps le permet.

La méditation*, très efficace pour lutter contre le stress et les angoisses, vous aidera à retrouver une image sereine du présent et du futur. Ce temps pris pour vous, chaque jour pour adopter une « routine sérénité », vous sera vite indispensable et vous aidera à discipliner vos pensées et vos émotions.

*Vous ne savez pas comment faire ? Inscrivez-vous en bas de page pour recevoir trois méditations offertes.

 

On construit ! (Si, si !)

 

Puisque cette période est particulière et que de nombreuses possibilités antérieures ne sont plus que de doux souvenirs, adaptons-nous, actualisons nos projets et exploitons pleinement nos possibilités actuelles. Les choses tournent au ralenti ? Soit ! Mais pas nous !

C’est le moment de créer une entreprise en ligne, de se remettre eu crochet ou à la broderie, de s’attaquer enfin à notre PAL*, oubliée dans un coin, de commercialiser sur un site de e-commerce ces jolies bougies maison que vous offrez habituellement à vos proches.

*Pile à lire.

 

On (se) love !

 

Parce que lorsque les temps sont difficiles, on a tendance à se chamailler avec nos proches et à faire la tête au miroir, on reprend les choses en main en s’occupant de soi et des autres.

Charité bien ordonnée commençant par soi-même, on passe un peu de temps dans la salle de bain, on se chouchoute, on se dorlote et on en ressort tout·e souriant·e, réconcilié·e avec son image et prêt·e à passer une bonne journée, en se montrant agréable avec tous. 

Parce que les mésententes familiales entre partenaires, parents ou enfants, stressés et déprimés par l’actualité et les restrictions, sont fréquentes, prévenons-les en positivant et en se rappelant que les autres souffrent également. On ne prend donc pas les choses personnellement et on s’attache à ce principe encore plus que d’habitude.

 

Allez, hop ! Une belle journée commence !

Et si, vous êtes en difficulté, le programme « Stable&Ancrée » sera parfait pour vous rebooster !

 

Gestion administrative dans l’entreprise :
comment passer du stress à la sérénité ?

Si pour certains le rangement, le classement, le tri et l’organisation semblent innés, pour d’autres, retrouver en moins de trois jours le document à fournir au comptable (pour hier) est une gageure (et un parcours du combattant).

 

Avertissement : En lisant cet article, on s’amuse ! Inutile de se flageller si les papiers non traités s’accumulent, notre rapport au rangement est lié à l’enfance, aux croyances internes et à notre personnalité (les créatifs et l’ordre, comment vous dire ?) ; donc, on est doux avec soi-même et on essaie de s’améliorer (ou on délègue !).

 

La méthode des désorganisés :

 

  1. Chercher le document dans les trois cartons de papiers qui attendent dans un coin un hypothétique classement.
  2. Tenter de retrouver une version numérique en ligne (dans les mails de l’année dernière peut-être ?).
  3. En désespoir de cause, appeler à l’aide l’administration ou l’entreprise concernée et patienter trois fois 45 minutes en écoutant une musique dé-stressante (plus probablement stressante dans votre état d’énervement).

Vous lisez cet article tout en patientant au téléphone parce qu’un conseiller ou une secrétaire vous a mis en attente ? Lisez les conseils qui suivent (vous aurez sûrement le temps de les lire plusieurs fois) et passez du stress à la sérénité…

 

Une bonne gestion est indispensable au bon fonctionnement de votre entreprise…

 

Si vous avez un doute, tentez de ne rien gérer du tout pendant trois mois : rappels de charges, pénalités, fournisseurs mécontents… La situation peut vite devenir très inconfortable et peut mener à terme au fiasco ultime : le dépôt de bilan.

Beaucoup d’entrepreneurs commencent l’aventure professionnelle de leur vie persuadés que leur talent ou leurs compétences dans le domaine choisi sera suffisant : si vous êtes dans ce cas, atterrissez ! Non, votre talent ne suffit pas ! Il est essentiel mais insuffisant. 

La gestion administrative et la comptabilité ont tout autant d’importance l’une que l’autre et gagneraient à ne pas être confondues. 

La gestion administrative implique de s’assurer du respect de la réglementation liée à l’activité, des ressources financières nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et aux choix qui sont faits (marketing, approvisionnement, etc) et d’assurer son fonctionnement administratif et social : le gestionnaire analyse des données comptables pour faire des choix. Le comptable traite les données financières, établit les documents comptables pour qu’ils répondent à la législation et permettent d’optimiser les comptes de l’entreprise. 

Être attentif.ve à ces deux aspects permet de faire des choix plus pertinents pour son entreprise et d’en garder le contrôle.

 

Conseil n°1 : Apprendre à « bien » déléguer.

 

Si vous confondez « déléguer » avec « ne pas s’en préoccuper », vous risquez quelques soucis. Vous pouvez bien sûr déléguer une partie du travail : déléguer la partie « comptabilité » à un expert-comptable est la solution la plus fréquemment adoptée mais il vous sera nécessaire de garder une bonne vision de cet aspect afin de prendre les décisions importantes concernant votre gestion de l’entreprise mais aussi de préparer son travail (lui envoyer un camion de déménagement pour livrer les cartons de papiers non triés n’est pas une solution acceptable).

Votre rôle va donc consister à la fois à consulter les documents qu’il vous envoie (et à en tenir compte) mais aussi à consulter, à trier et à lui envoyer les éléments essentiels à son travail.

 

Conseil n°2 : Comprendre que l’organisation est une des clés de votre réussite.

 

Vous démarrez votre année entrepreneuriale sans savoir où vous allez ? Vous n’avez aucune vision ni à court terme ni à long terme des finances, des projets que vous allez développer ou du contexte économique lié à votre activité ? Ooooh ! Comment vous dire ?

Commencez par vous organiser en établissant un planning de l’année (ou des trois mois à venir) : les projets en cours, les projets à venir, votre communication, les dépenses à prévoir, les rentrées d’argent… 

Assurez-vous que ces éléments ne soient pas incompatibles : assurer des conférences à Paris et suivre une formation à New-York ne vous sera pas possible (à moins que… vous avez le don d’ubiquité ?), livrer un client avant d’avoir terminé le processus de fabrication semble compliqué, tout comme payer vos charges peut devenir utopique si vous avez géré vos achats en les occultant.

 

Conseil n°3 : Gérer votre temps, une autre clé.

 

Vous avez plusieurs mois de retard dans votre gestion administrative et comptable ? Pas de panique ! (Enfin, si, un peu !) Il est temps de vous bouger et de consacrer du temps à rattraper ce retard. Ça va être très désagréable mais vous allez comprendre rapidement l’importance de répartir ces tâches dans votre planning et de les accomplir ensuite régulièrement.

L’idée ? On en fait un peu tous les jours…

Donc…

On ouvre le courrier et les mails tous les jours.

On paye les factures et les charges avant la date limite.

On établit un programme de tâches administratives pour la semaine et on fait le bilan en fin de semaine.

On définit des priorités : on commence par les tâches urgentes et importantes et non par celles que l’on aime faire ; définir quelles sont celles qui sont essentielles vous permettra de ne pas perdre votre temps sur des tâches qui ne sont ni importantes ni urgentes ou qui peuvent être déléguées facilement.

 

Le développement de votre entreprise est lié à votre développement personnel.

 

Ranger son extérieur = ranger son intérieur :

Vous ne pouvez pas avoir une pensée claire et structurée si votre lieu de travail semble avoir été placé sur le trajet d’un ouragan (n’y réfléchissez pas, ce n’est pas possible !). Le concept du « bazar organisé » est surfait, sachez-le… À moins d’accepter de perdre des heures à chercher ce fameux document à fournir pour hier à votre comptable (vous ne l’avez toujours pas trouvé ?) et à stresser parce que « argh, grrr et sacrebleu », vous ne parvenez pas à mettre la main dessus, vous avez vraiment intérêt à être organisé.e.

Une vision claire, un gain de temps, de la sérénité… Ça y est ? Vous êtes convaincu.e ?

 

De plus, sachez que…

Vous ne pouvez pas gagner de l’argent avec votre entreprise si vos schémas de croyance sont limitants : votre inconscient bloquera systématiquement votre réussite si vous pensez que les gens riches sont de mauvaises personnes, par exemple. Il vous faut donc prendre conscience de vos schémas de pensée et reprogrammer votre inconscient si nécessaire.

 

Apprenez également à ne pas agir en fonction de vos émotions (se fâcher avec son banquier ou un gros fournisseur est-il une bonne idée ? Embaucher le fils de ces gens tellement sympathiques croisés en soirée est-il judicieux ?). Prendre le temps de la réflexion (pas de promesse en soirée, d’accord ?) en reportant vos décisions au lendemain peut permettre d’avoir le recul nécessaire pour faire des choix plus judicieux et pour mieux gérer votre entreprise.

 

Vous êtes prêt.e ? Go ! Cette année, les tâches administratives ne seront plus un problème !

 

Malgré notre avertissement, vous terminez votre lecture catastrophé·e (en contemplant un gros tas de papiers non classés) ? 

  1. Commencez par vous pardonner cet état de fait et pardonnez les personnes qui y ont contribué.
  2. Demandez-vous si cette situation vous convient.

Oui ? Tout va bien, on continue comme ça ! Non ? Passez au point suivant…

  1. Visualisez votre vie une fois que vos papiers seront triés et classés : quels seront les avantages ? Comment vous sentirez-vous ?
  2. Fixez-vous un objectif réalisable (non, tout ne sera pas classé demain !) et, chaque jour, avancez vers votre objectif.

 

 

Osez l’optimisme !
Avec Catherine Testa

Catherine Testa est la fondatrice du site L’Optimisme.com, qui met en avant les initiatives positives françaises et propose une autre façon de voir l’actualité. Le site, créé avec deux co-fondateurs, a connu un succès immédiat, propulsant la future auteure du best-seller « Osez l’optimisme !* », qui a donné son titre à cet article, sur le devant de la scène et à la tête d’une équipe d’optimistes convaincus. L’Optimisme.pro et L’Optimisme.shop complètent l’offre d’une entrepreneure pétillante, interviewée par Fanny Huleux dans un live Instagram (que vous pouvez voir ou revoir en fin d’article) où elle évoque son parcours, la bonne attitude à avoir face à la situation sanitaire et donne de précieux conseils aux jeunes entrepreneurs.

*Notre article sur le livre, ICI !

 

Osez rêver !

 

Catherine Testa a un parcours qui fait rêver et, si l’on pourrait penser que ce parcours incroyable n’est accessible qu’à de rares personnes (incroyables), elle nous rappelle très simplement que ce qu’elle a construit ne s’est pas fait en deux jours mais étape par étape. La réussite est liée à la somme du temps passé à construire son entreprise. Elle conseille donc de déculpabiliser et de mettre la réussite des autres en perspective lorsque l’on débute parce que l’on fait plus de choses en cinq ans qu’en deux ans ou qu’en un an.

Déculpabiliser, prendre le temps et se « foutre » la paix est essentiel et cela s’apprend. Catherine a une « To do list » où certaines tâches sont inscrites depuis 2015 (interview réalisée en 2020)… Elle mène mille projets en même temps, écarte certaines tâches par manque de temps ou d’envie et réussit… Une vraie leçon de lâcher prise !

 

Osez être vous-même !

 

Nous avons tous une manière de fonctionner différente : certains vont répondre à leurs mails de façon systématique chaque jour, d’autres, comme Catherine, vont laisser les mails s’accumuler dans leur boîte mail. Le calcul est simple : elle a un flux de mails énorme et lorsqu’elle répond à chacun de ses mails, le flux augmente encore. Elle a donc appris à lâcher prise sur ce point, sans culpabiliser, parce qu’elle a conscience qu’elle ne peut pas répondre à tout le monde. Elle préfère laisser la sérendipité jouer en se disant qu’elle répond aux bonnes personnes au bon moment. 

Dans notre société, tout est toujours « urgent »; c’est un concept auquel elle n’adhère pas : la seule urgence est de vivre. Ainsi, la demande « urgente » d’une photo pour illustrer un article n’obtiendra pas de réponse… Ses photos sont libres de droit et les journalistes peuvent se servir sur le web, une organisation qui lui permet de ne pas céder aux urgences des autres.

 

Osez être différent·e !

 

Être entrepreneur, c’est entamer un grand voyage vers l’inconnu : en effet, quel entrepreneur aurait pu imaginer un scénario comme celui de l’année 2020 ?

Chacun a des biais cognitifs différents et perçoit cette réalité de façon différente. À l’heure actuelle, l’enjeu est de ne pas s’enflammer sur des sujets d’actualité au risque de se disputer avec ses proches ; si l’on fait le parallèle avec le monde entrepreneurial, il se passe la même chose, chacun a une conception totalement différente de ce qu’il faut faire ou ne pas faire : certains des amis de Catherine lui expliquaient il y a quelques années qu’ils avaient un « Business plan » sur trois ans. Elle n’en avait pas et culpabilisait un peu mais se disait malgré tout que tout pouvait arriver et qu’un « Business plan » ne prenait pas en compte les éléments extérieurs imprévisibles. Aujourd’hui, les entreprises de ses amis ont disparu mais la sienne est toujours florissante. Catherine pose donc des intentions pour donner une direction à ses projets mais ne fait pas de plan précis, elle pilote au ressenti. Les entreprises qui se portent bien aujourd’hui sont les entreprises qui s’adaptent et qui se réinventent.

Nous sommes tous différents dans nos approches, dans nos parcours de vie, il est essentiel de garder du temps pour soi, de se créer des bulles d’oxygène, en cultivant cette différence et en refusant de fonctionner autrement qu’en accord avec sa propre personnalité.

 

Osez vous préserver !

 

Pendant cette période compliquée, prenons en compte l’effet Nocebo : notre cerveau n’assimile pas la négation… Par exemple, quand dit à une personne qu’elle ne va pas mourir, le cerveau a tendance à retenir le mot « mourir » sans tenir compte de la négation.

L’impact des informations anxiogènes est donc très important. L’enjeu est de se préserver, en marchant, par exemple. Marcher nous place dans un état méditatif, loin des diktats qui imposent un rythme de vie nous faisant passer d’une activité bénéfique à une autre, pour se détendre, entre les moments de travail. Il ne faut donc pas culpabiliser de ne pas réussir à cocher toutes les cases consistant à enchaîner travail, course à pied, cuisine (des repas sains !), méditation, etc, mais adapter ses pauses à sa personnalité et trouver l’activité qui nous permet de décompresser.

 

Osez agir !

 

La situation est instable alors explorons et passons à l’action ! (Sans s’accrocher à un passé qui n’est plus). Pendant le premier confinement, Catherine a ainsi quitté son bureau parisien qu’elle et son équipe adoraient pour s’installer en Normandie, en privilégiant le télétravail et la proximité avec la nature. Les souvenirs merveilleux vécus dans ce bureau ont laissé place à un quotidien plus morne lié à la situation sanitaire ; plutôt que de s’accrocher à ses souvenirs, elle a opté pour une nouvelle aventure. Il faut nourrir ce qui est beau sans se soucier de répondre à des normes : le succès, c’est la joie ressentie au quotidien en exerçant son activité. 

Sortir des excuses liées au contexte incite à se lancer, ça ne sera jamais « le bon moment », ce moment parfait, idéal, que l’on peut passer une vie à attendre. L’optimisme, c’est agir.

Le monde est en train de changer et la situation se répercute sur chacun d’entre nous : mieux vaut alors optimiser cette période et changer de paradigme.

 

Osez expérimenter !

 

Plutôt que de se dire « Je vais vivre de l’écriture dans cinq ans », pourquoi ne pas se dire « Je vais voir si je suis capable de vivre de l’écriture et si cela me plaît ». On peut écouter les avis des uns et des autres mais il ne faut pas succomber à la pression sociale, ni se juger soi-même. Sortir de la peur de l’échec permet de comprendre que l’enjeu n’est pas de réussir mais d’expérimenter, de voir « si l’on est capable de… ». Cela permet également de savoir si ce que l’on essaie de faire nous correspond, en se laissant du temps.

Il faut environ deux ans pour bâtir son entreprise et dix ans pour devenir expert dans un domaine. Tout le monde n’est pas fait pour être entrepreneur, il est nécessaire de ne pas idéaliser l’entrepreneuriat mais de l’expérimenter si on le souhaite.

 

Osez prendre votre place !

 

Tout le monde a sa place dans la société, votre valeur n’est pas moins importante que celle des autres, ne vous laissez pas intimider. 

Catherine, lors d’une de ses premières conférences sur le bien-être en entreprise, s’est retrouvée devant un parterre prestigieux, accompagnée d’autres intervenantes très connues et très sûres d’elles. Elle n’a pas été présentée et on ne lui a que peu accordé la parole. Elle en est sortie dévastée après son intervention en se disant qu’elle ne participerait plus jamais à une conférence. Or, dès le lendemain, elle était contactée par des membres du public qui avaient adhéré à ses valeurs, ce qui l’a encouragée.

Elle a ensuite compris une chose essentielle, nous avons une courbe de progression et sommes toujours meilleurs la deuxième fois, la dixième fois, etc. Aujourd’hui, placée dans la même situation, elle parviendrait à prendre sa place, même si on l’ignorait. 

Les choses se sont inversées puisqu’elle est maintenant reconnue dans son domaine mais il faut garder en tête qu’au début, on se sent toujours petit. 

 

Osez vous agrandir !

 

Le premier conseil de Catherine aux jeunes entrepreneurs qui souhaitent s’entourer d’une équipe est de choisir des personnes qui ont les mêmes valeurs qu’eux (leurs « first followers », les personnes qui croient en eux) mais également une complémentarité dans le travail. Le deuxième serait de ne pas garder quelqu’un dans l’équipe pour lui faire plaisir ; il faut savoir couper une relation de travail qui ne fonctionne pas.

Se préserver des avis des uns et des autres et s’entourer d’un noyau positif est également essentiel : la plupart des gens savent élaborer des scénarios catastrophe mais peu sont capables d’élaborer des scénarios positifs. Il faut suivre ses rêves et se fier à son intuition ; seuls les gens qui rêvent peuvent réaliser quelque chose : il s’agit d’un prérequis à la construction. 

 

Osez jouer !

 

La vie entrepreneuriale ressemble à un jeu vidéo : on acquiert des compétences, on passe des niveaux, on gagne des outils, il y a des temps de pause, des moments joyeux, des passages tristes…

Certains des outils qui aident à avancer (les boucliers !) sont la méditation, la joie, l’apprentissage, etc. Nous ne sommes pas parfaits mais personne ne l’est et nous pouvons tous passer des niveaux. 

 

Osez avec les conseils de Catherine Testa !

 

  1. Aimer faire ce que l’on fait.
  2. Accepter le changement : donner une direction sans rigidité.
  3. Ne pas attendre le moment parfait (action !).
  4. Voir la vie comme une aventure et tester, expérimenter.
  5. Accepter de ne pas être parfait·e.
  6. Bien s’entourer.
  7. Accepter que les choses prennent du temps.
  8. Oser être soi-même : chacun a une histoire à raconter.
  9. Valoriser les actions entreprises dans l’instant présent : vous gagnez en expérience.
  10. Chercher sa voie dans ses passions d’enfant et s’écouter.

 

Vous êtes convaincu·e? Alors osez l’optimisme!

 

Pour (re)voir le le live Instagram, c’est par ICI!

Pour en savoir plus sur Catherine Testa, c’est ICI!

Osez l’optimisme !
10 clés pour réenchanter votre quotidien
Un livre de Catherine Testa

Aujourd’hui, nous avons eu envie de vous parler du best-seller de Catherine Testa « Osez l’optimisme ! » (Éditions Michel Lafon, 2017). Pourquoi ? Parce que nous avons adoré ce livre truffé d’enseignements simples, d’anecdotes, de conseils faciles à appliquer, d’exercices qui donnent la pêche et de citations inspirantes. Et parce que cette période est difficile pour tous, il est encore plus nécessaire qu’autrefois de réenchanter son quotidien!

(si vous souhaitez en savoir plus sur l’auteure, c’est par ICI !) 

 

Une définition de l’optimisme

 

Avant de passer à la lecture de cet ouvrage, tentez d’établir votre propre définition de l’optimisme (Tsss, tsss ! Sans vous rendre préalablement sur le site L’Optimisme.com et sans consulter une encyclopédie en douze tomes !), vous pourriez être surpris de la définition qu’en fait Catherine Testa (on ne spoile pas, lisez plutôt le livre ! Par ICI!). Loin de l’imbécile heureux, l’optimiste réussirait plus souvent ce qu’il entreprend…plus souvent. De quoi donner envie de découvrir les dix clés proposées.

 

Des enseignements accessibles

 

Vous croulez sous les tâches, êtes submergé·e et vous n’avez pas du tout (mais alors pas du tout !) envie de lire un livre théorique complexe et uniquement accessible aux détenteurs d’un bac+12 ? Vous allez adorer ce livre bien écrit mais facile à lire : quelques pages dans les transports, quelques pages avant de vous endormir… Vous l’aurez probablement fini rapidement et le relirez avec plaisir. Lorsque vous l’aurez terminé, vous comprendrez que le manque de temps est plus souvent une excuse qu’une véritable réalité et passerez plus facilement à l’action (la première d’entre toutes ? Vous procurer le livre !).

 

Des exercices ciblés

 

Vous êtes le ou la pire pessimiste qui soit et votre vie vous semble à un désert triste et froid ou à un combat perpétuel ? Vous êtes foutu·e ! Rassurez-vous, grâce aux exercices du livre, vous allez vous découvrir et voir le monde qui vous entoure sous un autre angle. Tableau de projets, bocal positif, affirmations… vous permettront de développer de meilleures habitudes et de transformer sensiblement votre quotidien, tout en prenant plaisir à les réaliser. 

 

Un parcours hors norme

 

Eh, oui ! Une raison supplémentaire de lire ce livre est de découvrir la personnalité pétillante de l’auteure. Au travers d’exemples et d’anecdotes, découvrez le parcours d’une véritable optimiste et entrepreneure épanouie, dont les sites web et les réseaux sociaux fédèrent déjà un million de personnes !

 

Et si vous hésitez encore, ce dernier argument devrait vous convaincre : la recette du bonheur se trouve en page 101 ! Bonne lecture !