8. Jugement

Avoir peur du jugement

Avant de commencer votre lecture, je vous encourage à visionner la vidéo de Fanny ICI sur le sujet. Je m’y réfère dans mon texte et selon moi, elle est d’utilité publique 😉

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Il y a des jours comme ça, où tout est intense. Où tout est prise de conscience, où tout fait sens.

 

Ce matin-là, j’ai eu un gros déclic, comme j’en vis beaucoup ces derniers mois.

Ce matin-là, j’ai reçu un enseignement des plus marquants de la part de Fanny : celui sur la peur du jugement.

 

La peur du jugement, c’est ma peur number one à moi. Jugement, regard des autres, humiliation, rejet…

Autant de peurs qui se croisent et s’entrechoquent, toutes liées à des blessures. Autant de peurs qui déclenchent une même réaction viscérale chez moi, et que je cherche à fuir absolument.

 

Ce matin-là, donc, je visionne le replay d’un live YouTube de Fanny, lorsqu’elle nous propose de prendre une feuille et d’écrire les pires choses qu’on puisse nous dire. Je m’exécute et voici ce qui ressort :

 

« Tu ne sers à rien »,

« Tu es nulle, empotée »,

« Tu es conne, pas intelligente « ,

« Tu es grosse, qu’est-ce que tu peux manger ! »

« Tu prends trop de place, tu gênes.  »

Frissons, larmes.

Je prends crûment conscience que les pires choses qu’on puisse me dire, ce sont les choses que je me dis à moi-même, tous les jours. Tous les jours, je m’inflige le pire.

Et je réalise la violence de ces mots. Ces mots que je n’oserai dire à personne d’autre… que moi.

 

Dans la suite de la vidéo, Fanny confirme ma découverte, et ajoute qu’il s’agit en fait d’une image biaisée que l’on a de nous-même et des parties de nous que nous n’avons pas encore acceptées. Ça n’est ni une vérité, ni une réalité, c’est une perception.

Si ce que peut nous dire une autre personne nous touche autant, c’est parce qu’on y croit très fort. Donc plus on s’accepte tel que l’on est, moins l’extérieur pourra nous toucher.

Je comprends donc que pour ne plus souffrir de la peur du jugement je dois arrêter de me juger moi-même.

* Explosion dans mon cerveau *

C’est tellement logique, ça fait tellement sens, mais cette information n’était jamais parvenue à moi de façon aussi limpide. Je ne l’avais jamais autant assimilée dans tout mon être.

 

J’avoue que cette prise de conscience a été suivie d’une panique générale : comment allais-je faire pour ne plus me juger, lorsque j’avais passé les vingt dernières années de ma vie à le faire ?

Comment m’aimer lorsque j’ai passé autant de temps à me dévaloriser ?

 

Alors que si longtemps, je me suis accrochée à ces vieilles croyances, je me suis laissée définir par elles, j’ai compris que mon système de pensée avait besoin d’être mis à jour.

Et finalement, c’est une excellente nouvelle ! Car je sais aujourd’hui que tout se passe au niveau de mes pensées, et que je peux choisir délibérément de les changer.

 

« J’ai beaucoup à apporter à ce monde. Je suis de plus en plus consciente des trésors que j’ai en moi »

« Je suis capable de tout faire, je réussis tout ce que j’entreprends. »

« Je suis importante et j’ai de la valeur. »

« Mon corps est ma maison et je l’accepte chaque jour un peu plus »

« Chaque jour, je m’affirme un peu plus, avec bienveillance et authenticité »

 

« You could be the juiciest peach in the world, there’s always going to be someone that doesn’t like peaches. »*

 

Je serai toujours jugée. Mais plus par moi-même.

 

J’ai de la valeur simplement parce que j’existe.

Vous aussi !

 

*NDLR: d’après la citation de Dita von Teese (“You can be the ripest, juiciest peach in the world, and there’s still going to be somebody who hates peaches ») signifiant littéralement « Vous pouvez être la pêche la plus mûre et la plus juteuse du monde, et il y aura toujours quelqu’un qui déteste les pêches. »

Pourquoi et comment écrire une déclaration d’estime de soi ?

Pourquoi et comment écrire une déclaration d'estime de soi?

On en a parlé ICI, l’estime de soi est essentielle à la construction d’une vie épanouie. Prendre conscience de sa valeur donne la force de refuser les situations qui ne nous correspondent pas, de s’accorder le droit de s’épanouir, de réussir, de s’aimer et d’aimer.

Se comprendre soi-même, se pardonner ses erreurs, s’engager envers soi sont des étapes importantes du développement personnel. Écrire votre déclaration d’estime de soi va vous permettre de prendre conscience de votre valeur, de votre singularité… de prendre conscience également de tout ce qui vous appartient (vos pensées, vos interprétations, vos actes, etc) et du fait que vous avez tout ce qui vous est nécessaire pour faire d’autres choix si vous le souhaitez, de vous épanouir pleinement, de donner le meilleur de vous-même.

 

Créer l’ambiance idéale pour écrire votre déclaration d’estime de soi

 

Écrire votre déclaration est un acte symbolique très fort : faites de ce moment un beau souvenir qui viendra alimenter votre estime de soi quand vous en aurez besoin.

  1. Libérez-vous du temps… seul·e.
  2. Choisissez le cadre dans lequel vous souhaitez écrire votre lettre : chez vous ? Au bord de la mer ? Dans un endroit que vous affectionnez particulièrement ? Veillez à ce que cet endroit soit apaisant.
  3. Munissez-vous d’un beau papier à lettres, d’un joli crayon… Allumez quelques bougies si vous le souhaitez.
  4. Méditez quelques minutes avant de commencer l’écriture : fermez les yeux, concentrez-vous sur votre respiration, les petits bruits environnants, etc.

 

Que mettre dans votre lettre ?

 

Nous vous donnons ici des pistes mais il s’agit de votre lettre ; écrivez tout ce que vous souhaitez vous dire à vous-même avec amour et bienveillance. Vous pouvez même dessiner si vous le souhaitez.

  1. Prenez conscience de votre singularité et détaillez ce qui fait de vous un être unique.
  2. Prenez conscience que vous êtes responsable de votre vie, de vos pensées et de vos actes. En prenant cette responsabilité, vous vous permettrez enfin de changer ce qui ne vous convient pas.
  3. « Je peux choisir de… ». Indiquez quelles sont les possibilités que vous avez et quels sont vos choix (manifester le meilleur de vous-même, vivre selon vos convictions profondes, etc).
  4. Prenez conscience que vous êtes digne d’être accepté·e et aimé·e tel·le que vous êtes et écrivez-le.
  5. « Je suis moi, je m’aime et je m’accepte ». Terminez par cette déclaration forte, à la base de toute votre vie.

 

Lorsque votre lettre est écrite, conservez-la précieusement et relisez-la régulièrement, notamment lorsque vous doutez : elle vous donnera force et confiance et vous rappellera que vous avez de la valeur : vous êtes unique et digne d’être aimé·e !

Pour aller plus loin, découvrez le programme « Estime de soi », par Fanny Huleux.

Programme Estime de soi par Fanny Huleux

Sélection de livres sur l’estime de soi
et la gestion des émotions

Sélection de livres de développement personnel

Les sujets de l’estime de soi et de la gestion des émotions vous intéressent ? Sachez qu’ils sont des piliers essentiels du développement personnel et deux des axes majeurs du travail et des programmes de Fanny Huleux.

Pour lire quelques articles sur ces sujets, c’est ICI et ICI pour la gestion des émotions et ICI et ICI pour l’estime de soi.

La rédaction a sélectionné pour vous des livres théoriques ou pratiques, retrouvez-les ci-dessous !

 Ils vous donneront un apport théorique et des pistes pour améliorer votre estime de soi et votre gestion des émotions. Et si vous souhaitez entreprendre un travail plus profond sur vous-même, améliorer rapidement votre estime de soi et apprendre à gérer vos émotions, nous détaillons les points travaillés dans les programmes « Estime de soi » et « Ma routine miracles » de Fanny Huleux en fin de page.

 

Estime de soi : les livres de Christophe André et de François Lelord

 

Lors de l’élaboration de ce dossier, nous nous sommes (re)plongés dans les écrits du psychiatre Christophe André : nous vous conseillons donc deux de ses livres : « Estime de soi », écrit en collaboration avec François Lelord, et « Imparfaits, libres et heureux ».

 

« Estime de soi. S’aimer pour mieux vivre avec les autres » de Christophe André et François Lelord, paru en 2008, aux éditions Odile Jacob.

Comment l’estime de soi se construit-elle ? Quel est votre niveau d’estime de soi ?  Comment aider ses enfants à construire une bonne estime de soi ?

Ce livre apporte des réponses à ces questions, propose un diagnostic et répertorie les différents troubles liés à un manque d’estime de soi. Un livre qui vous permettra d’améliorer votre rapport à vous-même et aux autres !

 

« Imparfaits, libres et heureux. Pratiques de l’estime de soi » de Christophe André, paru en 2006, aux éditions Odile Jacob.

Ce livre complet aborde les aspects théoriques mais aussi des pistes pour retrouver une bonne estime de soi. Il s’appuie sur des témoignages et des recherches scientifiques et définit le concept d’estime de soi, tout en l’élargissant à une réflexion sur les conséquences et l’impact d’une basse ou d’une haute estime de soi.

S’accepter, accepter son imperfection mais aussi construire son estime de soi et trouver une paix intérieure, c’est la promesse d’un livre que vous aurez plaisir à lire.

 

Entrepreneuriat et estime de soi : un livre de Will Schutz

 

Améliorer son estime de soi pour améliorer la qualité de toutes ses relations et améliorer ses performances professionnelles, c’est ce que propose ce livre de William Schutz, paru en 2006, aux éditions InterÉditions : « L’élément humain. Comprendre le lien entre estime de soi, confiance et performance ».

L’auteur est l’un des plus grands consultants psychologues des organisations aux États-Unis, il a étudié les besoins relationnels des êtres humains et leurs comportements et estime que ces besoins (inclusion, contrôle et affection) sont presque aussi essentiels à la vie que l’alimentation. Il démontre que la connaissance de soi et la confiance sont primordiales au travail et que le facteur humain l’est également dans la réussite des entreprises. Il s’adresse à chacun d’entre nous mais aussi aux leaders et aux dirigeants.

 

Réussite et gestion des émotions : un livre de Tony Robbins

 

À vingt ans, Tony Robbins vivait dans un minuscule studio, dont le lavabo était le seul point d’eau et faisait office à la fois de lave-vaisselle et de lave-linge ; il était seul, en surpoids et pauvre. Aujourd’hui, il vit dans une immense villa, il est marié, père de quatre enfants et possède plusieurs entreprises ; il est de surcroît un coach mondialement connu.

Que s’est-il passé entre les deux ? Il a décidé de réaliser ses rêves et c’est vers cet objectif que ce livre, « L’éveil de votre puissance intérieure », paru en français en 2013, aux éditions J’ai lu, vous emmène.

Quête de soi-même, clés et principes à appliquer, ce livre très riche vous emmènera à comprendre des principes essentiels à la réussite.

 

 

Les programmes de Fanny Huleux

 

Vous souhaitez retrouver rapidement une estime de soi haute et une bonne gestion des émotions et vous n’avez pas envie de passer plusieurs années à lire tout ce qui concerne le sujet ?

Fanny Huleux vous propose dans ses programmes une démarche rapide, adaptée à chacun, inspirée de ces grands concepts psychologiques et leviers de réussite personnels et professionnels.

Formée par différents coachs renommés, dont Tony Robbins, grande lectrice, coach et thérapeute elle-même, Fanny Huleux a créé sa propre méthode et met à votre portée un condensé de savoirs théoriques et empiriques et des exercices concrets, qui vous permettront de réaliser vos rêves. Elle a déjà formé des centaines de personnes et a changé leur vie en leur permettant de s’épanouir et d’accéder à leurs rêves.

Nous vous conseillons le programme « Estime de soi » et la plateforme « Ma routine miracles », que nous détaillons ci-dessous.

Le programme « Estime de soi » vous donne accès à des sessions d’EFT, à des audios d’affirmations et à 12 clés : 12 vidéos et exercices, qui viendront booster votre estime de soi. Le programme parfait pour poser les bases ou consolider le socle de votre démarche de développement personnel !

La plateforme de remise en forme de l’esprit « Ma routine miracles » : des visioconférences chaque semaine avec Fanny Huleux, des heures de visioconférences à voir ou à revoir, des sessions d’EFT sur des centaines de sujets (une nouvelle session chaque jour), des audios d’affirmations, des méditations, etc. L’espace indispensable pour travailler tous les domaines de votre vie (sur liste d’attente).

 

7. Communiquer

Yeeeeeppaaaaa !!

 

Aujourd’hui, j’ai envie d’évoquer avec vous le fait d’être précis dans sa communication.

Comme vous le savez, chaque dimanche on se retrouve avec Fanny et le groupe pour échanger sur notre vécu professionnel et personnel. Fanny nous aiguille, nous guide, nous réaligne, donne des conseils. On verbalise, on évacue et on partage ! 🙂

 

J’ai pris conscience que je me perdais dans ma communication et que j’allais un peu dans tous les sens. Fanny m’a expliqué qu’être précis dans sa communication et être spécifique au début de notre développement d’activité permettait que ça soit plus simple et facile pour nous.

 

Le sujet n’étant pas trop vaste, il est plus parlant pour nos clients mais également pour nous-mêmes ! On ne s’en écarte pas et surtout notre communication est plus claire et précise. Les idées sont plus nombreuses et faciles à trouver.

 

On peut également étudier un sujet précis et puis élargir notre champ de compétences au fur et à mesure des années. Fonctionner ainsi permet de se sécuriser, d’enrichir nos connaissances sur un sujet précis et d’être spécialiste. On se sent confiante et en confiance.

 

Résultat : on continue à avancer dans notre développement au lieu de faire du sur place et c’est bénéfique pour tout le monde.

 

La suite au prochain épisode 🙂

7. Vision

Ces dernières semaines, je me suis pleinement investie dans l’élaboration de ma vision.

 

Tel que je l’ai compris, définir sa vision consiste à déterminer une situation de vie dans laquelle nous aimerions nous trouver dans le futur. Elle permet de donner une direction et un cadre à nos actions, à nos choix.

On peut comparer la vision aux fondations d’une maison : elle est stable et solide et supporte le reste de la construction visible, qui va se bâtir étape par étape. Ces étapes sont planifiées sur le court et long terme, à l’image des buts et objectifs.

 

C’est un des premiers exercices que nous a proposé Fanny, et définir ma vision était pour moi un double enjeu : celui de donner une direction à ma vie en général, mais surtout, celui de clarifier mon projet professionnel.

Dans la première version de ma vision, je souhaitais, entre autres, avoir créé, trois ans plus tard, le métier de mes rêves.

C’était il y a quelques mois et j’étais dans une période de ma vie remplie d’insécurité, d’incertitudes et de doutes. Mon mantra était « je ne sais pas », je me sentais perdue et mes résultats étaient à la hauteur de mes demandes : flous.

 

J’ai beaucoup lutté contre ce blocage, ce qui l’a fait grossir encore plus. J’ai cherché des réponses dans les oracles ou chez des spécialistes de la « mission de vie ». J’étais en référence externe alors que, depuis tout ce temps, la réponse était en moi.

Seulement, je ne pouvais pas le voir. J’étais pétrie de peurs. Peur du regard des autres, de l’inconnu, d’échouer ou de réussir… L’idée de me tromper et de devoir encore recommencer à zéro un an plus tard me tétanisait. Je croyais que je devais trouver ma « mission de vie », ce projet unique, le seul qui soit fait pour moi.

 

Quelle pression je me suis infligée !

Alors que rien n’est figé.

 

Comme je l’ai écrit dans Le choix, Fanny m’a fait comprendre qu’un « simple » choix pouvait tout changer. Mais un choix en amène toujours un autre, et c’est en se lançant, en testant, que l’on peut s’ajuster.

Aujourd’hui, j’aime mon chemin comme il est : non linéaire.

Rien n’est figé. Si vous vous trompez, rebondissez. Et entourez-vous.

J’ai la chance d’avoir Fanny à mes côtés, qui a posé les bonnes questions, eu les bons mots. Elle a déterré ce qui était enfoui au fond, cet élan que ma tête faisait taire. Comme une validation, elle a dit « Autorise-toi. »

 

Tout a été si fluide ensuite. Ce fut comme une évidence, comme si j’avais toujours su ce qui était fait pour moi. Les idées et projets ont surgis – ils attendaient, tapis depuis longtemps – et moi qui ai toujours vécu au jour le jour, sans plan d’action, je suis émue d’avoir aujourd’hui une vision claire et précise des cinq prochaines années.

 

Finalement, ce souhait de créer le métier de mes rêves, aussi imprécis qu’il ait été, m’a finalement laissé une grande liberté dans mes choix.

Il m’a permis de faire ce que je n’osais pas jusqu’alors : ne pas me fermer de portes et voir grand.

Alors que le grandiose n’était pas autorisé dans ma carte du monde, alors que je croyais ne pas mériter, ne pas être légitime, j’ai aujourd’hui un projet qui dépasse mes rêves.

 

Je sais où je vais et j’ai hâte de voir quelles surprises me réserve la vie sur ce chemin.

 

Croyez en vous.

Croyez en vos rêves.

Laissez-vous surprendre.

20 affirmations positives pour booster son estime de soi

Affirmations positives

Vous souhaitez booster votre estime de soi ? Utilisez les affirmations positives ! Répéter ou écouter ces affirmations au cours de la journée va vous permettre de changer votre perception de vous-même en indiquant à votre inconscient les nouvelles croyances à adopter.

Vous souhaitez utiliser la loi d’attraction? Vibrer haut va attirer à vous tout ce que vous désirez obtenir.

 

Comment faire ?

 

Utilisez les affirmations qui vous parlent le plus, qui provoquent une émotion, et répétez-les le plus souvent possible. Vous pouvez aussi écouter les affirmations (suivez le lien en fin d’article pour accéder à une vidéo YouTube de 4h45 d’affirmations de Fanny Huleux) : vous n’êtes pas obligé·e d’y prêter attention et pouvez donc les écouter en cuisinant, en travaillant, en conduisant… Votre inconscient, lui, les captera.

Les afficher à des endroits visibles vous permettra de les avoir sous les yeux à tout moment : écrivez-les, créez de jolies mises en page, mettez des Post It dans toute la maison !

 

Les affirmations

 

Je suis bien tel·le que je suis

Je suis digne d’être aimé·e et apprécié·e

Je suis un être unique et merveilleux

Je suis capable de tout faire

J’aime ce que je vois en moi

Je me donne à moi-même l’amour, l’estime et la reconnaissance dont j’ai besoin

Je me pardonne mes erreurs passées

Je suis de plus en plus conscient·e des trésors que j’ai en moi

Je m’aime de plus en plus chaque jour

Plus je m’aime, plus la vie me sourit

Je suis fier·e de moi

J’aime qui je suis et ce que je fais

J’exprime de plus en plus d’amour et de gratitude envers moi chaque jour

Je suis une personne magnifique

Je suis en harmonie avec moi-même

J’aime mon corps et tout ce qu’il fait pour moi

Mon discours intérieur s’améliore de jour en jour

À ce moment précis, je réalise que je suis une belle personne

Je suis une personne formidable

De jour en jour, je deviens la meilleure version de moi-même

 

Les affirmations de Fanny Huleux, c’est ici !!! (Cliquez sur la photo pour accéder à la vidéo! Vous pouvez également enregistrer la photo si vous le souhaitez)

6. Étudier

Yeeeeeppaaaaa !!

 

Aujourd’hui, j’ai envie de parler du fait de continuer à se nourrir, à étudier pour se former.

 

L’entrepreneuriat est un chemin, un apprentissage où les maîtres mots sont patience, patience, patience et encore une bonne dose de patience. Fanny nous le répète, nous l’a répété encore et encore 😉

 

En effet, on a pris l’habitude d’avoir tout, tout de suite, depuis parfois notre enfance. Si l’entrepreneuriat nous apprend une belle valeur c’est celle-là.

 

Les graines semées depuis plusieurs mois peuvent mettre un certain temps à germer, pousser. On ne voit pas forcément les premières pousses tout de suite. Pourtant, elles sont bien là, parfois juste à la surface et pas encore visibles à l’œil nu.

 

Cette période est la plus délicate et sensible pour moi. On peut ressentir de la frustration et du découragement et c’est normal.

 

C’est le moment de se prendre par la main, de se rassurer et de se dire que tout ira bien. De continuer jour après jour ce que l’on fait. Se rappeler pourquoi on le fait.

 

On peut décider de faire de cette période une force et continuer à se former sur notre spécialité. Il faudrait passer 10.000 heures sur un sujet pour devenir un expert dans le domaine.

 

Il y a tellement de livres, de vidéos sur internet qui nous permettent d’apprendre, d’enrichir notre vocabulaire, de mieux comprendre ou de comprendre différemment, d’intégrer de nouvelles croyances, d’ajouter d’autres flèches à notre arc.

 

Personnellement, je lis des livres sur les traumatismes, les violences psychologiques, sexuelles ou physiques, leurs impacts, sur les pervers narcissiques, etc. Cela complète parfaitement mes formations, mon vécu et mon expérience.

 

Cela m’apporte plus de légitimité, de confiance et me permet de grandir et d’évoluer encore et encore. Il y a toujours quelque chose à apprendre ! C’est comme ça que l’on devient un expert dans notre domaine.

 

La suite au prochain épisode 🙂

Auto-sabotage: êtes-vous votre pire ennemi·e?

Se juger sévèrement

Vous est-il déjà arrivé de rencontrer quelqu’un qui vous plaît et de vous montrer sous votre plus mauvais jour ? D’avoir un projet qui vous tient à cœur mais de vous consacrer à des choses sans intérêt jusqu’au moment où il est trop tard pour le réaliser ? D’entamer plusieurs tâches sans en terminer aucune ? De vous dévaloriser en public ? De chercher des excuses à vos échecs en refusant d’en porter la responsabilité ?

Toutes ces situations peuvent être des signes d’auto-sabotage. Mais comment se manifeste-t-il et comment en sortir ?

 

Auto-sabotage et estime de soi

 

Estime de soi, croyances limitantes et auto-sabotage sont intimement liés. Lorsqu’une personne manque d’estime de soi, elle n’a pas conscience de sa valeur et pense qu’elle n’a pas les capacités de réussir sa vie et de réussir à être heureuse ; elle pense même ne pas le mériter (Lire notre article ICI). Ces schémas, ancrés fermement dans son inconscient poussent à l’auto-sabotage : cette personne détruit ainsi toute chance d’obtenir ce qu’elle souhaite de peur que la vie ne lui prouve qu’il est impossible de l’obtenir. La personne qui manque d’estime de soi devient ainsi son pire ennemi en détruisant inconsciemment tout ce à quoi elle aspire… Une façon de « réussir à échouer », qui vient ainsi conforter les schémas préexistants : un cercle vicieux sans fin si une prise de conscience n’a pas lieu.

Nous usons tous, de temps en temps, d’auto-sabotage : on reporte au lendemain l’envoi d’un courrier important, on arrive en retard à une réunion importante ou on fait une plaisanterie grivoise dans un contexte inadapté. Ces petits moments d’auto-sabotage n’ont pas d’impact important sur nos vies… s’ils restent occasionnels. Le problème se pose lorsque cette attitude est constante et l’auto-sabotage systématique.

Les différents types d’auto-sabotage sont la procrastination (« Je le ferai demain »), la négation de ses propres besoins (« Ca me convient comme ça, je n’ai pas besoin de plus, d’autre chose, etc »), l’évitement de la prise de décision (« je ne sais pas quoi faire »), l’abandon dès les premières difficultés (« C’est trop difficile, je n’y arriverai jamais »), le perfectionnisme (« Ce n’est pas encore comme je le souhaite »), qui pousse à ne jamais voir aboutir ses projets.

Les personnes qui manquent d’estime de soi attirent également comme des aimants les persécuteurs de toutes sortes et pensent mériter les mauvais traitements qu’on leur inflige… parce qu’elles se les infligent à elles-mêmes également.

 

Comment sortir de l’auto-sabotage ?

 

La toute première chose à faire, après la prise de conscience, est de se responsabiliser : l’auto-sabotage, comme son nom l’indique, n’est le fait que d’une seule personne, celle qui s’auto-sabote. Nous sommes tous responsables de notre bonheur comme de notre malheur, ce sont nos pensées conscientes ou inconscientes et nos croyances qui dirigent nos actions : nous devons donc en prendre la responsabilité. Quand le dialogue interne est négatif (« Je suis bête », « Je vais échouer », etc) et tourne en boucle, notre attention est tout entière tournée vers ces pensées. Il faut alors apprendre à les discipliner (et ne pas commencer par se reprocher de s’être auto-saboté·e par le passé). Tolérer ses propres erreurs, se pardonner à soi-même mais agir de façon positive est essentiel.

Restaurer son estime de soi permet de sortir de l’auto-sabotage : penser que l’on a de la valeur, que l’on mérite bonheur, bien-être et réussite permet d’agir pour obtenir ce que l’on souhaite et de ne pas se saboter avant de l’obtenir.

 

Nous vous conseillons les différents programmes de Fanny Huleux et notamment le programme « Estime de soi », auquel vous pouvez accéder en cliquant sur la bannière.

Programme Estime de soi par Fanny Huleux

Hors-série : mes rêves bizarres

Rêves

Flash News : je rêve beaucoup la nuit. Ça a toujours été le cas et souvent, quand j’en parle, la personne en face me regarde avec des grands yeux parce qu’elle ne se souvient pas de la plupart de ses rêves… donc, après, c’est à mon tour de la regarder avec des grands yeux. Je me souviens même de rêves que j’ai fait il y a très longtemps et le truc c’est que, parfois, ils se suivent. Il y a quelques années, ce n’étaient même pas des rêves : c’étaient des cauchemars encore, et encore, et encore. Bref, vous avez l’idée.

Alors je ne sais pas si vous allez me suivre, mais allons-y quand même.

Je fais trois sortes de rêves différents (je le sais parce que Fanny m’a dit de tout noter) : le rêve réaliste, le rêve totalement bizarre et la quête suprême.

Le rêve réaliste, facile, c’est celui où je me retrouve dans un contexte quotidien. Par exemple, ma mère m’envoie chercher un drive, ma grand-mère me fait mon plat préféré ou mon colis arrive mais ce n’est pas du tout ce que j’ai commandé. En général, rien de fou ne se produit et je reconnais tout et tout le monde (même si parfois un camarade de primaire oublié pointe le bout de son nez). Le rêve réaliste tourne parfois au totalement bizarre et là, ça devient un peu malaisant. Je passe alors de sauter 50 centimètres à cheval à 1,70 mètre comme si de rien n’était et les repas de famille se transforment en siège anti-zombies.

Le rêve totalement bizarre est parfois super cool et d’autres fois très gênant ou flippant. Ceux que je préfère de ce type sont ceux où j’ai des pouvoirs comme voler, sauter super haut, me battre comme dans les films ou faire apparaître des choses. Mais c’est parfois totalement déjanté comme si mon cerveau faisait un mélange des Bisounours, Westworld et le Seigneur des Anneaux (ou autre selon ma dernière lecture ou la série devant laquelle je me suis endormie). Ce sont ceux dont je me souviens très facilement (et après je me pose des questions toute la journée du pourquoi j’ai inventé un truc pareil).

Par exemple, il n’y a pas longtemps, j’ai rêvé que j’étais avec des amies (identité inconnue) et qu’on allait chez l’une d’elles. Le quartier par lequel on passait était presque en ruines, il faisait gris et je devais regarder où j’allais. Mes amies passaient comme si de rien n’était mais je ne comprenais pas comment elles faisaient parce qu’au sol il y avait d’énormes trous. Pas les trous qui bousillent les roues de nos voitures, non, non, des trous dans lesquels on peut tomber, avec de l’eau qui coulait à environ trois mètres sous nos pieds. Parfois pour passer, les trous étaient tellement grands qu’on devait marcher sur des armatures métalliques toutes rouillées (dans mon rêve c’était ce qu’il y avait en dessous du béton de la route). Le pire du pire c’est quand je sentais sous mes pieds que ça bougeait. Bref, trop bizarre. Si vous trouvez la signification, envoyez-moi un message sur Instagram.

Et pour finir, il y a la quête suprême. Je vais avoir du mal à l’expliquer parce que je ne sais tout simplement pas ce que c’est, mais le schéma est le même à chaque fois. Dans ces rêves, je suis à la recherche de quelque chose de très important qui va absolument tout changer et je dois suivre des étapes. Ce ne sont pas toujours les mêmes mais le point commun c’est que juste avant d’apprendre ce que je dois absolument savoir, je passe par une bibliothèque où je dois trouver la solution pour ouvrir une porte. Evidemment, je ne me souviens jamais de ce qu’il se passe quand je trouve enfin ce que je cherchais. Ces rêves là sont particulièrement enivrants et donc frustrants car au réveil, j’ai toujours cette sensation qu’il se passe quelque chose d’important sans savoir de quoi il s’agit. GRRRR.

Voilà, ce serait long de tout raconter et je vous épargne la partie cauchemars, on les connaît et personne ne les aime. Je ne sais pas si ce que j’ai dit parlera à quelqu’un mais en tout cas, je vais continuer de noter mes rêves et qui sait, peut-être qu’un jour, j’aurai de quoi écrire un roman !

À bientôt !